Le Pessimisme Et Flaubert

Miromesnil près de Dieppe en Normandie. Après la séparation de ses parents en 1860, il vit avec sa mère près des paysans. Chassé du préceptorat d'Yvetot pour son rationalisme, il entre au lycée de Rouen ou, grâce a Louis Bouilhet, il rencontre Flaubert. il en ressort bachelier en 1869. Il arrive alors a Paris pour faire des études de droit vite interrompues par la guerre franco prussienne. Mobilisé, il se souviendra de son expérience et surtout de sa haine envers les militaires rudes et les

Guy de Maupassant naît le 5 août 1850 au château de Miromesnil, que ses parents viennent de louer. Sa mère, Laure le Poittevin, fille d’un filateur normal, est la sœur du meilleur ami de Flaubert. Son père est un noble authentique, paresseux et charmeur. Son père et sa mère ne s’entendent pas et se séparent. Laure élève, seule, ses deux fils Guy et Hervé. Il termine ses études au lycée, à Rouen où le poète Louis Bouilhet lui sert de correspondant. Il a vingt ans quand éclate la guerre de 1870 :

[pic]   l’encrier de L'encrier de Flaubert à Croisset. f Fils d'un chirurgien et d’une mère fille de médecin, Gustave Flaubert naît le 12 décembre 1821 dans la ville de Rouen. En 1829 début de l’amitié avec Ernest Chevalier à qui il écrira la première lettre de la correspondance « L’amphithéâtre de l’hôtel dieu donnait sur notre jardin. Que de fois avec ma sœur n’avions nous pas grimpé au treillage et, suspendus entre la vigne, regardés curieusement les cadavres étalés ! le soleil donnait dessus ;

A l’évidence oui car on retrouve dans cette œuvre de Maupassant désillusions, effondrement des valeurs, amertume et pessimisme. Maupassant nous fait assister à l’anéantissement progressif d’une jeune fille au départ pleine de rêve, d’ardeur, de vie. Au début Jeanne est pleine d’enthousiasme, de foi dans l’avenir, d’espoir et tout semble la destiner au bonheur. Elle rencontre son prince charmant : Julien et l’épouse. Mais l’amour n’est qu’illusion, la fusion des âmes n’est qu’un mirage, le prince

Miromesnil près de Dieppe en Normandie. Après la séparation de ses parents en 1860, il vit avec sa mère près des paysans. Chassé du préceptorat d'Yvetot pour son rationalisme, il entre au lycée de Rouen ou, grace a Louis Bouilhet, il rencontre Flaubert. il en ressort bachelier en 1869. Il arrive alors a Paris pour faire des études de droit vite interrompues par la guerre franco-prussienne. Mobilisé, il se souviendra de son expérience et surtout de sa haine envers les militaires rudes et les

avait été l’amie de Gustave Flaubert, le fils d’un chirurgien de Rouen, qui exerça une certaine influence sur la vie de Guy. Elle fut une femme d’une culture littéraire peu commune, aimant beaucoup les classiques. En 1856, naît Hervé, le frère cadet de Guy. Il reçut un enseignement catholique à l’abbés Aubourg. Pendant son adolescence il devient un enfant indiscipline, donc il fut rendu à sa mère. Durant cette période il commença à écrire grâce au conseille de Flaubert qu’il rencontra les dimanches

est un écrivain français. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885,Pierre et Jean en 1887-88, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante dufantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi

l'initie à la littérature et lui fera rencontrer Flaubert. Il écrit des vers qu'il envoie à sa mère. Il se fait renvoyer mais obtient quand même son bac en 1869 au lycée de Rouen. Servant dans les bureaux de l'armée, il assiste à la guerre en 1870, puis de 1872 à 1880, Maupassant travaille au ministère de la Marine. Le dimanche, il se promène aux abords de Paris, le plus souvent, au bord de la Seine où il y fait de l'aviron. Pendant ce temps, Flaubert l'initie au métier d'écrivain et lui apprend à

improbable, l’instant présent ne cesse de lui échapper. " [1] Flaubert rédige sous le titre d’Un Cœur Simple l’histoire touchante et volontairement grise d’une ancienne servante de ses parents. Cette histoire fait partie du recueil des Trois Contes édité en 1877. Dès sa publication, il reçoit les éloges de nombreuses revues littéraires. Si l’amitié de George Sand et la mélancolie de l’âge ont parfois désarmé l’agressivité de Flaubert, il n’a pas versé pour autant dans l’épanchement pathétique : l’écriture

contre les excès du sentimentalisme romantique. C’est dans ces conditions que l’histoire personnelle de Flaubert va rejoindre les tendances d’une certaine élite de son temps. Il venait d’écrire La Tentation de Saint Antoine, somptueuse évocation de toutes les hérésies, et avait soumis son ouvrage à l’appréciation de ses amis Du Camp et Bouilhet. Les deux critiques conseillèrent alors à Flaubert de renoncer au lyrisme et de purger son esprit trop imaginatif en se consacrant à une histoire triviale