La Justice Philosophie

 La philosophie trouve ses origines dans le monde grec. De nombreuses écoles de pensées apparaissent au cours du IV° siècle avant Jésus Christ. Parmi elles, l’aristotélisme. Cette philosophie découle de l’enseignement d’Aristote et se révèle être aussi importante que le platonisme. Aristote ne se limite pas à l’étude d’une seule matière : il était à la fois philosophe, littéraire, physicien, géographe et scientifique : il a, en effet, expliqué le monde et la formation du cosmos. Il est le fondateur

La philosophie « La philosophie est une activité, qui, par des discours et des raisonnements procure la vie heureuse » EPICURE PHILOSOPHIE vient des mots grecs « philien » qui signifie « aimer » et « sophia » qui signifie « sagesse », « savoir ». La Philosophie est un discours du VIème siècle av. JC en Grèce à Ionie, autour de la ville de Milet, avec des personnes comme Thalès… Ce sont des hommes qui refusent de répéter les récits épiques, les mythes cosmogoniques. Ils exigent un autre type

XXe siècle. Son œuvre majeure, qui parut sous le titre Théorie de la justice en 1971 et à laquelle il travaillait depuis les années 1960, le rendit célèbre. (*) Par ses travaux, Rawls a considérablement contribué à la philosophie politique. Sa Théorie de la justice fut traduite dans 23 langues, et a, encore aujourd’hui, une influence considérable, en philosophie, en économie et en science politique. L’originalité de la théorie de justice de J.Rawls est qu’elle essaye de concilier entre la notion

COURS DE PHILOSOPHIE DU DROIT [pic] L'expérience humaine du droit nous pousse à nous interroger sur l'existence et le sens immédiat des liens juridiques qui nous affectent; mais aussi, nous sommes conduits à nous poser des questions qui portent au-delà des préoccupations immédiates ; nous sommes tentés de nous interroger sur le sens, la signification profonde du droit, et plus particulièrement sur les fondements du droit. Ce sont là questions philosophiques. Nous nous questionnerons d'abord sur

Platon Platon (428-348 Av J-C) → Disciple de Socrate ; Relate avec admiration le procès de Socrate devant le tribunal Athénien en 399 av J-C Platon écrit ce texte afin de montrer les relations philosophie, justice et politique. Platon fait de ce procès un mythe de la fondation de la philosophie. Composition du texte ① La négation des accusations ② Un plaidoyer ironique pour une jugement + souple ③ Condamnation à mort + Bilan du procès Souligne bien les enjeux et chefs d’accusation

et l’orateur, il y a débat. L’orateur doit dominer son adversaire. On peut parler de combat oratoire. La production d’arguments démagogiques n’est efficaces que devant une foule ignorante. Le politique véritable sait ce qui est juste, connaît la justice et est donc capable, de par cette connaissance, de conduire au mieux la cité. De son côté, le rhéteur ou le sophiste ne savent pas comment diriger la cité puisqu’ils ne connaissent ce qui est juste mais, par contre, ils excellent dans l’art de faire

"présocratiques" (en dépit parfois du bon sens chronologique...), le thème de la contradiction et des contraires constitue une sorte de fil rouge qui permet de situer "philosophiquement" 'mais aussi moralement et même politiquement) chacun d'entre eux (leur philosophie générale...). Ceci pour autant que leurs écrits, souvent cités dans le texte de détracteurs ou de "disciples", soient décelables dans leur vrai sens, identifiables et vérifiables.  Les figures d'HERACLITE  (vers 576-480 av JC) et de PARMÉNIDE (vers

tout est permis. La raison permet d’avoir accès à la volonté de Dieu (intermédiaire). Le premier jalon est l’œuvre de Descartes : En général, dans l’histoire de la philosophie, on fait remonter la modernité à l’œuvre de Descartes (1596-1650). Il va se poser à lui-même comme défi de repenser toutes les catégories de la philosophie à partir de la raison. Il va proposer une méthode pour réfléchir par soi-même. Pour rompre avec le temps de la tradition, il faut être capable de penser par soi même

hypothèse sur la conception de la justice du Socrate historique PatriCK ouellette, Université de Sherbrooke 1. La question socratique Le nom de Socrate est presque aussi fameux que celui de la philosophie. C’est parce qu’il est le premier à se vouer entièrement à la recherche de la connaissance humaine, c’est-à-dire à une recherche dont la préoccupation première consiste à comprendre la nature morale de l’homme. Nous devons toutefois nuancer : la philosophie, essentiellement recherche de la

discussion entre Thrasymaque et Socrate qui s’entretiennent sur la nature de la justice .Pour Thrasymaque ,la justice  « sert les intérêts des plus forts », le juste serait donc un stupide , qui ne sait qu’obéir. Socrate n’est pas d’accord avec cette vision des choses. Glaucon doute. Il propose alors une distinction entre trois catégories de biens , qui doit permettre de mettre en évidence la problématique suivante : La justice, dans quel bien faut-il la classer ?Quelle est sa nature ? Glaucon cite :