Pronom indéfini

« on ne voit plus, on ne sait plus » l42; perte des repères avec répétition du mot « sans » lignes 16 et 17 ; aucun repère spatio-temporel pour le lecteur et cela tout au long du passage, aucune indication de chronologie sauf « puis » l10 ; emploi du pronom démonstartif « cela » l 41 dont le référent est ambigu) on ne sait pas qui attaque : anonymat des ennemis (pluriel), on ne sait qui parle « les voix » l 14 B. Le déchaînement de la violence champ lexical du bruit qui traduit la violence (« hurle »

inverser les points de vue II/ Un regard qui dénonce une société qui vit dans la démesure, l’excès I Un point de vue inversé A) Une impression de flou - Multiplication des indéfinis : « on » pronom indéfini, « un » « une » article indéfini => flou, incertitude : « à une certaine heure » double indéfini (article/adjectif). - « Une région » «les femmes du pays » « ceux qui habitent cette contrée » « ces peuples » « les gens du pays » : lieux termes généraux, démonstratifs => éloignement

l’explosion des sentiments mais également le drame romantique. Le titre condamne l’attitude de Perdican et de Camille qui ont joué avec les sentiments de Rosette, et ont ainsi causé sa mort. Le titre prend ici la forme d’un proverbe : le pronom indéfini « on » a ici une valeur universelle, et le présent de l’indicatif relève de la  vérité générale. La négation suggère une mise en garde : il ne faut pas badiner avec l’amour. Ainsi, le titre annonce déjà le danger : tout badinage risque d’être 

indigène en «  instrument de production «  ( ligne 6 ), qui vient appuyer notre idée. PHRASE D’AMORCE Nous finirons par dire que lorsque Aimé Césaire veut exprimer ses idées, il emploiera le pronom personnel «  je «  , à fin de se démarquer de la vision des colonisateur qu’il désignera par le pronom indéfini « on «  . À chaque idée qu PART II IDEE UNE  À chaque idée du colonisateur, Césaire trouve un moyen de dénoncer l’hypocrisie, par l’expression «  «  réalisations «  «  ( ligne 8 ) , les guillemets

Ensuite l’auteur nousdécrit la ville comme si nous déambulions dans celle-ci, l’impression d’une visite est suggérée par l’emploi du verbe de déplacement «vient» (ligne 1). Le narrateur introduit son lecteur désigné dans letexte par l’emploi du pronom indéfini «on» (ligne 1). Le regard lui-même est guidé par le narrateur , ce que révèlent les indices spatiaux (ligne 1, 10, 14, 17, 23) et les verbes qui structurent... [à continuer]

D - La rédaction de la dissertation. Lors de la rédaction exprimez-vous à la troisième personne du singulier ou à la première personne du pluriel, afin de donner un caractère général à votre propos. Ne mêlez pas l’emploi du pronom indéfini « on » à celui du pronom « nous ». Excluez l’emploi de la 1ère personne. Enfin, veillez à l’équilibre entre les différentes parties de la dissertation. 1 - Composer un paragraphe Le paragraphe constitue l’unité de base du plan, il en est également

marquent donc une rupture énonciative. Il a néanmoins correctement utilisé le pronom personnel de première et deuxième personne du singulier « je » et « tu » qui représentent le locuteur et le destinataire. De plus, à la fin de sa production l’élève emploi le pronom indéfini « on » qui marque de nouveau une rupture énonciative. Il passe d’une énonciation du récit à celle du discours. Il aurait dû employer le pronom personnel « il ». Grammaire de texte Concernant l’emploi des temps, pour

tout grave mais ridicule. Voltaire choisi précisément ces chefs d’accusation afin d’accuser l’Inquisition et donc la religion pervertie. 3) La tournure à la voix passive insiste sur la variété des faits (tortures). L’emploi du pronom indéfini on montrent que Voltaire essaie de montrer que tous les on participe à l’autodafé et donc sont tous complices de l’Inquisition par leur contribution. 4) Voltaire transforme l’autodafé en une sorte de spectacle grâce a un ton superlatif. Nous

vêtement de soie" * "large" = rempli de largesse = générosité * + comparaison réductrice * ironie de F 2/ Un rêve puéril Aucune destination ni de lieu précis / aucun financement Mais: fin description -> jugement de l'auteur pronom indéfini réducteur Bleuâtre -> suffixe péjoratif III/ Une opposition a la réalité Rêve indications spatio-temporelles "du haut d'une montagne" "depuis 8 jours" Réalité indication spatio-temporelles "sur la place" "le matin quand blanchissait

demande ton normal Open the door, wont you ? demande ton irritant Shall we ? Shan’t we ? : pas de différence de ton Si présence d’un élément négatif « nobody, rarely, few… » rend la phrase négative Reprise pronominale d’un pronom indéfini (nobody, someone, anyone…) toujours par « they » Si présence de plusieurs auxiliaires : reprise du 1er auxiliaire HAVE. Si Have est verbeDo Si Have est auxiliaireHave EXCEPTION : « I am supposed to… » aren’t I ?