Fables Dialogue

temps le pouvoir de penser. Pensée et Langue s'escomptent l'une de l'autre (compter l'une sur l'autre et s'échanger). S'il y a corrélation et symétrie il n'y a pas superposition. (voir H.Keller) La pensée est un langage et la pensée est un dialogue de l'âme avec elle-même. (L'amitié est véritable : du sage envers lui-même). « Penser, c'est parler à part soi » Leibniz SI les Deux sont ensemble, ils ne sont pas pour autant égaux ou équivalent. C. Relation du langage et de la pensée

partir de ce sujet d’invention ? Vous écrirez le dialogue entre deux lycéens qui se posent la question suivante : en quoi la poésie nous concerne-t-elle vraiment ? ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Entraînement à l’ écrit ------------------------------------------------- Comment organiseriez-vous votre devoir à partir de ce sujet d’invention ? Vous écrirez le dialogue entre deux lycéens qui se posent la question suivante :

réactions des personnages dans la pièce L’Atelier de Grumberg. A la scène 5, l’un des personnages, le Presseur, interroge un autre personnage, Simone, sur son passé et sur le départ de son mari déporté pendant la seconde guerre mondiale. C’est un dialogue assez difficile pour Simone car elle espère que son mari revienne alors que le Presseur essai de la persuader qu’il ne reviendra pas. A la ligne 156, Simone dit : « Comment vous pouvez être sur ? » de manière plutôt neutre alors que dans la représentation

La reformulation (exercices) Reformuler la pensée de l’autre, c’est la restituer sans aucune déformation. Afin de bien restituer cette pensée, il est nécessaire, au préalable, de bien l’écouter ou de bien lire son discours même si nous ne partageons pas le point de vue de l’autre... Nous sommes parfois tellement centrés sur nous-mêmes que la pensée de l’autre est mal comprise ou mal entendue. Les gens, très souvent, ne s’écoutent pas, car chacun est plongé dans sa propre pensée. La première

car il se rattache au vécu, à l’intime, seules ces dernières comprennent le sens de ce dialogue silencieux qui va bien au-delà des mots. Celles-ci se connaissent tant qu’elles peuvent se permettre de se taire ensemble, et d’arrêter tous ces bavardages qui ne servent qu’à se cacher à l’autre...ou à soi. En effet, le bavardage ruine la parole, l’écoute de l’autre et même la pensée, le bavardage ruine le dialogue. Dans la continuité de cette réflexion nous pourrions évoquer Platon qui affirme que

" Je vois dans le tableau une chose prononcée ; combien dans l’esquisse y supposé-je de choses qui sont à peine annoncées " (Salon de 1765 ; à propos de La Mère bien-aimée de Greuze, Paris, Garnier, p. 542-44). Grimm est le destinataire premier. Le dialogue épistolaire impose un ton particulier : le discours épistolaire tend à imiter la conversation orale entre deux amis, deux hommes de bien. Il requiert un ton familier et un style simple : " Je ne sais comment je me tirerai de celle-ci ; encore moins

constate la mort de la mère, celui qui permet d’exister dans le langage. • p 86 – 107 Hamm interroge sans cesse Clov qui tue le dialogue par ses réponses lacunaires ; il se trouve confronté au vide. Sa tirade tourne vite à l’absurde et au chaos de la folie. Il recourt à l’ordre pour conserver le contact avec son valet, exigeant son calmant qui n’existe plus. Le dialogue tourne court. La violence augmente : Hamm agresse verbalement son serviteur taxé d’ingérence. Le conflit éclate dans toute sa cruauté

». Les alternatives sont ici aussi variées. Soit l’établissement d’une véritable fiche d’identité, procédé souvent employé par Balzac, soit à l’aide d’une focalisation interne, soit par l’intermédiaire d’un monologue intérieur, soit enfin par un dialogue qui permette de cerner le personnage par ses paroles. b- Laisser une part d’inconnu Une fois cette identification réussie, il semble souhaitable de laisser une part d’inconnu dans le personnage, sans entreprendre de description exhaustive

le corpus proposé, sur les œuvres étudiées au cours de l’année et sur vos lecture personnelles, vous commenterez la formule selon laquelle Introduction Le théâtre et un Genre littéraire consistant à faire représenter sur une scène un texte dialogué joué par des acteurs. Cependant les acteurs utilise d’autre langage pour communiquer. Il s'agit du langage corporel autour du comédien qui, en étant costumé, en se déplaçant de manière significative et en jouant le personnage, offre au public une

pièce dans le temps. C °/ La première scène s’ouvre sur un dialogue commencé par Iphicrate. Cela connote qu’il est supérieur à Arlequin. Cependant, à la fin de la scène, on remarque que c’est Arlequin qui clos ce dialogue. On pourra donc déjà supposer un retournement de situation dont nous parlerons par la suite. Le dialogue donne de la vie au texte. De plus, la ponctuation des phrases exclamatives des deux personnages au début du dialogue ravive encore la pièce. On en retrouvera tout au long de la