Pronom indéfini

risquer sa vie peut être «reconnue» (dans sa supériorité). — maître : le sujet autonome et humain reconnu (par «l'esclave»). On note que la dialectique «maître-esclave» s'introduit implicitement dans notre intitulé. — quelqu'un : il s'agit du pronom indéfini : un être humain quelconque, une personne absolument indéterminée. Cette indétermination peut orienter la problématique.

Ensuite l’auteur nous décrit la ville comme si nous déambulions dans celle-ci, l’impression d’une visite est suggérée par l’emploi du verbe de déplacement «vient» (ligne 1). Le narrateur introduit son lecteur désigné dans le texte par l’emploi du pronom indéfini «on» (ligne 1). Le regard lui-même est guidé par le narrateur , ce que révèlent les indices spatiaux (ligne 1, 10, 14, 17, 23) et les verbes qui structurent.Emile Zola (1840-1902) est le principal représentant de l'école naturaliste. Il écrit

paroles du personnage. On les aura: phrase exclamative, chargé d’émotion (la détermination, l’espérance). Le futur du verbe projette le personnage dans l’avenir et prend une valeur prophétique en annonçant la victoire prochaine et certaine. Le pronom indéfini « on »désigne les soldats et par extension tout le peuple français . Le verbe »souscrivez » à l’impératif, est une injonction du soldat à ses proches qui doivent eux aussi faire un effort et financer la guerre. Les écritures sont disposées

dans un contexte littéraire ou culturel. - La présentation amène le sujet, en reprenant la citation s'il y a lieu. - Le problème posé est énoncé. - Le plan est clairement exprimé. Conseils : pour rédiger une introduction ➢ N'utilisez pas un pronom démonstratif dans la présentation du texte ou du sujet. Il faut éviter de commencer une introduction de commentaire par «Ce texte », une introduction de dissertation par «Ce sujet ». ➢ Indiquez nettement votre projet de lecture ou votre problématique

direct, au présent de l'indicatif et à la première personne du singulier. "Cependant" marque l'intervention de Cléanthis. - Les personnages narratif, dans lesquels Cléanthis résume les principales circonstances, sont brefs. Elle utilise le pronom indéfini "on" pour présenter Euphrosine On peut supposer qu, d'après l'intonation de Cléanthis, elle caricature sa maîtresse De plus, elle imite un dialogue mondain. II/ Le théâtre dan le théâtre -Cléanthis est sur le devant de la scène, elle

habileté dans l’art de faire mal : elle annonce le sadisme. III. Le libertinage a) L’inconstance, une loi de la nature Cette Loi est posée d’emblée, dès le premier paragraphe, au présent de vérité générale à l’aide du pronom personnel généralisant « on », du pronom indéfini « tout » et elle justifie l’inconstance. Du reste, entre le principe donné comme fondateur dans le premier paragraphe et la décision de rompre « une aventure qui m’a occupé depuis quatre mortels mois », on notera la présence

René préfère se refugié dans la nature. Dans l’extrait, en premier lieu, il est accusé. « On m’accuse d’avoir des gouts inconstants » ligne 1. « On m’accuse de passer toujours le but que je puis atteindre » ligne 4à5. Il y a une répétition du pronom indéfini ; On. Donc dans le premier paragraphe, il va se justifié en se posent des questions rhétoriques. « Est-ce ma faute, si je trouve partout de bornes, si ce qui est fini n’a pour moi aucune valeur ? ». Dans un second lieu, après son justificatif

-Portrait du séducteur : Utilisation du présent de vérité générale qui montre que le portrait de Nemours est sans appel :"Rien ne me peut empêcher de connaître que vous êtes né avec toutes les disposotions pour la galanterie (...)"La position du pronom indéfini "rien" souligne la volonté de la princesse de tout analyser.Le duc est caractérisé par ses "dispositions pour la galanterie" et "ses succès heureux". Or ces expressions peuvent avoir un double sens : la galanterie est un art de vivre mais aussi

sur ce personnage et son comportement (Le "paysan" que lord Balcarras avait appelé général, et auquel le prince de la Tour−d'Auvergne avait dit : Mon cousin). Nous retrouvons en parallèle, le champ lexical de l’incertitude ; tel l’emploie du pronom indéfini « un » (un homme, un haut vieillard…), ou encore un bon nombre d’expression et de verbe qui expriment le doute et l’imprécision (il avait l’air, il semblait, il eût été difficile de préciser, il paraissait, il ressemblait…). Tous ces procédés

omniscient) cependant les auteurs laissent entrevoir une subvjectivité certaine qui va traduire leur parti pris quant aux personnages.Par exemple dans Stendhal, le pronom « notre » désignant Fabrice implique le lecteur et le met du côté du narrateur, l'invitant à avoir une vision critique de fameux personnage. Proust va employer le pronom indéfini « on » pour au contraire désigner la société bourgeoise, tout en permettant à l'auteur de garder une certaine distance, ne se comptant pas dans ses personnages