COSO

répétitives constatées dans les comptes d'un certain nombre d'entreprises. Elle s'est fixée comme objectif d'arriver à lutter contre les fraudes constatées dans les Bilans et les Comptes de Résultat de certaines entreprises. En 1992 les travaux du COSO, Committee Of Sponsoring Organisations of the Treadway Commission se sont traduits par un premier rapport : Internal Control - Integration Framework qui s'appelle en français : La pratique du contrôle interne. Il donne une définition communément acceptée

d’assurance procuré par les responsables du dispositif eux-mêmes (être porteur d’un niveau de « réassurance ») • Appréhender les différentes dimensions de la méthodologie d’identification et d’évaluation des risques, notamment en référence au modèle COSO ERM • Contribuer à la stratégie de gestion et de couverture de risques adaptée à l’entreprise • Elaborer un plan d'audit interne sur la base d’une cartographie des risques • Positionner l’Audit Interne comme un contributeur majeur de la gestion

définitions avaient été proposées par la doctrine comptable et elles ont été remises à jour par le cadre de référence de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers). Il existe également un référentiel international qui fait autorité en la matière : le Coso (Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission) Le référentiel comptable constitué de la définition donné par l’International Federation of Accountants (IFAC) reprise dans la NEP 330 (ancienne norme 2.301 de la Compagnie Nationale

Le contrôle interne couvre l’ensemble des composantes du modèle COSO, et non pas seulement les objectifs liés à la sécurité financière. Toute entreprise disposant d’un contrôle interne efficace et efficient sera donc nativement conforme aux exigences des lois SOX et LSF. De la même manière, tous les systèmes de management (qualité, sécurité, environnement, intégré ou même 6 sigma) qui relèvent des deux autres composantes du modèle COSO (conformité et opérations) sont, naturellement, fortement contributeurs

nouvelles obligations aux sociétés cotées en matière de gestion des risques et qui prévoient les missions du comité d’audit. Cette édition s’appuie également sur les évolutions constatées dans les principaux référentiels internationaux en particulier COSO II et la norme ISO 31000. Un guide de mise en œuvre du cadre de référence de 2007 adapté aux valeurs moyennes et petites (VaMPs) a été publié par l’AMF en janvier 2008. Ce guide a également été mis à jour et pourra servir d’instrument de travail pour

interne afin de protéger leurs clients de risques dont ils n'ont pas la responsabilité. En aide ou en complément des pratiques habituelles, plusieurs approches ont vu le jour afin d’associer le contrôle interne aux systèmes de gestion déjà existant : COSO 1 et 2, la méthode FERMA, l’approche de l’AFNOR, EBIOS ou COBIT en matière informatique, … Quelles que soient les approches adoptées, elles posent comme fondement de toute pratique de contrôle interne 5 grands principes directeurs : • • • • • Le principe

(1977) 15 1.2 Consultative Committee of Accountancy de Grande-Bretagne 1978 15 1.3 Compagnie Française des Commissaires aux Comptes (CFCA) 15 1.4 L'Institut de l'Audit Interne 16 1.5 Committee of Sponsoring Organization of the Tread way Commission (COSO) 16 1.6 Autres définitions 16 2. Les composants du contrôle interne 16 2.1 Mission 17 2.2 Les facteurs de réussite 17 2.3 Les objectifs 18 2.4 Les moyens 19 2.5 Pilotage et organisation 19 2.6 Procédure 20 2.7 Supervision 21 V

financier durant cette période de formation. E U EQ TH O LI IB -B II SIGLES ET ABREVIATIONS AI : Audit Interne BAC: Baccalauréat CESAG: Centre Africain d'Etude Supérieure en Gestion CI : Contrôle Interne ES C COSO: Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission DCAR: Direction du centre d'analyse et de recherche DFC : Direction Finance et Comptabilité DRH: Direction des Ressources Humaines AG CDDG: Coordination de la Distribution et

péril l’organisation ? Quel suivi peut réaliser le contrôle de gestion dans cette recherche de performances ? Quelles sont les mesures d’incitation à mettre en œuvre ? Le contrôle de gestion fonctionne de pair avec le contrôle interne. D’après le COSO (Committee Of Sponsoring Organazations of the Treadway Commission), le but du contrôle interne est de vérifier la fiabilité de l’information comptable, l’efficacité et l’efficience de la conduite des opérations de l’entreprise et le respect des lois

un référentiel de contrôle. Il décline sur le domaine IT les principes du référentiel COSO (Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission), publiés pour la première fois en 1992 et dont l’objectif est d’aider les entreprises à évaluer et à améliorer leur système de contrôle interne. La mise en chantier de CobiT résultait donc de la volonté des auditeurs de répondre aux exigences du COSO et de partager les mêmes plans d’audit. La plupart des grands cabinets d’audit internationaux