Morale Contraignante

et immorale ? La loi peut présenter des caractères contraignants. On entend ici la loi morale et la loi juridique. La loi, en effet, est universelle, elle régit notre existence, et tout être raisonnable a pour devoir de lui obéir. En effet, le respect de la loi garantit notre vie en communauté, c’est elle qui nous permet de vivre ensemble. Chacun se doit de respecter son voisin comme un être égal, comme une personne, c’est un devoir moral. Ne pas respecter son prochain serait contraires à nos

de faire preuve de force de caractère? 3) La notion même d'apprentissage semble en contradiction avec la notion de liberté. En effet, l'apprentissage en tant qu'instruction suppose la soumission à certaines règles et à certains exercices contraignants qui briment la spontanéité apparemment caractéristique de la liberté. En tant qu'enseignement, l'apprentissage fait acquérir des contenus qui véhiculent des idéologies. Ainsi l'apprentissage agit comme un conditionnement, il produit des comportements

dimension juridique qui semble être contraignante. Je dois respecter les limitations de vitesse, sous peine de me voir supprimer mon permis de conduire, je ne dois pas voler ce qu'il ne m'appartient pas sous peine de finir devant la justice, le vendeur a le devoir d'apporter le produit commandé par le client tandis que ce dernier se doit de payer le vendeur,... Tous ces devoirs, ces règles, définis par une société sont souvent juridiques avec une connotation morale non négligeable mais indispensables

l'être vivant, végétal, animal ou humain, il possède des lois spécifiques à son espèce, en accord avec leur façon de vivre. En ce qui concerne l'animal politique, c'est-à-dire sorti de son état de nature, la loi régit sa vie dans tous les aspects : morale, culture (croyances), devoirs politiques, etc. Alors, peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? Désobéir, c'est contredire par des actions. Une loi est une proposition présentée au vote du peuple. On peut déjà repérer le paradoxe «vote du peuple»

La loi est contraignante lorsque son application est sanctionnée par l'autorité public laquelle soit impose une obligation soit confère un droit qui doit être respecté par tous. Le non respect de la règle de droit trouve sa sanction dans l'exercice du pouvoir judiciaire. Le rôle du juge est en effet, d'assurer le respect par tous des règles de droits. La règle de droit doit être distinguée des autres règles. Il y a en effet aussi des règles de bien séance, des règles morales, des règles religieuses

justice, à l'honneur et au bien en général. Dans le Phèdre, Socrate initie Phèdre au beau moral, une notion mise en valeur dès le sous titre. Après son premier discours, le philosophe puise dans la morale pour qualifier son discours d'impiété et d'imprudence 102/104. Et quand il critique la rhétorique sophistique dans la 3ème et la 4ème partie du dialogue, il rappelle à Phèdre, les valeurs de la morale qui doivent être respectées dans toute parole " ce n'est pas pour parler, mais pour être capable

d'une divinité, s'oppose à celle de "droit naturel". La contrainte sociale est que l'individu es tsoumis à des obligations, tantot contraignante ou agréable. La citation d'Alex Weill permet de soulever un problème, les contraintes sociales de la règle de droit sont-elles des règles morales? Les caractères de la règle de droit (I) et son rapport avec la règle morale (II) sotn les deux axes que nous alons développer. I.Les caractères de la règle de conduite humaine: A.Le caractère obligatoire et

doit être envisagé le miroir constitué de la négative : qu’est-ce que ne doit pas être la règle de droit ? A cette fin, il convient de mettre en relief la règle de droit en envisageant la question des normes juridiques non normatives (telles que la morale, la religion, …). Déterminer ce que doit être la règle de droit c’est permettre de l’identifier, de l’objectiver mais également d’en comprendre les limites, tant dans sa conception ou mise en œuvre que dans l’écart qui peut exister entre celles-ci

l’amour goût, afin d’obtenir les faveurs de Cydalise. Nous pouvons donc nous demander de quelle façon il fait apparaître l’amour goût comme meilleure philosophie que celle de l’amour. En effet, il présente l’amour comme un sentiment illusoire et contraignant, contrairement à l’amour goût qui, provoquant les mêmes agissements, est un retour au vrai, et devient finalement synonyme de simplicité et de liberté. Clitandre présente le sentiment amoureux comme illusoire. On peut le voir au milieu de son

cherche toujours à préciser son objet. C'est d'ailleurs tout à fait naturel, dans la mesure où les « libertés » sont étudiées de manière transverse, à travers des champs extrêmement diversifiés, approches religieuses ou théologiques, philosophiques, morales, historiques, sociologiques, juridiques etc... I - LA DIVERSITE DES TERMES REFLETE LA DIVERSITE DES APPROCHES Notre objet n'est évidemment pas d'affirmer que telle terminologie est meilleure que telle autre. Tout au plus tenterons de voir quels