Cotisations sociales

macroéconomiques ? 1. Les ménages Revenu disponible brut des ménages en France (milliards d'euros) 2013 Salaires et traitements bruts 817.7 Cotisations sociales à la charge des salariés 113.6 Salaires et traitements nets 729,8 Prestations sociales 457,6 Revenus salariaux et sociaux 1161.7 Excédent brut d'exploitation et revenu mixte 176 Cotisations des non salariés 30.8 Source : INSEE Utilisation des revenus par les ménages en France (milliards d'euros) 2013 RDB 1326,3 Dépense

| CAP EMPLOYÉ DE VENTE SPECIALISÉ OPTION A ET B Session : 2013 | CCF | | CANDIDAT(E) NOM : Prénom : | | EP1 – A2Environnement économique, juridique et social des activités professionnelles | Thème | Juridique et social | Économico-commercial | Point presse | Date de réalisation de la fiche  | 27.02.2013 | Titre du document | Contrat à durée indéterminée | Source du document

besoins de consommation (liés au progrès technique et à l’évolution générale du niveau de vie) se sont accrus entre temps. Aux deux extrémités de l’échelle, les retraités sont même clairement avantagés : les plus modestes bénéficient de minima sociaux plus élevés et les plus riches profitent de revenus du patrimoine importants. A noter que les retraités sont plus souvent propriétaires de leur logement, ayant achevé de rembourser les emprunts d’acquisition et perçoivent deux fois plus de revenu

du programme A) Introduction : Définitions B) Plusieurs facteurs conditionnent la décision de consommation ou d’épargne 1) Les principaux déterminants économiques : revenu et prix p 97, 99, 106 2) Les déterminants sociaux-culturels p 100 3) L’épargne et ses motifs. P 98, 101, 102 C) Cela aura un impact sur la structure de la consommation et son évolution 1) La structure de la consommation p 103- 104 2) l’évolution

chômage » apparaît avec la révolution industrielle au XIXème siècle. Distincte du concept de pauvreté, elle renvoie à la situation de travailleurs involontairement privés d’emploi du fait des conditions économiques. Comme l’ensemble des risques sociaux, le chômage a fait l’objet d’une prise en charge, d’abord partielle à initiative privée puis en 1958, sous l’impulsion du Général de Gaulle, totale, au travers d’un système d’indemnisation dual reposant sur un régime assurantiel et un régime de solidarité

Les cotisations salariales Plafond de Sécurité sociale mensuel 2014 = 3129 € Tranche C 4 plafond SS mensuel 12 516,01 € à 25032 € CADRE Tranche B 3 plafond SS mensuel De 3129,01 € à 12 516€ Tranche 2 2 plafond SS mensuel 3129,01 € à 9387 € Tranche A 1 Plafond SS mensuel De 0 € à 3129 € Tranche 1 1 Plafond SS mensuel De 0 € à 3129 € NON CADRE Chaque 1er janvier le plafond Sécurité Sociale est modifié. Cette valeur va permettre de déterminer l’assiette sur laquelle

LA RICHESSE? VA : travail+capital. La VA a 3 utilisations : l'entreprise l'utilise pour payer les salaires, les impôts liés a la production, les profits bruts. Rémunération du travail = salaire net + cotisations sociales (salariales et patronales). Salaires brut = salaire net + cotisations sociales salariales. EBE → financer les futurs investissements, rémunérer les agents économiques (qui ont apporté du capital a l'entreprise), intérêts. Augmentation des revenus → Augmentation de la consommation

Le Chômage Introduction : De nos jours, les chômeurs (exceptés les primo demandeurs d’emploi), sont des personnes victimes d’une fin de contrat, d’un licenciement individuel ou collectif. Etant financé par les cotisations salariales, l’assurance chômage auquel ils ont souscrit leur permet d’être indemnisé pendant un certains temps. Dans quelles mesures le statut des chômeurs à-t-il évolué en France de nos jours ? Afin de répondre à cette problématique, nous allons dans un premier

des composantes du coût de production de l'entreprise qui, de ce fait, se répercute sur le niveau des prix de vente. Dans les pays où existe un système de protection sociale, le coût salarial total pour l'employeur comporte plusieurs éléments : le salaire brut, lui-même composé du salaire net versé au salarié et des cotisations sociales payées par le salarié les charges patronales payées par l'entreprise. L'analyse libérale considère qu'un coût du travail trop élevé a des effets négatifs pour l'entreprise

l’obligation de payer des impôts, ce qui vient limiter leurs revenus. Ensuite, ils doivent verser des cotisations sociales et ils reçoivent en contrepartie des prestations sociales (remboursements de soins, retraites, indemnités…). Cotisations et prestations représentent les transferts sociaux ; les prestations sociales constituent des revenus de transfert reçus par les ménages. L’Etat et la sécurité sociale modifient donc la répartition des revenus primaires. Leur action correspond au processus de redistribution