Les Grandes Interrogations Philosophiques

De nos jours, on se pose de plus en plus de question philosophique dans beaucoup de domaine, mais plus spécifiquement à propos de l’être humain. L’être humain est un sujet très controversé dans le domaine de la philosophie. Dans ce texte, on verra le point de vue de deux philosophes sur une question qui est un grand sujet de discussion autant autrefois qu’aujourd’hui. Enfin, ce texte, posera la question suivante : la rationalité scientifique et l’avancement technique qui s’en accompagne doivent-ils

ce déclin si rapide. Et si les comédies vieillissent réellement plus vite que toute autre œuvre littéraire, comment alors expliquer le succès toujours aussi vif des comédies de Molière, de Beaumarchais ou de Marivaux ? Afin de répondre à ces interrogations, il sera tout d’abord intéressant d’aborder les causes du déclin rapide des comédies pour ensuite expliquer les raisons de l’intemporalité de certaines pièces, souvent surprenantes de modernité et d’actualité. Depuis l’Antiquité, la comédie

(1621-1695) Il est le fils d'un maître des eaux et forêt du duché de Château-Thierry ; lui aussi prendra cette charge. Apprécié pour ses poésies et ses contes, il participe aux fêtes de Vaux-Le-Vicomte, données pas Nicolas Foucquet. Reçu chez les grands, gentilhomme de la duchesse d'Orléans, il est admiré et aimé pour toute son œuvre. Publiés à partir de 1668, ses recueils de Fables proposent une vision du monde désabusée, sage, enjouée et mélancolique. • Molière (1622-1673) Jean-Baptiste

tout œil particulier, à toute appréhension d'un œil particulier. Protagoras affirmait déjà que "l'homme est la mesure de toutes choses", en quoi l'on peut déjà comprendre qu'il n'existe aucune vérité "en soi". Selon toute une tradition philosophique, partant de Platon, et aboutissant notamment à Bachelard, l'opinion est disqualifiée dans toute prétention à rendre compte validement de quoique ce soit. Mais d'une double manière, on peut prétendre qu'une opinion ne peut jamais être fausse. D'une

convictions morales, les gens ne pensaient pas qu’ils étaient sain d’esprit. Malgré qu’il était un des philosophes des lumières, Jean-Jacques Rousseau restait incompris par ses paires et se brouillait très souvent avec eux. Même si ses livres ont un grand succès, ils lui apportent beaucoup de conflits avec l’église catholique et le parlement de Paris qui lui reprochent que ses œuvres sont « outrageantes et en rupture avec l'époque ». Un mandat d’arrêt est lancé contre lui. Il est obligé de quitter la

Diderot philosophe n’a laissé son nom comme signature incontestable à aucun grand système rationaliste… Il nous apparaît avant tout comme un touche-à-tout des sciences, de l’art et des techniques, le laborieux directeur d’un ouvrage monumental, l’Encyclopédie, qui lui coûta le plus clair de son temps et de son énergie. C’est un libertin, jugé vulgaire par le dix-neuvième siècle, auteur d’une œuvre littéraire dont l’originalité est incontestée … Mais un philosophe ? Certainement, et même un de ceux

essentiellement le serment et la communication des secrets , complétés par la remise du tablier. Ces éléments centraux s’entourent des « perambulations » autour de la Loge , manière particulière d’avancer vers l’Orient pour y prêter serment sur les Trois Grandes Lumières. Pour ceux qui se seraient plongé dans l’histoire de la Maçonnerie spéculative , force est de constater les multiples variantes rituelles qui ont existé au fil du temps. Différents textes permettent d’affirmer que l’usage du serment

CONFÉRENCE PHILOSOPHIQUE “Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.” Voltaire L’ÊTRE HUMAIN, UN ANIMAL COMME LES AUTRES CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN Association ALDÉRAN Toulouse pour la promotion de la Philosophie MAISON DE LA PHILOSOPHIE 29 rue de la digue, 31300 Toulouse Tél : 05.61.42.14.40 Email : philo@alderan-philo.org Site : www.alderan-philo.org conférence N°1600-111 L’ÊTRE HUMAIN, UN ANIMAL COMME LES AUTRES La nature animale de l’espèce humaine Conférence d’Éric Lowen donnée

transforment en rhinocéros. Les conversations deviennent creuses, et le seul enjeu d'une conversation entre gens sérieux est le nombre de cornes d'un animal: c'est un comique grossier et burlesque, tel que le sérieux est réduit à néant et les choses grandes (la logique , l'intelligence) sont réduites à des choses petites. Ionesco ajoute au comique de situation un comique de mots, plus subtil. La conclusion particulièrement absurde du syllogisme "donc Socrate est un chat" consiste en un détournement

positions) l. 20-21-22 Proposition A : si on prie, on doit être exhaussé Proposition B : or les vœux du pauvre ne sont pas exhaussés Proposition C : (implicite) donc la prière ne sert à rien I critique implicite de la religion   _ nombreuses interrogations de la part de DJ : « Quelle est ton occupation parmi ces arbres ? » (l. 13), «  Il ne se peut donc pas que tu ne sois pas bien à ton aise ? » (l. 16-17) I ne dit pas sa véritable idée et essaye de pousser le pauvre à la dire lui même.   C