Juron

Atelier en équipe élargie sur la dissertation explicative, Littérature et imaginaire , A2021 (10%) ATTENTION : Une (1) version numérique de ce travail complété doit être déposée dans LÉA,   par le coéquipier responsable de cette tâche, à la fin du cours 10 . Prénom et nom des coéquipiers :

la didascalie précise même qu'il « la secoue soudain, hors de lui. » : le jeu scénique vient renforcer la violence de ses propos. Créon est à bout et on sent que la fatalité au dessus de la tête d'Antigone s'annonce. Il se laisse même aller à des jurons et des injures : « bon Dieu !»(l24), « petite idiote ! »(l25). Créon a donc cherché dans cette tirade à convaincre et persuader Antigone du bien-fondé de son attitude. Il lui a montré avec véhémence que face à un acte de désobéissance, un homme d'état

Mes-Bottes « était venu s’accouder », position stéréotypée du pilier de bar, il rit d’un rire métaphoriquement qualifiée de « poulie mal graissé » et ses camarades « rican[ent] ». Cette ambiance joviale et détendue est aussi soulignée par l’utilisation des jurons, « Tonnerre de Dieu ! », et de l’argot : « vitriol, dès à coudre, roussin de père Colombe, fichu grelot ». Tout est mis en œuvre par l’auteur pour créer ici un véritable effet de réel qui renforce l’illusion référentielle et nous donnent l’impression

des soucis du quotidien. Ce rire sera d'autant plus aigre qu'il assaille un personnel politique qui prétend inspirer le respect, tout en se conduisant de manière triviale. La situation de vaudeville dans laquelle s'est empêtré M. Strauss-Kahn, les jurons de M. Sarkozy, l'arrivisme sans fard d'un M. Besson, tout cela tranche avec la réserve parfois hautaine à laquelle nous avait habitués le personnel politique français, et se conjugue en outre au sentiment d'un déclassement de la France dans le monde

secret de vote, confidences d’une amie…La notion de secret est bien présente dans la vie profane… * Le secret d’appartenance peut être considéré comme un moyen de se protéger. SECRET DES TRAVAUX EN LOGE / CONSIDERATIONS SUR LE SECRET * « Jurons de garder le secret sur nos Travaux… » Certes ce serment est dans le rituel, mais qu’en est-il vraiment ? * La F. Maçonne entre en Loge en femme libre pour accomplir avec ses Sœurs un travail en commun d’amélioration… : il n’y a là aucun secret

suggérer que l’argumentaire de Sganarelle n’est pas solide. 3) Un point de vue affirmé Dans deux répliques, Dom Juan expose un point de vue tranché : - Quand Sganarelle lui demande s’il croit au moins au moine bourru, il répond assez violemment par un juron « la peste soit du fat ». Fat signifie à la fois « idiot » et « prétentieux ». C’est une manière de dire à la fois que Sganarelle est bien prétentieux de penser qu’il va le convertir et d’autre part de critiquer violemment les superstitions. En tous

rebondissement de la scène. Surprise marquée par l’interruption de Phèdre dans la réplique d’Hippolyte : « Et je vais… », et par la réaction Oenone totalement prise au dépourvu : « Que faites-vous, Madame ? Juste dieux ! ». La ponctuation expressive et le juron montrent son incompréhension. Changement spectaculaire dans les relations entre les personnages. Phèdre vivait son amour cachée. Oenone était seule dans la confidence. Hippolyte était innocent et ne se doutait de rien. Complet renversement de situation

nous. Le conducteur ne semble pas regarder la route et notre patience, déjà arrivée à bout, fait place à de la colère. Nous appuyons sur le klaxonne, et notre fureur semble ne connaître aucune limite tandis que nous explosons de colère lançant juron après juron à propos de cette espèce de conducteurs qui appartient à un certain genre, à une certaine race, qui viennent de certains lieux géographiques, etc. Et nous nous sentons plus que justifiés dans notre réaction. Toutefois, à un moment donné, nous

réflexion : Thème : jalousie / adultère / secret de famille / pêche / relation mère et fils / famille / héritage / rivalité entre frères / mer / crise familiale Style de l’auteur : Registres dominants : Réalisme  médiocrité des personnages + jurons et interjections (« zut » « cristi » « nom de Dieu ») protagonistes grossiers (« a cause de cette cruche, de cette dinde, de cette oie grasse ») + personnages ordinaires et situations banales Naturalisme  détails crus et vocabulaire

mots. C'est aussi un comique (à première vue) assez simple puisqu'il suffit de saisir les calembours pour rire. Plusieurs procédés sont utilisés : par exemple dans (IV, 1) de l'École des femmes, les rimes dissonantes, le mélange soutenu-familier, les jurons ou encore les hyperboles omniprésentes font tout le comique de mots. Le dernier comique que nous allons traiter est celui de personnage. Par définition, le comique de personnage est engendré par les caractères d'un protagoniste. Ainsi, le fait qu'Arnolphe