Harmonie imitative

Versification • Traditionnelle : régularité. o Alternance des rimes féminines et masculines respectée. o Poème composé de quatre quatrains en alexandrins. o Les rimes sont croisées. • Sonorités o 1re strophe : double allitération ([s], [z] × 11 → harmonie imitative). o 2e strophe : double allitération ([s], [z] × 8). • Rythme : maladresse de la démarche de l’albatros (3e strophe). o v. 1 : 6+6. o v. 2 : 1+5+6. o v. 3 : 6+6. o v. 4 : 3+3+6. Progression thématique • 1re strophe : mise en situation

passagers qui la font voyager. Le vers 8 « La robe d’air tourbillonnant des grands express » est une métaphore avec laquelle l’auteur décrit les nuages de fumées créent par les trains, on relève, de plus, une allitération en [r] qui s’avère être une harmonie imitative représentant les bruits des machines à vapeur. Le poète note aussi le fracas des trains, « l’ébranlement » qui secoue toute la gare. L’énumération « Tant d’adieux, tant de départs et tant de retours » souligne l’expérience de la gare, elle a

chaleureux : le foyer semble être un espace vivant certes : « palpite » (métaphore), mais d’une vie quelque peu fiévreuse et infernale : « …fume … » ===> allitérations : écouter … qui … qui / « palpite » / feu …fume Musicalité du vers : harmonie imitative les craquements et les sifflements du feu. Les souvenirs lointains lentement s'élever - L’atmosphère hivernale est liée donc au sentiment de nostalgie du passé, thème romantique par excellence. - Le thème du paradis

régularité. * Alternance des rimes féminines et masculines respectée. * Poème composé de quatre quatrains en alexandrins. * Les rimes sont croisées. * Sonorités * 1re strophe : double allitération ([s], [z] × 11 → harmonie imitative). * 2e strophe : double allitération ([s], [z] × 8). * Rythme : maladresse de la démarche de l’albatros (3e strophe). * v. 1 : 6+6. * v. 2 : 1+5+6. * v. 3 : 6+6. * v. 4 : 3+3+6. Progression thématique

comme un milieu mortifère, lugubre, hostile : « interminable », « ennui », « sans aucune », « mourir ». Ce vocabulaire négatif et également accompagné de sonorités désagréables comme les allitération en [k], en [z] ou les assonance en [U]. Cette harmonie imitative nous évoque le vent. C’est un monde sans échappatoire, désespérant comme le souligne les répétitions des strophes, les rimes embrassées qui donnent une idée de fermeture, de boucle. La question finale dont la réponse implicite est la mort et

villageois» l.13 (idée d’abondance) • -  les convives viennent de partout --> 6 noms de lieux • -  l.15, la «boisson» semble a l’origine de la convivialité • -  l.21, allitération en «R» qui accentue l’idée de pèle-mêle --> procure une harmonie imitative traduit par les pas cadencer des danseurs et de la musiques des instruments évoqués a la l.22 • -  style direct rend le récit vivant; on ne sait pas par qui les paroles sont prononcer • -  l.24/25, infinitif de narration, accélération

très simple, abstrait ou concret. L'emploi de figures de style (à commenter). L'emploi de champs lexicaux particuliers. Mots mis en valeur à l'aide d'enjambements: rejets et contre-rejets Une certaine musicalité : allitération, assonances, harmonie imitative, rythme (découpage du vers).

célébration de la beauté de la fleur. Odeur puissante qui s’étale dans « les jardins et les arbres ». Fin du moment de grâce. * Majuscules Personnification « Grâce » et « Amour ». * Allitération en « f » : « feuille à feuille » (v8) * Harmonie imitative : la chute des pétales, proximité entre la rose et la jeune femme qui vont vivre la même chose. * 1er tercet : * « honoraient » imparfait * « La parque t’a tuée » passé composé, acte révolu, vie brève. * 2em tercet :

empoisonnait ses amants et tuait ses enfants. Ce texte de 1907, probablement écrit en Allemagne par l’amour déçue de Annie Playden. Cette tension entre tradition et modernité se retrouve dans le thème de la femme fleur, traité de manière pessimiste. Harmonie imitative vers 8 à 10. Les tonalités sourdes : assonances en « a », « o », « ou », s’opposent a celle en « i », comme le mal s’oppose au bien. Ce qui montre le côté pervers du colchique donc de la femme, belle mais dangereuse. « Pré mal fleurit » antithèse

vers à un autre ensemble, ce qui crée des effets de sens.   2.2. L'allitération L'allitération est la répétition du même son-consonne. Son rôle essentiel est de rythmer le vers, de constituer une trame sonore du poème. Elle peut créer une harmonie imitative: elle évoque alors le bruit que ferait ce dont le poème parle. Elle peut aussi suggérer une impression: c'est l'harmonie suggestive. Elle peut enfin produire un effet humoristique. L'allitération sert d'abord à mettre en évidence une unité de