Doit On Comparer Nazisme Et Stalinisme

déshumanisés y font la loi pour leur propre intérêt. Le terme totalitaire vient de soi en les lisant, et l’utopie n’est plus alors que « le chemin de la servitude » comme l’affirme HAYEK5, même si ce pré-libertarien mélange tout, par exemple en positionnant nazisme et dérives utopiques sur le même plan. Même un psychiatre aussi fin que Boris CYRULNIK écrit en 2012, sans nuance et visiblement sans connaissance complexe de l'objet dont il parle, que les «utopies sont meurtrières»6. Pour ces visions simplistes

contre-notes’’), il commenta : «Une pièce de théâtre n'a pas à être présentée. Il lui suffit d'être représentée. Aussi ne vais-je pas essayer de vous expliquer la pièce que vous allez voir et entendre, tout à l'heure. On ne peut pas expliquer une pièce, on doit la jouer ; elle n'est pas une démonstration didactique mais un spectacle vivant, une évidence vivante. / Tout ce que je puis vous dire, c'est que cette pièce est une œuvre simple, enfantine et presque primitive dans sa simplicité. Vous n'y trouverez

a le risque de la quantification ; − il faut une distanciation assortie d’esprit critique : il faut avoir la distanciation suffisante. C’est la différence entre engagement critique et engagement partisan.   La science politique doit être plus ouverte sur la complexité que la simplification, à l’inverse du journalisme. On a recours à l’utilisation de sources documentaires, de documents interprétés ; observation des interviews, des sondages d’opinions, de la participation…

d’autres matières. La philo c’est de regarder différemment. C’est donc une méthode, un style de pensée qui va servir à penser les choses de manière différent. Elle n’a jamais de fin, pas de thème. Chaque philosophe, décide son style et son courant. Elle doit se nourrir d’autres sciences (histoire, économie, …, actualité). Chapitre 1er : Mondialisation, système-monde Un être humain,… c’est une subjectivité, la loi d’un corps qui a des besoins et des désirs qui passent essentiellement par trois organes

omniprésente : il ne fallait pas grand chose à la Gestapo pour faire des descentes nocturnes. A l’échelle des empires coloniaux, il y a eu une radicalisation des mouvements à la faveur de la Guerre : droit de l’autodétermination des peuples. La population doit choisir un nouveau gouvernement. Ce droit ne date pas de l’après-guerre, il figure dans la charte de l’Atlantique en 1941 entre les EU et le RU. Cette radicalisation des mouvements d’indépendance se traduit aussi par la volonté de constituer des nations

Monnet. C’est le début du débat entre E interventionniste et état libéral (La réforme de l’E c’est avant tout des luttes internes à l’organisation étatique pour savoir ce qu’est l’E). III- réforme et modernisation de l’E. Questionnement sur ce que doit être l’E moderne. RSA, LOLF (les budgets ne sont plus répartis par ministères mais par projets et par missions)… Réforme de l’E dans la Police et dans la Justice. EPREUVE (dissertation 3h, sujets transversaux ; Oral : question ciblée sur des points

néologisme de Thomas More, Utopia. Cette démarche peut être rattachée à celle des classiques à Platon avec la république (ordre social qui fait le bonheur des hommes). Volonté de faire coïncider le réel et l’idéal Rousseau: il faut savoir ce qui doit être pour bien juger de ce qui est. > Des valeurs traduites par des normes. Une démarche éthique/normative > de l’ordre juste pour aller vers la réalité. Se pose alors la question du meilleur régime. Machiavel refuse cette recherche et préfère

sociétés humaines. Au niveau de la terminologie, il parle de sociologie ou de physique sociale. L'objectif de la sociologie est d'établir de manière rigoureuse les lois qui régissent le fonctionnement des sociétés humaines, pour cela le sociologue doit interpréter les faits sociaux et les évaluer. A) Le premier axe de la sociologie : l'interprétation des faits sociaux : Les disciplines scientifiques sont tournées au XIXe siècle vers les sciences exactes, les sciences sociales souffrent d'une crise

aboutira à leur rupture définitive en 1938 : « Si le surréalisme est mort, qu’on le proclame (tu sais 6. C’est d’ailleurs le titre de l’article déjà cité de Pascal Ory dans Mélusine n° XI. 12 Avant-propos que ça a été toujours mon désir, car il doit mourir). Mais j’aurais aimé le proclamer avec toi.7 » Une des raisons majeures de cette rupture, c’est le refus du front antifasciste et du mot d’ordre de défense du patrimoine culturel menacé par l’hitlérisme, au nom d’un certain extrémisme révolutionnaire

savoir que j’appellerais, si vous voulez, le « savoir des gens » (et qui n’est pas du tout un savoir commun, un bon sens, mais au contraire, un savoir particulier, un savoir local, régional, un savoir différentiel, incapable d’unanimité et qui ne doit sa force qu’au tranchant qu’il oppose à tous ceux qui l’entourent) –, c’est par la réapparition de ces savoirs locaux des gens, de ces savoirs disqualifiés que s’est faite la critique. Vous me direz : il y a tout de même là quelque chose comme un