Morale Contraignante

conférée à l'empereur en raison de son titre et l’impérium c’est-à-dire le pouvoir commandement Les édits étaient des textes a porté général promulgué par l’empereur en vertu de son impérium, ils proclamaient une disposition générale à valeur contraignante. Les décrets étaient des jugements rendus par l’empereur ou son conseil, ils avaient une valeur limitée en cas d’espèce mais l’auctoritas lui conférait une valeur plus générale Les rescrits étaient une réponse écrite approuvé par l’empereur

sans contrainte extérieure peut être associée à la définition de la liberté, et plus précisément au concept d’indépendance. Il y a 32 ans naissait un célèbre slogan «Jouir sans entraves », une revendication de la liberté sexuelle contre une morale contraignante qui se voulait surveiller les désirs et les limiter. Pendant cette période, l’Eglise a été reconnu comme l’obstacle à cette liberté. On considère généralement que le fait de nous empêcher de faire ce que l’on désire est une atteinte à notre

qu’on ne finit pas de décrier, à raison évidemment. Ainsi, lorsqu’il avance sans sourciller qu’« aujourd’hui, la forme de vie privée que chacun choisit n’a guère besoin d’une légitimité externe, conformité sociale à une institution, ou encore de la morale » (p. 9), nous ne pouvons que regretter qu’il ne prenne pas le soin de rappeler qu’il ne met à jour ici qu’une seule dimension de l’identité personnelle, dont la prégnance est toute relative selon le genre, la génération, la classe sociale, le capital

  Il semblerait alors que tout se doit d'être affronté, l'insensibilisation à une peur se faisant tôt ou tard bien plus facilement qu'on ne le croit.  D'autre part, l'acceptation et l’observation des choses laides de ce monde, qu'elles soient morales ou physiques, permet de renforcer la saveur du "beau" et du "bien". Ainsi, par comparaison de notre existence à celle des autres, on peut se sentir heureux, mais seulement si nous en avons conscience. En effet, si on compare notre vie à celle

HEGEL ET ANALYSE DE SES ENJEUX Hegel (1770-1831) aborde dans ce texte la question de la fonction de l'art. Qu'accomplit-on en créant (l’artiste) ou en contemplant (le public) une œuvre d'art ? Cherche-t-on l'expression d'un sens, d'un message moral ou religieux ? Recherche-t-on seulement un plaisir particulier, une satisfaction esthétique ? Il est vraisemblable que l'art, comme la plupart des productions humaines, assume plus d'une fonction. Hegel, dans ce texte, soutient que l'art libère l'homme

l’application du droit : l’homme a beau être guidé par une loi morale, intérieure à son esprit, il n’a pas à l’état de nature la capacité de la suivre où d’être autonome, d’où la nécessité de l’établissement d’une justice pour faire respecter un droit écrit. Cependant, cette justice là comme institution judiciaire ne rend pas compte du principe de justice, ou justice absolue. Pour Kant, le principe de justice a un lien effectif avec la morale telle qu’il la définit : l’impératif catégorique dont la maxime

toutes règles de droit est assorti d'une sanction émanant de l'autorité. En effet, pour avoir le caractère normatif la loi doit inéluctablement émané d’une autorité bien distincte. La règle de droit se distingue de la règle morale et religieuse. Un manquement à la règle morale ne sera pas sanctionné par l'Etat car l'individu choisi le comportement qu’il veut adopter. Le caractère obligatoire de la règle de droit est définit de façon à ce que la règle s'impose, sous peine de châtiment corporel. Le

Pour la plupart d'entre nous, le droit apparaît contraignant. Nous le voyons d'ailleurs assez souvent comme un système de lois et de devoirs lié au corps de la police chargée de faire respecter la loi afin de maintenir la sécurité et l'ordre social. Mais le plus souvent, nous oublions que nos droits les plus naturels sont protégés par ces mêmes lois qui nous contraignent à des devoirs. Nous avons également tendance à oublier le temps qu'il nous aura fallu pour acquérir ces droits, que nous soyons

qui émane du pouvoir législatif ; on l’opposera aux règles de droits issues du pouvoir exécutif. I - Droit et morale La règle morale peut être définie comme celle qui tend au perfectionnement de l’homme, de sa conscience, de sa conduite. Elle peut être religieuse, et non pas laïque. Le rapport droit/morale constitue une question fondatrice. La règle juridique et la règle morale sont-elles des règles distinctes ? Dans quelles mesures le sont-elles ? Un citoyen a-t-il le devoir de désobéir

pas du juridique telles que : • Les obligations morale qui relèvent de la conscience de chacun et on ne peut pas demander leurs exécutions forcées devant les tribunaux. On y inclut les règle de politesse, de savoir vivre, les règles de vie en société. La seule sanction est celle émanant de la conscience. • Les obligations naturelles. Elles sont a mis chemin entre l’obligation morale et m’obligation juridique. Elles répondent à un devoir de moral, d’honnête mais en dehors de tout texte tel que