Curatelle

que les majeurs dont les facultés corporels ou mentales sont altérées. La curatelle : Régime de protection des majeurs qui permet d’assister une personne lorsque, sans être hors d’état d’agir elle-même, elle est dans l’impossibilité de pourvoir seule à ses intérêts en raison d’une altération de ses facultés mentales ou corporelles. L’oisiveté et la prodigalité ne sont plus des causes permettant d’ouvrir une curatelle. La sauvegarde de justice : Régime applicable aux majeurs qui, en raison

certains majeus ne peuvent pas prendre en charge leur intérêts en raison d'une altération mentale ou physique . Ils sont alors placés par le juge sous un régime de protection. A. Le fonctionnement de la sauvegarde de justice, de la tutelle et de la curatelle . Les majeurs atteintes d'altération mentale ou physique sont placés sont un régime de protection . La loi en distingue 3 . La sauvegarde de justice, est proposé lorsque la personne a besoin d'une protection juridique temporaire ou d'être représentée

DC4 : TUTELLE, CURATELLE 19 OCT 2010 LA PROTECTION DES PERSONNES Loi du 5 mars 2007 remplace celle du 3 jan 1968 (concernait exclusivement les biens) Elle concerne aussi bien la personne sue les biens. Concerne toutes les personnes. {handi : mêmes droits que les valides et dispose théoriquement de tous ses droits tant qu’il n’y a pas de mesure de protection}. REGIMES DE PROTECTION : Sauvegarde de justice : Mesure prise en urgence et temporaire. Mis en attendant d’autres mesures

Les pouvoirs du majeur placé sous un régime de protection  Tout le régime de l’incapacité des majeurs reposait sur la loi n° 68-5 du 3 janvier 1968, instituant différents régimes de protections du majeur, dont la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle. Ce système a notamment permis la dissociation de la mesure de protection du patrimoine de la mesure d'hospitalisation et donc des soins. Mais avec le temps, certaines de ces dispositions ont eu besoin d’améliorations. C’est donc dans

en fonction de la nécessité de ces derniers à être représentés de manière continue ou non dans tous les actes de la vie civile. Ainsi, de la mesure la moins grave, la sauvegarde de justice, à la mesure la plus grave, la tutelle, en passant par la curatelle, toutes sont destinées à protéger le majeur dont l'altération de ses facultés mentales et/ou corporelles l'empêcherait de pourvoir seul à ses intérêts. Aussi, ces mesures peuvent être aménagées par le juge de telle sorte qu'elles soient, selon les

par an en début d’année. Elle est évaluée en fonction du nombre de dossiers de l’année passée. Le tiers restant est financé par les personnes sous mesure de protection. Une part est retenue sur les ressources du majeur placé sous tutelle ou sous curatelle en fonctions de ses revenus. Pour les personnes placées sous sauvegarde de justice, il ne leurs est décompté que les frais de trajet entre le domicile et le service tutélaire. 2.4 Les différents professionnels au sein du service Le service tutélaire

* Tous c actes peuvent ê annulés (RESCISION/RESILIATION/RESOLUTION) ou réduits. B. La curatelle * C’est un régime de protection a priori (« avant coup ») * C’est surtout pour les oisifs, les prodigues ou les intempérants. * On prend cs de l’état des personnes. * Le curateur conseille, aide la personne. La personne peut quand même agir seule. * C’est temporaire. La curatelle peut se terminée mais si elle ne suffit pas on passe à la tutelle. C. La tutelle * La

applique à certains majeurs un régime de curatelle (assistance du majeur dans les actes de la vie juridique et surtout dans ceux qui mettent son patrimoine en danger), le curateur est désigné par le juge des tutelles, ou encore un régime de tutelle (le tuteur représente le majeurs mis sous tutelle dans tous les actes de la vie juridique, mais le tuteur n’a aucun sur la gestion du patrimoine du majeur sous tutelle). Sont mis sous tutelle ou sous curatelle tous les majeurs qui sont jugés irresponsables

dans les régimes de protection issus de la loi du 5 mars 2007 Tout le régime de l’incapacité des majeurs reposait sur la loi n° 68-5 du 3 janvier 1968, instituant différents régimes de protections du majeur, dont la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle. Ce système a notamment permis la dissociation de la mesure de protection du patrimoine de la mesure d'hospitalisation et donc des soins. Mais avec le temps, certaines de ces dispositions ont besoins d’améliorations. C’est

demande de protection, pouvant décider qu’une mesure de sauvegarde de justice est suffisante ou non. En outre on remarque que dans un premier temps le juge prétend à une sauvegarde de justice et quand dans une seconde partie il fait référence à une curatelle. Il s’agit ici pour la cour de cassation de savoir qu’elle serait la meilleur option pour Mme X. Quel doit être le mandataire le plus approprier dans cette situation. Ainsi, l’argumentation du pouvoir est reconnu par la cour de cassation qui décide