Logique modale

manifestations du sens. Ils sont faits pour être lus. 2. Avant d’analyser, il est indispensable de lire (et relire) le texte à analyser. Cette première lecture vise à ce qu'on ait une perception globale du texte et de son contenu. 3. Un texte repose sur une logique : c'est une construction (un "monument" à visiter plus qu'un "document" d'information). Lire (en sémiotique) consiste donc à rechercher la loi de cet assemblage de sens (une cohérence de signification). Cette loi est sémiotique, car c'est une loi

dirais. Le conditionnel présent peut avoir ici valeur de potentiel (action réalisable dans l'avenir) ou d’irréel dans le présent (action irréalisée dans le présent). La présence de la condition, la volonté de défendre l'esclavage, éclairent le choix modal. Il s'agit d'une pure hypothèse, d’un cas de figure impossible, d'une «hypothèse» d’école de pure rhétorique. * La démarche argumentative : Elle s'exprime à travers le choix lexical. Les termes soutenir et droit, le verbe dire, le présentatif

génération de la parole, et de l’autre – à la stylistique, à l’analyse des textes appartenant aux différents styles. Aussi la proposition est-elle la forme linguistique de l’expression de la pensée. Voilà pourquoi la syntaxe s’adresse très souvent à la logique – science étudiant les lois de la formation de la pensée. 1.1. Trois approches à l’étude de la proposition. Toute proposition exprime les pensées et les sentiments de l’homme apparus comme résultat de ses contacts avec le monde extérieur. Voilà

pas." (Pascal) * Antonomase : prendre un nom commun pour un nom propre, ou l’inverse. * Asyndète : (« absence de liaison ») suppression des particules de coordination ou des conjonctions, et par extension de toute liaison attendue ou logique, dans l’ordre grammatical ou sémantique.
Exemple : "Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu." * Contamination narratoriale : le narrateur adopte le langage de son personnage. * Déictique ou embrayeur ("montrer", "pointer du doigt") : terme

La 1ière phrase énonce une thèse qu’Hugo va réfuter, mise en exergue par l’alinéa et le retour à la ligne. (structure en paragraphe plus 4 alinéas sont remarquables après cette phrase. 3 des 4 paragraphes débutent par un connecteur logique qui a cette fonction d’embrayeur. « d’abord » l.2, « mais » l.7, « reste … » l.13, chacun d’entre eux est mit en relief par un signe de ponctuation ( - ; , ; … ), recours systématiquement à un jeu de « - » dans ces paragraphes. On se croit dans du

liens logiques (connections logiques) par ex : donc, cependant,, par conséquent … en tête de chaque paragraphe et enfin relire. 4. CRITÈRES D’ÉVALUATION Bon résumé Compréhension du texte entier (enchaînement dans l’ordre) Respect du nombre des mots Le nombre des mots doit être précisé Respect de l’énonciation Expression correcte – orthographe correcte Reformulation Mauvais résumé Incorrections (impropriétés, abbréviations) Faux sens ou contresens Absence de liens logiques Trop

1980, les chercheurs de l’intelligence artificielle se sont spécialement penchés sur la programmation de logiques pouvant donner de l'intelligence aux ordinateurs. C'est ainsi que l'on a vu apparaître les logiques floue, d'ordre zéro, d'ordre 1 (Prolog), épistémique , temporelle, modale, etc. La logique floue, la première à apparaître (Mycin), a produit nombre de systèmes experts. La logique d'ordre 1 a permis, grâce à Prolog, de développer nombre de programmes depuis 20 ans. Elle est aujourd'hui

| | | |Abstract (F): Le présent article donne un aperçu de la sémiotique narrative de Greimas, plus particulièrement| | | |de la théorie greimaassience de la logique actantielle d'une part et de la séquence narrative de base d'autre| | | |part. L'approche de l'auteur privélégie la contextualisation de la sémiotique greimassienne, qui se voit | | | |distinguée

garantir l'objectivité scientifique des analyses, qui devenaient par là vérifiables et généralisables. La formalisation à laquelle Greimas va vite recourir (et qu'il emprunte en partie à la linguistique de Chomsky, mais aussi à la phonologie et à la logique), est généralement considérée comme un grand atout de son système. Elle va permettre pendant un certain temps de laisser intact le rêve de percer finalement "les" caractéristiques essentielles de "la" littérature. Enfin, force est aussi de constater

l'homme même. Diodore, liv. I, part. II, chap. III. Dans ce texte, Montesquieu feint de se faire l'avocat des esclavagistes, exposant des arguments permettant de défendre leur position. Pourtant, leur étude permet de déceler en chacun un défaut logique ou moral. Par ce recours à l'ironie se trouvent critiqués et ridiculisés les tenants d'une pratique inhumaine dont la condamnation s'inscrit dans un mouvement général de défense et de promotion des droits de l'homme.  I. La stratégie argumentative :