Le Mensonge Est Il Toujours Immoral

« Le mensonge n’est pas une petite chose aux yeux de Dieu » est dit dans l’apocalypse verset 22.15 de la Bible. D’un point de vue religieux, plus précisemment chrétien, la vérité est un devoir que personne ne peut négliger. Pourtant, toute vérité est-elle bonne à dire ?Rappelons d’abord ce qu’est la notion de vérité. Il s’agit du caractère de ce qui est vrai, en adéquation entre la réalité et la pensée de celui qui l’énonce. Cela peut aussi être une proposition qui emporte un assentiment général

Dissertation PhilosophieDissertation Philosophie : Sommes-nous toujours obligés de dire la vérité ? Dire la vérité, pour un homme doté d’une conscience morale, semble, à première vue, se présenter comme devoir. En ce qui concerne l’obligation d’exercer ce devoir, chaque homme est libre de dire ou non la vérité. C’est avant tout un choix de dire la vérité, et ce faisant, l’idée qu’il y aurait une « obligation » de dire la vérité paraît donc fausse. Toutefois il est primordial de noter que la « vérité

déchue, perdue par ses actes immorales. Le Vicomte de Valmont : Il est une sorte de Don Juan, tout aussi manipulateur que la marquise. C’est un libertin accompli qui traitent les femmes de manière lamentable. Il pourrait donc aussi être qualifié d’anti héros, allant même jusqu’à porter son dévolu sur une femme pieuse et respectable tout en déployant un vocabulaire religieux pour décrire ses ébats amoureux. Il se révèle très rusé et comme la marquise,il agit toujours au vu d'un dessein personnel

Dire les choses telle est la merveilleuse capacité de l’homme. Seulement depuis toujours celui-ci souhaite maîtriser parfaitement ce qui est en son pouvoir. Peut-il donc tout dire et accéder ainsi à une maîtrise suprême de la parole ? Mais qu’est-ce que « peut-on tout dire ? » ? Peut-on tout dire signifie : en a-t-on la capacité et en a-t-on le droit ? Il semble tout d’abord que rien n’empêche les êtres humains de tout dire puisqu’ils en ont les capacités physiques. Cependant le « tout » est à définir

"La Vie imite l'Art" "Le déclin du mensonge" est un essai, très court, dans lequel Oscar Wilde défend sa vision radicale de l'Art. Présenté sous forme d'un dialogue entre deux personnages, Cyril et Vivian ( les noms de ses fils, au passage ), il n'est pas difficile de reconnaitre en Vivian, qui a la part belle, le propos de Wilde que Cyril tente vainement, pauvrement, de contre-argumenter. C'est que Vivian/Oscar Wilde n'y va pas de main-morte : pour lui en effet "la Vie imite l'Art".

de lois : - Morale : Ma conduite est légitime. - Sociale : Agir en toute légalité. Autre signification, nuance : Parfois on dira “être dans son droit”. Souvent, ça donne une autre connotation, on est plutôt dans la revendication. Qu’est-ce qu’un mensonge, qu’est-ce que “mentir” ? → Contraire = Sincérité, véracité. Différent de vérité. Histoire de Jean Paul Sartre pour appuyer cette idée : “Le Mur”. On se trouve dans les années 1938 / 1939, pendant une période de guerre civile en Espagne. Confronte

moralité en soi. Pourquoi cette inversion? Encore là, une première réponse semble univoque : parce qu’on l’a choisie. D’une part, nous savons qu’une maxime déterminée uniquement par la loi morale garantit le bien : « Le bien ou le mal signifient toujours un 1 Le lecteur trouvera une liste des abréviations à la fin de l’article. Quant à la pagination, le premier chiffre réfère au Kants Gesammelte Schriften, Königlich Preussischen Akademie der Wissenschaften, le deuxième à sa traduction française

d'un chinois ou d'un nègre. La société n'a donc rien à faire ici; elle ne doit pas être considérée. Ou alors, si je la considère, qu'exige-t-elle de moi, au nom de la solidarité? Elle exige que j'approuve en certains cas le vol, l'injustice, le mensonge, la violence, la vengeance, en deux mots, les châtiments et la guerre. Oui, la société, comme telle, ne me demande que de mauvaises actions. Elle me demande d'oublier pour un temps les devoirs de justice et de charité, seulement elle me le demande

d'un chinois ou d'un nègre. La société n'a donc rien à faire ici; elle ne doit pas être considérée. Ou alors, si je la considère, qu'exige-t-elle de moi, au nom de la solidarité? Elle exige que j'approuve en certains cas le vol, l'injustice, le mensonge, la violence, la vengeance, en deux mots, les châtiments et la guerre. Oui, la société, comme telle, ne me demande que de mauvaises actions. Elle me demande d'oublier pour un temps les devoirs de justice et de charité, seulement elle me le demande

oubli provient il d’un mensonge à soi même ou de la mauvaise foi de l’individu ? Le mensonge à soi même consiste à s'envoyer un message faux. Il y a celui qui ment et celui qui reçoit le mensonge, c’est donc être deux. Dans le cas du traumatisme de la seconde guerre mondiale la question de la légitimité du mensonge se pose mais également du devoir de mémoire. Alors peut-on avoir le droit de se mentir? Tout d’abord il faut définir la possibilité et la capacité du mensonge à soi même. Nous le ferons