Est Ce Pour Prévenir La Récidive Que La Justice Punit

Idée de la peine de mort, du bannissement. A partir du MA, l’intérêt du pouvoir royal va croitre pour les affaires de justice. Roi de France avait un petit territoire et était souvent bien moins puissant que ses vassaux, la justice apparait alors comme un moyen d’étendre son influence, son royaume et de contrôler ses vassaux. Le roi va devenir source de justice et de toute justice sous l’AR. Renforce le lien entre le droit pénal et le sacré. Forte influence de la religion sur le droit pénal. Sous

réprimer parce qu’ils étaient considérés comme contraires aux règles fixées par celle-ci. 3 groupes selon la gravité du comportement : - Crimes - Délits - Contraventions Cette classification tri partite est le fondement de notre justice pénale. C'est-à-dire que si on commet une contravention on va être jugé par le T de police ou le juge de proximité. Si on commet un délit = T correctionnel. La personne mise en cause s’appelle un prévenu et sera condamné à une peine d’emprisonnement

préoccuper la majorité des législations. C'est dire l'importance de la science pénitentiaire qui étudie et expérimente l'usage des peines et des mesures de sûreté. Science pénitentiaire dont l'application la plus heureuse dépendra de l'absence de récidive. D'un point de vue terminologique la création de nombreux substituts aux courtes peines d'emprisonnement (interdiction de se livrer à une activité professionnelle ou sociale, suspension du permis de conduire, interdiction de détenir ou de porter

tout d’abord la branche du droit qui recouvre 3 notions : d’abord il détermine les actes punissables, donc de définir une infraction ; Etablir les sanctions applicables à l’acte ; les formes qui vont être nécessaire a la mise en œuvre concrète de la justice pénale. Il est spécifique à la fois particulier, autonome vis-à-vis de la loi ainsi que des autres branche du droit, mais est divers puisqu’il recouvre aussi d’autre branche du droit. Le particularisme du droit criminel Le droit criminel est

juges préfèrent se référer à une personne raisonnable placée dans les mêmes circonstances. Cette intransigeance de la JP sont les affaires dans lesquelles la formule utilisée est que « la contrainte serait un événement dont la volonté humaine n’a pu prévenir, ni conjurer ». Ex : - Affaire des Brigands Corse, Cass, 28 décembre 1900 : (recevoir des malfaiteurs) contrainte rejetée car il n’y avait pas eu une impossibilité absolue de se conformer à la loi. - Arrêt Genty : personne condamnée pour avoir

totalement déterministe ? On reproche au droit pénal soit de sanctionner au hasard, soit de sanctionner injustement des individus n’ayant fait que ce qui leur était dicter de manière déterministe. $$$ Suivant cette position la prédiction d’une récidive est inévitablement rattacher à une erreur d’un risque énorme. Sachant en outre en matière pronostique du criminel, le risque de produire des faux positifs est largement supérieur à la probabilité de produire des faux négatifs, une telle approche

expressive ne s’exprime que négativement, les valeurs de la société sont protégées par des sanctions qui dissuadent. 2. La fonction dissuasive La fonction première du droit pénal ce n’est pas de sanctionner les infractions commises, mais de prévenir la commission des infractions. La mise en œuvre du droit pénal exprime l’échec du droit pénal dans sa première fonction : la prévention. La sanction prévue dans le code, exprime une menace. 3. La fonction punitive C’est le passage à l’acte :

et il répertorie les infractions. Deuxièmement, ils étudient les délinquants afin de comprendre comment ils sont devenus ainsi. Troisièmement, ils étudient la réaction sociale, c.à.d. les mesures que l’Etat prend pour sanctionner une infraction et prévenir cette même infraction (pour éviter qu’elle ne se reproduise). Enfin, quatrièmement, ils analysent les prisons et le système pénitentiaire en général (ex : ils discutent du bien fait ou non du bracelet électronique). Notamment grâce à la criminologie

CRIMINOLOGIE Le droit pénal, qui s’attache à la définition juridique des infractions, doit également être distingué de la criminologique, qui étudie les causes de la criminalité et, les divers modes de traitement du délinquant et de prévention de la récidive. c. CRIMINALISTIQUE La criminalistique a pour objet l’ensemble des procédés scientifiques de recherche des infractions et de leurs auteurs (médecine légale, toxicologie et police scientifique). En réalité, la criminalistique se rattache en

L’INDIVIDU QUI TUE, QUI PORTE ATTEINTE À UNE PERSONNE, EST SOUMIS À LA RÉACTION DE LA JUSTICE PRIVÉE : UNE AUTORITÉ AU SEIN DU GROUPE QUI IMPOSE DES RÈGLES DE FORCE, EXERCE UNE RÉACTION CONTRE LES RÉCALCITRANT. LA RÉACTION A, À L’ORIGINE, UN CARACTÈRE COLLECTIF. AINSI, L’ON VOIT LE GROUPE DE LA VICTIME EXERCER UNE VENGEANCE CONTRE LE GROUPE QUI ABRITE LA PERSONNE AYANT COMMIS L’INFRACTION. CE TYPE DE JUSTICE EXISTE ENCORE DANS CERTAINES SOCIÉTÉS PLUS ARCHAÏQUE. CE SYSTÈME, PARTICULIÈREMENT MEURTRIER