Juron

faire penser à une scène d'exposition, comme au théâtre. • Le « Zut » initial réveille les personnages sur le bateau, et capte le lecteur par la même occasion. Cette impression est renforcée par «tout à coup » et par l'emploi du passé simple. Le juron « Zut » est original pour un début de roman. Ce mot est très récent au 19ème siècle. • On observe une alternance récit-dialogue dans cet incipit. Elargissement : Présence de la fatalité et de la mort dans la fin de l’extrait. Est-ce que ce sont

sur les perso.: intensifs «si rouges» (l51) «barbouillé»(l50) comparaison l51-52 + termes pejo. b. Une scène sonorisée => Brides de conversation: style indir et indir libre + 3niveaux sonores voix indiv: - reflex int de Goujet (l10-11) – le juron de Coupeau (l 33) – réprimende de Poisson (l29/32) voix collective: - passage de la carcasse (l22-23) -(l43-43 «ah non de dieu» + «on») Voix du narrateur : juge perso. Métaphore (l48-49): ironie + on avance dans le roman, + language populaire

d’Alceste est marqué par une affectivité extrême qui renvoie à un type de sensibilité plus proche du baroque que de l’idéal classique. Sa misanthropie est une maladie qui se manifeste par des excès : il s’exprime avec des hyperboles. Il utilise un juron : « Morbleu ». Il est incapable de faire preuve de litotes ou d’euphémismes, figures de style qui permettent d’atténuer la pensée. Ses réactions, ses propos sont sans cesse exagérés. Il y a bien dérèglement de l’humeur : « mourir de pure honte »,

commune mesure avec celle de Philinte. 1° chez Alceste : a) l’affirmation péremptoire : je veux, je ne puis souffrir, « je ne hais rien tant», «je veux (v. 29, 35)) » - les négations « Non, non, », « Non, vous dis-je » ; « je refuse » . le juron « Morbleu » b) l’énonciation : 1ère personne très présente, recours aux « sentences » : « il n’est point... v.19 », v. 24-25 (c’est) - repérables aux constructions impersonnelles ; la généralisation de son point de vue par l’utilisation du « on »

hyperbolique : « vous devriez mourir de pure honte » ligne 16, « je m’irais de regret, pendre tout à l’instant » ligne 30, mais aussi par des phrases exclamatives : « Que la plaisanterie est de mauvaise grâce ! » ligne 35, et par un vocabulaire fort avec le juron archaïque « Morbleu ! » ligne 27. Dans un second temps, nous notons que Molière utilise un genre comique dépassé. La présence d’alexandrins, « Je vous déclare net que je ne le suis plus » ligne 13, et de rimes témoigne la volonté de l’auteur d’élever

du mari, (23) parfaitement hypocrite, à laquelle le notaire ne répond d'ailleurs pas. Il donne au contraire, l'information tant attendue, après une réponse au style indirect libre (24). Sincérité, enfin, des réactions générales à cette annonce : juron (30) de M. Roland suivi d'un commentaire heureux, sourire d'aise du notaire qui commet d'ailleurs une maladresse en parlant de (33) "bonne nouvelle", tristesse du reste de la famille, isolé par l'auteur (36 : "Seuls"). Deux groupes sont ainsi formés

contrariée par Arlequin quand celui est fidèle au valet de la commedia dell’arte puisque ceci interrompt le jeu. Effectivement Arlequin joue avec légèreté comme il a conscience qu’il ne s’agit que d’un jeu, d’une scénette, d’ailleurs il dit même un juron ligne 53 « Palsambleu » et il s’applaudit ligne 58 « ce n’est rien, c’est que je m’applaudis ». Il est capable de réfléchir et de faire une analogie avec ses maîtres. Ainsi ce jeu de scène galante permet au dramaturge de parodier les stéréotypes de

la façon dont il interrompt la scène de séduction pour rire des ses mœurs galantes : « Et palsambleu le moyen de n’être pas tendre, quand on se trouve tête à tête avec vos grâces. Oh ! oh ! oh ! oh ! » ( les éclats de rire d’Arlequin et l’emploi du juron populaire créent un soudain changement de registre qui tourne en dérision se manières raffinées. -Cléanthis se comporte, en revanche, de façon différente. Sans jamais rire de son propre jeu, la jeune femme se prends au sérieux et s’indigne du comportement

Alceste est-il vraiment l’ennemi du genre humain? Alceste, est le personnage principal de la pièce “le Misanthrope” écrite par Molière en 1666. Il est intransigeant ainsi qu’excessif, il déteste la flatterie. La société dans laquelle il vit l’exaspère car il voit autour de lui que de l’hypocrisie et les gens doivent se comporter d’une telle façon et pas d’une autre. Il s’oppose à toutes les personnes agissant de la sorte. Il a des idédes fixes et croit toujours avoir raison , il s’oppose à tout

LE PERE NOEL EST UNE ODURE Comédie de 1982   Résumer : Le soir de Noël, Pierre et Thérèse s'apprêtent à assurer la permanence de "S.O.S. Détresse-Amitié", tandis que Mme Musquin se prépare à réveillonner en famille. Thérèse reçoit un appel de son amie Josette, une jeune clocharde, qui vient de quitter son miteux compagnon Félix. Déguisé en Père Noël, celui-ci avait passé la soirée à distribuer des prospectus sur le trottoir d'un grand magasin jusqu'à ce que