Harmonie imitative

Allitération en [s] : impression d'entendre le jus sortir (harmonie imitative) Phrase 2 – opposition entre ces deux objets : conjonction adversative "mais" + opopsition "toujours"/"jamais" ; on dirait qu'il y a deux sortes de poètes, ceux qui peuvent toujours créer, et ceux qui meurent en créant. – "ses cellules ont éclaté, ses tissus se sont déchirés" : image cruelle, de souffrance. Toujours la même allitération en harmonie imitative Phrase 3 – sacrifice du poète représenté par l'orange

phonèmes voyelles de manière à créer une harmonie imitative, à suggérer un ton, un rythme. Ex : « le désir de mourir lui aussi ». Nous avons une assonance en « i » qui suggère l’intensité de la douleur de Jacques et la profondeur de son envie de suivre sa locomotive dans la mort. 0,5pt L’allitération : l’allitération est une figure de vocabulaire et de construction qui consiste à faire se succéder des phonèmes consonnes de manière à créer une harmonie imitative, à suggérer un ton, un rythme. Ex : « Et

emploie pour les regrouper le terme d'homophonies. Ces jeux phonétiques cherchent parfois à inspirer au lecteur une relation entre le sens du texte et l'effet d'insistance inscrit dans sa matière sonore. On parle dans ce cas traditionnellement d'"harmonie imitative" (effet musical visant à l'imitation de ce qui est représenté)[1]. "UN JEU DE MIROIRS ANALOGUE À CELUI DES RIMES" Dès ses premiers poèmes, Rimbaud manie avec virtuosité le jeu des combinaisons sonores. Louis Aragon dit

insistance), l’effet comique, dramatique, pathétique… - la versification et les sonorités pour un texte poétique ou du théâtre en vers : nature du vers, mesure, accentuation, allitérations et assonances, rimes. Mettre en évidence l’effet sonore (harmonie imitative, cacophonie, contraste, insistance)

animaux inquiétants, de mauvaise augure (vautour, corbeau, 2 belettes et 2 renards, serpent, aspic) allitération en [r] "corbeau" "croasse" cri désagréable du corbeau représenté b) ambiance apocalyptique allitération (cri, peur, tonnerre) harmonie imitative champs lexical de l'apocalypse : tremblement de terre, tonnerre, éclipse, astres qui tombent c) monde des morts « sang » référence à la mort « ombre » fait penser au fantôme, spectre et « esprit » connote l'au-delà « Charon » nous ramène

de procédés littéraires qui illustrent les sous-parties mais pas tout ce que j'avais trouvé) I ) Deux protagonistes opposés 1) Puissance et brutalité du torrent allitération en"r" et "c" v1 qui traduit la brutalité des "trombes d'eau" (harmonie imitative) + répétition de "grand", champ lexical de la peur "horreur" (allégorie), "trembler", "menacante", "tout" + "nul voyageur" = caractère d'universalité, tt le monde en a peur... 2) Tranquilité de la Rivière image du "sommeil", accumulation de

d'intimité, de fragilité, de candeur enfantine peut-être. Les sons sont souvent estompés (harmonie imitative des allitérations en [z], les diphtongues sont douces (ou et eu), il y a une abondance de rimes féminines, assonance en u ou encore des anaphores douces (c'est, cela, cette). Il y a également l'utilisation des sons r et fr pour exprimer le frisson léger. A côté de cette impression d'intimité on note une harmonie en demi teinte, impressionniste (grise), un apaisement produit par les sensationsauditives

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit -> éclat du soleil) -> vision naïve et amusante de la ville. V22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent" Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet. 2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (V1), et à l'Antiquité grecque et Romaine. Apollinaire se détourne de l'inspiration classique

vallÉE et recelÉE. L’effet est que le chevreuil est en liberté puisqu’il va dans les vallées, les prés et plusieurs autres places. Enfin la dernière figure de style est << Et seul, et sur […] et de bruit. >>, vers numéro 5. C’est une harmonie imitative ou suggestive. En effet, il y a une suite de mots qui imitent un bruit, Seul, Sur, Chiens= s s s s. Cette figure de style mentionne que le chevreuil n’a peur de rien, qu’il est enfin en liberté, donc il ne se souci que d’une chose, voyager

Par les loups voyageurs que nous avions traqués (VIGNY) Quand on lit ces deux vers la voix ne doit pas baisser à la fin du premier vers. L’enjambement produit un effet d’allongement, de prolongement, de développement, d’amplification. Harmonie imitative : répétition de sons qui peuvent suggérer un bruit particulier. V. Onomatopée*, assonance*, allitération* Heptasyllabe: c'est un vers de 7 syllabes (7 pieds) Hexasyllabe: c'est un vers de 6 syllabes (6 pieds) Masculines (rimes masculines)