Fondation de la métaphysique des mœurs

de la philosophie de la vie. Cette double posture phénoménologique interroge à la fois sur l’unité de la phénoménologie (Heidegger et Husserl renvoient tous deux au même texte, Les types de vision du monde et leur déploiement dans les systèmes métaphysiques, l’un dans sa critique, l’autre dans ses conférences) et sur l’unité de la philosophie de Dilthey (qui s’inspira notamment des Recherches logiques husserliennes). Le lien entre ces deux postures phénoménologiques est en tout cas complexe, puisque

libre, ni encore conscient de ce qu’il fait. Est-il encore un homme ? On serait tenté de dire, au moins dans certains cas, que oui : l’homme, c’est avant tout la morale qu’on lui attribue. Mais comme le montre Kant dans la Fondation de la métaphysique des mœurs, c’est encore la raison de l’homme qui le rend capable de moralité. Si on peut sans doute se passer de désir, c’est donc encore la raison de l’homme qui le caractériserait vraiment en tant qu’homme, plus que toute autre chose

pareille paix (II) I- Les fondements de la théorie de la paix perpétuelle La théorie de la paix perpétuelle formulée par Kant s’inscrit dans ses réflexions antérieures développées dans ses ouvrages critiques de la raison pure et fondation métaphysiques des mœurs. Les fondements de cette théorie se trouvent dans la notion de l’état de nature théorisé par Hobbes, Locke et Rousseau que nous pouvons classer parmi les fondements philosophiques (A) et le rationalisme kantien comme autre fondement

sentiment d'être floué par l'époque qu'il traverse : une époque de désillusion marquée par les échecs comme celui de la Révolution de 1830. Ainsi, chez l'écrivain romantique, le malaise historique se transforme souvent en angoisse métaphysique. Une angoisse métaphysique Le "Mal du siècle" se traduit par un ennui inquiet provoqué par l'inactivité. L'oeuvre Adolphe de Benjamin Constant fournit une première impression de ce mal de vivre.L'impossibilité à s'extérioriser peut conduire à la folie et

1 Doit-on douter de tout ? L'homme naturellement, comme le précisait Aristote au début de la Métaphysique, s'étonne et cherche à connaître. Mais il faut faire la différence entre la considération naïve sur le monde qui nous entoure, et la véritable volonté de connaître, c'est-à-dire de comprendre ce monde dans toutes ses dimensions. La première attitude nous pousse à une certaine passivité, à accepter tout ce que nous voyons comme étant vrai, car nous sommes soumis à l'habitude. La seconde au contraire

poser une question. Pour mener à bien un TPE, il est indispensable d’expliciter ce qu’il convient de rechercher, ce qui pose problème, ce qui ne va pas de soi. Ainsi, un TPE n’est pas n’importe quel travail, c’est une construction qui doit avoir des fondations pour s’élever au-dessus des préjugés et des opinions arrêtées. D’où un apprentissage de la simplicité, cette forme naturelle de la logique, qui passe par la reconnaissance de ses propres limites et permet d’exposer des problèmes en ouvrant l’horizon

relativisme ? Mais, inversement, peut-on parler de « lois non écrites », comme le fait Antigone, sans devoir recourir à une religion, c’est-à-dire à une foi irrationnelle ; ou bien à un savoir certes rationnel, philosophique, mais d’essence métaphysique, avec tout ce que cela peut comporter d’incertain et de risqué, de problématique, voire de chimérique ? 1 Le juste n’est-il donc qu’une valeur « d’établissement » ? Que penser des conventions comprises comme usages et comme coutumes, comme

Littérature Générale et Comparée Présentation des oeuvres : Hamlet, Shakespeare : Cette pièce a été créée entre 1598 et 1602. C’est la pièce la plus célèbre de Shakespeare, elle se situe au croisement de son oeuvre. C’est une des grandes pièces métaphysiques, et l’une de celle ayant déclenché le plus de commentaires et d’interprétations. C’est également l’une des pièces favorites des romantiques, elle est emblématique de la question de la mélancolie, l’humeur noire. Le Cid, Corneille : C’est une

un fait. Nous devons prendre acte que nous émettons spontanément des jugements moraux, et ainsi nous établir dans ce que l’on appelle le sens commun, et au moins sur ce point, Hume rejoint la position de Kant qui, dans les Fondements de la métaphysique des mœurs (Préface) s’appuie sur l’idée commune du devoir et des lois morales. Cette comparaison doit cependant être traitée avec circonspection, puisque pour Hume, en matière de moralité, c’est le sentiment qui reconnaît la vertu et se fait juge, et

[->17] Royaume de Prusse[->18]| Nationalité|1__#$!@%!#__20px-Flag_of_Prussia_(1701).gif [->19] Royaume de Prusse[->20]| École/tradition|Piétisme[->21], Lumières[->22], précurseur de l'idéalisme allemand[->23]| Principaux intérêts|Logique[->24], métaphysique[->25], épistémologie[->26], morale[->27], esthétique[->28], anthropologie[->29], politique[->30]| Idées remarquables|Criticisme[->31], Jugement synthétique a priori[->32], Chose en soi[->33], Impératif catégorique[->34], Progrès[->35]| Œuvres