Juron

L’indication « hors de lui » souligne la force des paroles qui suivront. En effet, quand on regarde la ligne 14, on retrouve le ton véhément de Créon grâce à la ponctuation : « Mais bon Dieu ! Essaie [...] petite idiote ! ». Les points d’exclamation et le juron « bon Dieu », mais aussi l’expression « petite idiote » montrent que Créon parle dans le but de briser la résistance d’Antigone, en lui faisant peur pour qu’elle cède. Les mots « petite idiote » rabaissent Antigone, font d’elle une enfant face au roi

tonnelle. 13 : "sur la meule" : sur le disque servant à aiguiser. 14 : le chapelain est le prêtre. 15 : honni signifie couvert de honte, déshonoré. 16 : "contrite" : je m'en repentirais, je serais encore plus chagrinée. 17 : "par mon bonnet" : juron comique. 18 : "par bribes" : par morceaux de phrases séparés les uns des autres (il est essoufflé). 19 : "il ne ménage pas sa peine" : il fait tous les efforts possibles. LES PERDRIX QUESTIONNAIRE 1 : Pourquoi le vilain s'absente-t-il pendant

prieurs, le chant des moines Frère Jean : son gout pour la boisson (effet de paronomase), le néologisme avec « moina» B) Entre sacré et paganisme Les références aux superstitions, les différences religieuses, les blasphèmes, les jurons Rabelais critique ici cette religion mêlant sacré avec croyances du moyen Age C) Rabelais et la guerre Rabelais a une position pacifiste et réfléchie en général Grandgousier représente Rabelais, ennemi de Pycrochole

communes permettant une certaine compréhension .Cette effet est d autant mieux percu par le fait que la scène regroupe des personnages de classes social différentes (un gentilhomme , un paysan …) On retrouve également des action rapides accompagnés de jurons. Le comique de geste est lui aussi bien présent notamment quand dom juan donne à plusieurs reprise un soufflet à pierro , et quand il court après celui-ci tout en tournant autour de charlotte . La deuxième scène est quand à elle beaucoup plus tragique

Monde – 74300 Cluses, et que SAS voulait dire Société par Actions Simplifiée. * Sur le site Société.com, www.société.com j’ai vu que le Président du Conseil d’Administration était Monsieur Jean-Philippe Demael. 4 – Comment savoir d’où vient le juron « Tonnerre de Brest » (sens de cette expression) ? * Sur la page d’accueil de Google, j’ai fait une recherche avec le nom entier : Tonnerre+de+Brest * Je suis tombée sur le site www.wikipedia.org, et après avoir sélectionné la langue française

dire au héros « c'est assez » et lui demande de tenir enfin parole. On peut enfin observer un jeu de symétrie inversée entre la scène du Pauvre et celle de M. Dimanche : dans le premier cas, Dom Juan offre de l'argent en échange d'une parole (le juron) qu'il n'obtient pas, alors que dans le second cas, il offre des paroles au lieu de l'argent qu'il refuse de restituer. En outre, on observe à chaque fois une tentative de séduction, ratée auprès du pauvre, réussie avec le créancier. Enfin, les deux

Médée qualifie Jason de "perfide", de "parjure" et de "lâche", mot mis en valeur par sa position en tête de vers, de phrase et de tirade. Jason, quant à lui, lance une réplique cinglante sous forme de phrase averbale simplement construite sur deux jurons, juxtaposés, dans lesquels explose sa rage: "horreur de la nature, exécrable tigresse". Le premier groupe de mots rapproche Médée du monstre, de l'être infâme. Le second procède par métaphore: la tigresse est choisie pour qualifier la cruauté de

(c'est-à-dire le ventre) pour la cornue, les , " dés à coudre "l.15) pour les petits verres. L'image a souvent une valeur hyperbolique et intensive, grâce encore souvent au discours indirect libre, comme dans le " vitriol "(l.14) qui désigne l'eau-de-vie. Les jurons sont présents, à cause de leur force expressive : " Tonnerre de Dieu! "(l.11) Tous ces éléments correspondent à une recherche de l'expressivité, qui est en effet le trait le plus remarquable de la langue populaire. DEUXIÈME AXE DE LECTURE LA PERSONNIFICATION

champ lexical » ou une « allitération ». Cela peut être aussi simple que de dire que le personnage de Léopold L’ÉPREUVE UNIFORME DE FRANÇAIS 3 (extrait de la pièce À toi pour toujours, ta Marie‐Lou, de Michel Tremblay) exprime sa colère par des jurons répétés, comme « tabarnak », « ciboire », « crisse », etc. Une seule preuve formelle, pertinente et bien intégrée à votre argumentation peut suffire. En tout cas, cela vaut mieux que plusieurs références non pertinentes à la forme ou « plaquées

paysans. Marivaux s’amuse à reproduire leur accent et leurs fautes. guignon : soucis, malheur magnier : tripoter bailler : donner gager : parier ; ici : « je parie que c’est vrai ! » il ne me revient point : il ne me plait pas morgué : c’est un juron • Texte 2 Lechy Elbernon est actrice. Son amie Marthe lui avoue qu'elle n'est jamais allée au théâtre. LECHY ELBERNON [...] Moi je connais le monde. J'ai été partout. Je suis actrice, vous savez. Je joue sur le théâtre. Le théâtre. Vous