Justice Et Liberté Sont Elles Compatibles

L’indépendance de la justice B – La protection des libertés individuelles «  L’Etat de droit est l’Etat qui, étant à la fois esclave et protecteur des libertés, tire sa légitimité de son aptitude à les développer, et s’y soumettre…» G. Lebreton. INTRODUCTION. Les rapports entre l’Etat et le droit ont fortement marqué l’évolution de la société occidentale surtout vers le XIXe siècle, lorsqu’il s’est agi d’encadrer la puissance de l’Etat par le droit. La défense des libertés individuelles

pas son existence ? On devra donc déterminer si les inégalités peuvent être légitimes et si elle sont compatibles à la cohésion sociale. Qu’est ce qui peut justifier les inégalités ? D’après la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, « les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. » Les inégalités ne sont donc pas générées par la différence de liberté entre les membres, mais par de nouveaux privilèges créés depuis la Révolution, détenus par les dirigeants

GUERRE JUSTE ? INTRO : Qu'il s'agisse de "razzia", pillages effectués en vue de se procurer de la nourrriture (guerre "économique"), des Croisades (guerres "saintes"), de la guerre Froide (conflits idéologiques), ou encore d'opérations du type "liberté enn Irak" (2003), à chaque fois les deux partis en présence disposent toujours de raisons qui cautionnent leur hostilité. Or cette volonté de légitimer la guerre ne trahit-elle pas précisement son inaptitude à être ainsi justifiée? La guerre et le

appartient pas de contrôler l’opportunité d’une loi, le Conseil constitutionnel dispose ici d’un outil dont il peut faire usage avec une grande subjectivité. D’autre part, le Conseil rend fréquemment des déclarations de conformité avec réserve. À travers elles, le Conseil a de surcroît tendance à réécrire la loi, s’érigeant ainsi en co-législateur. Le contrôle constitutionnel équivaut à un travail de création normative qui n’est justifié que par la procédure élective. Les juges ne sont donc pas habilités

règle de droit par rapport aux règles individuelles Locke ou Rousseau : la règle de droit provient du juste équilibre des individus qui vivent en société  libertés que détenait à titre individuel les individus de la société sont données à charge de la société  redistribution des libertés : on accepte de renoncer à certaines prérogatives et libertés) Cette approche consacre en partie ce qu’est le positivisme car finalement la légitimité de la règle provient de la légitimité de la source  ce sont les

il s’est avéré que parfois la loi conduit à l'absence de liberté. Il s'agit des dictatures qui utilisent la loi pour contraindre et donc priver le peuple de liberté. En effet, sous le régime d'Hitler, les lois racistes de Nuremberg par exemple, ont totalement aliénée le peuple juif. Dans ce cas, la loi rime avec absence de liberté. Pourtant, la loi permet de garantir la liberté de chacun si son usage est légitime. Par exemple, la liberté d’expression est garantie par de nombreux textes. Ce paradoxe

23 à 31 CE), la libre-circulation des personnes et des services (art. 43 à 55 CE), et la libre-circulation des capitaux (art. 56 à 60 CE). Ces trois libertés sont le fondement du marché unique, lui-même au cœur de la construction communautaire. Toutefois, elles connaissent certaines limites, instaurées par le traité et précisées par la Cour de Justice. 1.En termes de libre circulation des marchandises, aux exceptions prévues à l’article 30 CE sont venues s’ajouter les exceptions définies par la

de Scoot, … animé par certaines valeurs. L’individu est encastré dans un groupe différent encadré par des valeurs différentes. 3. Valeur de société : l’ensemble des groupes, associations, familles appartiennent à des sociétés, elles-mêmes animées par des valeurs (ex : liberté, égalité, fraternité). 4. Valeur historique : c’est pour nous permettre de nous rendre compte que les valeurs évoluent avec le temps. Ex : il y a 200 ans, l’esclavage était considéré comme normal. Evolution spatiale et temporelle

La justice - Cours de philosophie La justice Les enjeux de la notion – une première définition               La notion de justice désigne à la fois la conformité de la rétribution avec le mérite et le respect de ce qui est conforme au droit. Cette notion est donc indissociablement morale et juridique. Il serait possible de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il pas en chacun de nous un « sens de la justice » qui nous rend apte à évaluer et juger les

La liberté La liberté, terme très usité à l'époque moderne: DDHC (Europe, EU) XVIIIème siècle. Il va devenir valeur suprême, idéal. MAIS confusion entre pleins choses: la liberté repose-t-elle sur pouvoir faire les choses? Alors 1) Moyen de réaliser une action ou 2) Puis-je me permettre par rapport au pouvoir. Celui qui ne permet rien (manque de liberté) autre terme vouloir (Liberté, faire ce que l'on veut) MAIS pb peut être assimilé au désir (faire ce qu'il me plaît? ou faire ce qu'il faut