Glanage

de la communauté paysanne, et il y a toute une série d’usage collectif des bois, les friches… on a pas de clôtures, le propriétaire exploite sa terre, mais avec ce système, à un moment, les terres tombent dans le bien collectif, il y a un droit de glanage. La productivité est très faible, car il manque d’engrais. L’engrais utilisé est, au XIXe siècle, d’origine animale, il faut donc assez d’argent pour avoir du bétail et de quoi les nourrir. Mais nait le mouvement des enclosures, ou on met en place

compatible avec la mentalité aristocratique traditionnelle qui reste la plus répandue, elle bouleversera également les structures agraires. Rentabiliser est incompatible avec le maintien des communautés villageoises. [...] Les droits ancestraux (glanage, vaine pâture), les communaux (common), les champs ouverts (open field), l'organisation collective des rotations et des travaux sont autant d'obstacles à l'application des nouvelles techniques. Soucieux de profit, les novateurs veulent d'une part

gouvernements qui se succèderont suivront la même tendance et consolideront les acquis de la révolution. Dans un premier temps le cloisonnement des champs a des conséquences sur les catégories les plus pauvres de la société rurale. Cela remet en cause le glanage (ligne7) que l’on peut définir comme la faculté laissé aux pauvres de ramasser dans les champs les épis qui ont échappé aux moissonneurs : c’est la fin d’une solidarité communautaire qui remontait à des temps immémoriaux (Ancien Testament), preuve

elles cherche un épi oublié tandis qu’elle tient de sa main droite ses quelques rares trouvailles. Une autre semble montrer du doigt une de ces rares gerbes de blé alors que la dernière des paysannes paraît attraper un épi. Toutes les actions du glanage sont donc représentées, cela donne du mouvement à cette scène, de la vie, ce qui fait parti des grands objectifs du réalisme. Les paysannes sont vêtues de couleurs vives, ce qui contraste avec le travail pénible qu’elles sont en train d’exercer, qui

été donné. Il y a aussi le fait que la classe ouvrière était de plus en plus nombreuse et donc il n'y a pas de poste pour tout le monde ce qui aura pour cause des personnes se retrouvant sans emploi. A cause de cette pauvreté , dans les campagne le glanage va donc être de plus en plus fréquent car les habitant ne pouvant pas acheter de la nourritur sont obligés de prendre ce qui reste et qui n'a pas été ramassez dans les champs déjà récolté Le but premier de cette lettre était de donner des idée pour

du XXe siècle, en Europe occidentale). Dans beaucoup de régions les paysans sont soumis à des pratiques communautaires. Celles-ci ont été décidées au cours du temps afin de venir en aide aux plus pauvres. Ces droits et devoirs sont : Le glanage qui permet de ramasser les épis que le moissonneur a oublié dans son champs après la moisson le droit de vaine pâture, une fois les récoltes faites et sur les terres en jachère le propriétaire doit laisser venir paître les animaux des autres

l’Europe du Nord-Ouest. Le système des enclosures a consisté à remembrer ces parcelles et à grouper la propriété foncière autour de la maison du propriétaire. La propriété est alors fermée par un enclos et cet enclos supprime la vaine-patûre, le glanage : le propriétaire est désormais maître chez lui et affranchi de l’ancienne discipline communautaire. Les enclosures ont commencé dès le XVIe siècle et se sont multipliées au cours du XVIIIe siècle : on remembre les parcelles et le plus souvent on

par la suite au 19 siècle la mécanisation demeure faible. Pour survivre tous les membres de la famille étaient dans les champs. Le documentaire nous permet de distinguer quelques étapes dans la culture et le travail de la terre: le labourage et le glanage qui autorisent les femmes, les enfants, les pauvres d'une communauté à ramasser après la moisson les épis de blé. Le travail tel que le documentaire nous le présente est rude et fatigant. La dureté du labeur agricole n'est dont en rien épargné aux

Affaiblis par une mauvaise alimentation à laquelle se rajoute un manque d'hygiène, beaucoup d'entre eux sont alors emportés par les maladies. La vie est si dure que les paysans d'une même commune s'entraident avec des pratiques communautaires tel que le glanage  qui permet de ramasser les épis que le moissonneur a oublié dans son champs après la moisson. Le droit de vaine pâture permet aux paysans sans terre de pouvoir nourrir du petit bétail. Une fois les récoltes faites, sur les terres en jachère le propriétaire

peut voir voler dans le ciel, prêt, eux aussi, à picorer ce qu'il reste de grain à l'instar des trois femmes. Tout comme Balzac dans son roman Les Paysans, Millet a choisi de représenter la dfficulté de la vie paysanne et en particulier l'étape du glanage car dans son roman, Balzac met en scène un personnage qui conteste le droit de glaner. Tout comme le tableau Moissonneurs (également de Millet), celui-ci est inspiré d'un passage de la bible. Manet utilise pour ce tableau, des couleurs évoquant