Pronom indéfini

Le pronom ONLe pronom personnel ON Le pronom indéfini Exercices1) S’agit-il du ON équivalent à NOUS (1), ou du pronom indéfini (2)?1. Nous, on adore faire du sport ! 2. On m’a volé mon vélo ! 3. Quand on aime, on ne compte pas ! 4. Avec Charles, on a décidé de s’inscrire en fac de philo ! 5. On va au restaurant avec mes amis ce soir. 6. Regarde, on dirait Emmanuel !2) Cochez le sens de on dans la phrase Exemple : Marie et moi, on aime dîner dans ce restaurant

veut nous ancrer dans une réalité. Cpdt, elle a l'air d'être commune à plusieurs endroits : elle est ordinaire : Répétition du pronom indéfini : « on » → Inclusion du poète dans la promenade, la description est valable pour n'importe quel promeneur. Banalisation de la flânerie. Articles indéfinis : « un chemin » (.6), « un oiseau » (v.7) Répétition de l'adjectif indéfini : « quelque » (v.8) « Par moments » → répétition dans le temps Ce n'est pas un moment nique, d'exception. Qfois, Verlaine use

direct, au présent de l'indicatif et à la première p. du sing. L124. "Cependant"(L125-131) marque l'intervention de Cléanthis. Les passages narratifs, dans lesquels Cléanthis résume les principales circonstances, sont brefs. Elle utilise le pronom indéfini "on" pour présenter Euphrosine. On peut supposer que, d'après l'intonation de Cléanthis, elle caricature sa maîtresse (L126-127). Donc : regard dévalorisant, mépris Distance entre elle et la maîtresse. - imitation d'un dialogue mondain (L135

cou ». Le langage militaire alimente l’hypotypose, la description détaillée de ce combat acharné. De plus le contre-rejet du vers vingt-trois accélère encore le rythme du récit. Le verbe « rugit » ainsi que la portée universelle donnée grâce au pronom indéfini « on » ajoutent également la sonorité et les impressions ressenties à ce tableau vivant. Le moucheron agresse le lion à de nombreux endroits comme nous le démontre le champ lexical du corps du lion :... [à continuer]

surplomb des événements (le récit est rétrospectif) mais certains indices prouvent qu’il y a participé comme l’expression « nos concitoyens ». (Pronom inclusif) La 2nde partie (suite et fin de l’extrait) correspond à la description de l’apogée de l’épidémie. Cette fois, la présence du narrateur se fait bien plus discrète comme le prouve l’emploi du pronom indéfini « on ». Cette distance vis-à-vis des événements, cet anonymat renvoie à l’anonymat dans lequel sont plongés les habitants : il ne peut y avoir

étudie " avec admiration " et " avec curiosité ". | |C’est l’apparence " l'air ", ainsi que la matière tangible, " le corps, la chair ", qui parlent à Thérèse et lorsque le | |narrateur écrit : " On sentait ", le pronom indéfini désigne à l'évidence Thérèse, puisque son emploi suit logiquement | |l’examen de la jeune femme. L'héroïne devine donc par ses sens la forme des muscles de Laurent, son animalité et sa | |virilité.

sont ; Elles sont tout heureuses ; elles sont tout hallucinées attention : quand tout est suivi d’un déterminant pluriel, il se met au pluriel Ex : tout le jour ; tous les jours   mais tout peut être aussi adjectif indéfini : à toute allure, toute la vaisselle ; Pronom indéfini s’il est placé devant un verbe conjugué : tout revit ; Ou nom s’il est précédé d’un déterminant : un tout, des touts   nota : on peut écrire : de tout côté ; de tous côtés ; en tout sens ; en tous sens   Les compléments

désespoir 1) Un personnage en marge Connotations inversées sur le soleil et l’obscurité 2) Un personnage contre-nature Opposition personnage-soleil (jeu des pronoms) 3) Solitude sociale Morceau de dialogue et réponse II Un regard désabusé sur la société 1) La généralisation du discours Articles indéfinis Pronom indéfini 2) Une attitude fausse Les contradictions Manger et parler, spécialités francaises 3) Un mal-etre général Analyse de l’imparfait final

déterminant possessif. * Le déterminant démonstratif. * Le déterminant indéfini. * Le déterminant interrogatif. * Le déterminant exclamatif. Déterminants : articles. * Les articles définis « le, la, les » déterminent avec précision le nom auquel ils se rapportent. Ils permettent d’identifier le référent. Ex : Le train est en gare. La fille se promène. Les enfants vont à l’école. * Les articles indéfinis « un, une, des » déterminent avec imprécision le nom auquel ils se rapportent

pluriels : « les ombres noires », « les mères », « toutes », « les âmes » et « les dévotes ». Ces femmes sont donc perçues davantage comme un groupe que de façon individuelle. De plus, la clientèle est réduite à l’anonymat par l’utilisation du pronom indéfini « on » et de formules globalisantes telles que « peuple de femmes » ou bien encore « la femme » pour désigner toute la gente féminine qui se rend chez Mouret. Toutes ces notifications mettent en évidence la foule qui se presse dans le magasin