Morale Contraignante

la matière peuvent choisir de restreindre les libertés individuelles dans le but d'une préservation de l'ordre public. Notamment , le lien entre la notion de libertés fondamentales et de police administratives est ancré par l'idée de l'activité contraignante de la police administrative (son activité consistant en un maintien de l'ordre public dans le respect des libertés individuelles et collectives). Est-ce que les pouvoirs de la police administrative sont soumis à une réglementation tendant à

conduite ne sont pas forcément du droit. Il faut alors distinguer. On peut respecter des règles morales, religieuses, philosophiques. Comment reconnaitre la règle de droit ? comment la différencier des autres règles de conduite ? § 1 – Les critères d’identification de la règle de droit Il y a 2 critères d identification de la règle de droit : La règle de droit c est une règle générale et aussi contraignante. A) Une règle générale C’est une règle générale et impersonnelle. Elle s’applique à toutes

Michel Foucault, le maître parle peu, il commande par signaux brefs et l’élève doit s’exécuter dans l’instant : lire, reprendre les derniers mots, s’arrêter pour qu’un autre élève puisse reprendre la lecture, etc. La particularité fonctionnelle et morale de cet espace disciplinaire, c’est son manichéisme. L’apprentissage scolaire est un monde coupé en deux ! ce qui est bien et ce qui est mal. Ce qui convient à Dieu et ce qu’il faut éliminer de la pensée de l’enfant. C’est pourquoi la sanction tient

société en Etat de nature c'est à dire que pour survivre les Etats acceptent de réfréner leur recours à la force, en 1945 n'est pas plus d'ambition que d'empêcher que les Etats de se faire la guerre, avant 1945 le droit international n'a pas de visée morale, il est amoral, les questions liées à la manière dont un Etat se conduit envers les autres Etats ou sa population sont des questions qui n'intéressent pas le droit international au sens juridique. Cette amoralité va permettre des principes juridiques

naturel et pour le jus cogens) que cela fait se confondre les deux notions. Le jus cogens est une notion qui évolue selon les transformations socio-historiques de la société internationale et selon les modifications intervenues dans les conceptions morales, philosophiques et idéologiques de cette dernière. Le jus cogens est alors bien du droit positif appliqué et sanctionnable, même si cela apparait comme étant purement théorique pour certains auteurs. C’est ce que semble avoir voulu exprimer le professeur

qui s’applique dans toutes les situations qui ne contient pas des règles exceptionnelles. Il contient des règles d’ordre public, règles impératives mais elles sont peu nombreuses et n’ont pas le même objectif.) Droit public plus impératif, plus contraignant que le droit privé. - Pas appliqué par les mêmes juridictions Les lois du droit public appliquées par les tribunaux de l’ordre administratif. Les lois du droit privé appliquées par les tribunaux de l’ordre judiciaire Argument contre - Pas

les domaines concernés? On parle de liberté: - en droit . Par ex. est libre celui qui n’est pas esclave ou qui n’est pas détenu. - en fait. La liberté est alors entendue comme puissance de faire ce que nous désirons. - d’un point de vue moral. La liberté est la situation d'un esprit non assujetti aux passions. - dans le domaine de l‘action. La liberté, ou libre arbitre, est un pouvoir absolu de décision. Que présuppose la question posée? La définition en question suppose que la

chantent ». La morale kantienne est également critiquée pour son formalisme. Sartre prend l'exemple d'un jeune homme ayant le choix entre s'occuper de sa mère ou rejoindre les résistants à Londres. Dans les deux cas, la maxime de son action n'est pas morale puisqu'il sacrifie nécessairement une "fin en soi" en la réduisant au rang de « moyen » : abandonner sa mère étant le moyen de rallier Londres, abandonner les combattants étant en revanche le moyen de s'occuper de sa mère… La morale de Kant ne donne

extérieure, alors rien ne garantit que leurs actions soient coordonnées. Si être libre c'est pouvoir laisser libre cours à ses choix individuels alors, en effet, on voit mal comment parvenir à une coordination des individus sans une institution contraignante. Il faudrait alors limiter la liberté d'action pour la sauver, en quelque sorte. Pourtant, cette conception est trop simpliste car elle se rapporte à une vision d'un homme qui agirait sans souci des autres. Or, il est bien évident qu'à regarder

libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une obligation morale : 1) Obligation, contrainte ou effet de la volonté ? 2) Les critiques du devoir : INTRODUCTION : Le droit occupe dans le monde « occidental » une place de premier plan. Il est considéré comme le grand régulateur de la vie sociale