Morale Contraignante

sont pas nécessairement des règles juridiques on pense ici aux règles religieuses, principes moraux, règle de bienséance, courtoisie, usages… Pour quoi distinguer ? Car le droit connais des fondements substantiels Section 1 : Fondements substantiel du droit Les normes juridiques qui vont être étudié sont sous la dépendance de différents facteurs, elles peuvent refléter ou s’inspirer de principes moraux, religieux, éléments politiques. P1 : Le droit confronter aux autres règles de conduites

la règle de droit. Section 1 : le caractère de la règle de droit. Les traits spécifiques de la règle de droit sont essentiellement au nombre de trois. Elle est générale, abstraite et impersonnelle. La règle est obligatoire. Elle est contraignante. Le caractère générale, abstrait et impersonnel de la règle : la règle juridique n’est pas faite pour un individu donné, elle s’applique a tous les hommes. Elle s’applique à tous ceux qui sont soumis aux autorités qui les gouvernent. Par exemple

monde intérieur. Juger mon extérieur mais aussi se juger soi même (témoin de son existence). Conscience morale: Voix intérieure qui nous prédit ce qu'on doit faire. Jugement moral.> Permet d'apprécier la valeur, voire la portée de nos actes (juge intérieur). Conséquence: Au cœur de toute conscience il y a la conscience morale. Alain: « Toute conscience est implicitement morale et l'immoralité consiste à ne point pense rqu'on pense ». Autrement dit, ne pas penser qu'on pense c'est encore

découvertes, théories scientifiques, méthodes mathématiques - Tout ce qui appartient à la propriété intellectuelle = création, logiciels… LA PROCEDURE DE PROTECTION | En matière de brevet, le respect des procédures répond à une logique contraignante. * Sans procédure, il n'y a pas de brevets. * Formalisme exigeant. * Les inventeurs se font souvent assister par « des conseils en propriété industrielle » Le CPI consacre les articles L612-1 à L612-21 à cette question. Il expose

réflexion semble d’abord s’inscrire dans une perspective psychologique et morale, mais se termine par une référence soutenue au domaine politique. Selon lui, il semble ainsi que la question de la définition de la liberté obtienne une réponse plus satisfaisante du côté de l’obéissance citoyenne que du côté du désir individuel. Peut-on se satisfaire de cet oubli de la personne et accepter la subordination de la réalité morale et psychologique à la considération politique ? Le texte est construit

contraint l'Homme à respecter autrui, l'Homme est à même de dominer son alter ego et de le soumettre à sa personne. L'Homme, dans ces conditions, dispose d'une liberté naturelle lui permettant d'agir selon ses envies, en faisant abstraction de toute morale. Rousseau lui-même assurait dans son Contrat social que « ce que l'Homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre ». L'Homme hors de la société, ou qui ne respecte pas

de gérer la vie social et en société, cela suppose que l’on s’intéresse d’abord à la règle de droit. Chapitre 1 : La règle de droit : La règle de droit c’est une règle de conduite en société au même titre que les mœurs la religion ou la morale. C’est une règle de conduite humaine à laquelle la société peut contraindre par une pression extérieure plus ou moins intense. Plus précisément la réglé de droit est une règle de conduite dans les rapports sociaux règle général abstraite et obligatoire

Descartes, Les maximes de la morale provisoire, Le discours de la méthode, III ***** « Ainsi, afin que je ne demeurasse point irrésolu en mes actions, pendant que la raison m’obligerait de l’être en mes jugements, et que je ne laissasse pas de vivre dès lors le plus heureusement que je pourrais, je me formai une morale par provision, qui ne consistait qu’en trois ou quatre maximes dont je veux bien vous faire part. La première était d’obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment

s’apercevoir, que les distances sont réductibles par des parents bienveillants. Il ne comprend pas, et les cris poussés sont à la hauteur d’une indignation sans artifice. L’autorité parentale est le premier acte culturel qui touche le tout jeune enfant, contraignant une faculté naturelle dont il fait depuis peu l’usage. Mais cette contrainte lui est salutaire car il ne sait pas les dangers auxquels il s’expose. Il lui faut obéir pour son bien. Pour l’enfant, obéir est un renoncement positif. L’éducation est

tel homme, pour Platon, se trompe sur la nature du juste, il est dans l'erreur, il s'est laissé tromper, divertir, aidé en cela par quelques sophistes qui ont soufflé sur les braises (=naturellement, il a tendance à se soustraire à l'exigence contraignante de sa raison, et les sophistes accentuent cette tendance néfaste en lui fournissant ds justifications rhétoriques fallacieuses). L'homme, naturellement orienté vers le bien, est « dévoyé » (au sens premier= hors de sa voie). Pour Platon, c'est