Pronom indéfini

l'évocation de coups ou d'armes et la présence de violence. De plus, l'épithète "grand" suggère un combat épique. Dans la première strophe, le protagoniste désigné par le pronom personnel sujet "il" des verbes d'action représente le vainqueur, les pronoms personnels compléments "l' ", "lui" dans la première strophe, le pronom indéfini "l'autre" (v. 7) et les métonymies "pied" (v. 12), "bras" (v. 13) et "sang" (v.14) correspondent au vaincu et les spectateurs assistants au combat sont représentés par

essayer de convaincre le prisonnier de se rendre. On perçoit toujours le même pronom personnel utilisé « Tu ». Ils s'adressent toujours à Gabriel Péri. Dans les vers 29 à 36, on entend la voix d'abord dans la 8e strophe de Gabriel Péri. On le sait grâce à l'utilisation du pronom personnel « je ». Il s'adresse à nous lecteur. Puis dans la 9e strophe , on entend la voix du narrateur. On le sait par l'utilisation du pronom personnel « il », il décrit ce qu'il se passe et s'adresse lui aussi au lecteur

|seize premiers vers, par le pronom personnel | | | |ils, avant que le coupable ne soit nommé | |antonomase (rappel figure de style qui | |« monsieur Bonaparte », puis ne disparaisse | |consiste à utiliser un nom propre comme un | |sous le pronom indéfini « on » v.13. On peut | |nom commun

présent de vérité général et la présence de vers blanc est une formule qui doit frapper « tout le plaisir de l’amour est dans le changement », c’est proche de l’alexandrin et de plus il utilise le pronom indéfini « on » (l 70), « lorsqu’on en est maître … » ; « progrès qu’on y fait ». Ensuite il emploi le pronom personnel « nous » qui renvoie à la troupe des conquérants dont Don Juan fait partie. Il y a donc une volonté de produire un discours généralisant doublé du plaisir narcissique de l’orateur

réflexion qui, en contrepoint des lectures historiquement situées et scientifiquement orientées, entend éclairer l’être qui est le sien en le ramenant à son statut d’existential d’un Dasein dont il constitue, toujours et d’emblée, l’ombre portée. D’un pronom à un nom Si à la question « que suis-je ? », Heidegger, on le sait, répond dans Sein und Zeit, en visant par là l’être de l’homme en général, que je suis un Dasein, mieux, que je suis le Dasein — Dasein étant le nom de l’étant que je suis, un étant

La tirade de D.J s’ouvre par une question qui sert à poser le problème : “ Tu veux qu’on se lie (...) personne?” 1. Opposition fidélité/infidélité : Pour faire son éloge de l’infidélité, Dom Juan utilise le pronom indéfini “on” qui lui permet de généraliser son propos et le pronom personnel “nous” qui permet d’impliquer les lecteurs/spectateurs. Pour évoquer la fidélité D.J utilise deus champs lexicaux : - Celui de la mort : “s’ensevelir, être mort, fini (...)”. - Celui du sommeil : “tranquillité

phrase, plus longue nous explique les raisons d'un tel succès. «  plus jolies que toutes » : l'adverbe plus, suivie du pronom « que » forment un comparatif superlatif, qui nous indique d'emblé qu'elle irradie la salle, on ne voit qu'elle. «  que toutes » : aussi significatif du fait qu'elle a constamment besoin de se comparet aux autres. Toutes : pronom indéfini féminim Elle : pronom personnel Comparaison entre singulier(elle) et pluriel ( toute) ==> renforce l'impression qu'elle se dégage de tous

attitudes, sans le recours à la parole. Faire une pose dans le programme. Faire une pause dans le programme. Fais vite que je ne sois pas en retard. Fais vite afin que je ne sois pas en retard. Fais-le pas ! Ne le fais pas (on place le pronom avant le verbe). Faut mieux venir ! Il faut venir ! Mieux vaut venir ! Féliciter ce qui le mérite. Féliciter ceux qui le méritent. Filer du mauvais coton. Filer un mauvais coton. Fini les vacances au bord de la mer ! Finies les vacances

Séquence 7 : Les poètes et la ville Texte 2 : « Les fênetres », Charles Baudelaire. I. Le poète guide notre regard : 1. le lecteur est désigné comme celui qui se promène : - Le pronom démonstratif « celui qui » revient 2 fois, le lecteur est dc mis dans la position de celui qui se promène. - Le poète nous invite alors a tourner notre regard de l’extérieur vers l’intérieur en insistant sur les comparatifs qui le valorise « autant que, plus que, moins intéressant que ». - Il met en

de la situation. D'abord, le pronom « ils » qui revient très souvent dans le début du passage contribue à présenter les habitants d'Oran comme une masse indifférenciée et impersonnelle. Ces derniers ont d'ailleurs « l'air de tout le monde, un air tout à fait général ». Ainsi, les Oranais constituent un groupe et forment une sorte d'unité, de collectivité. En effet, personne ne se distingue, puisque tous semblent partager le même état d'esprit. Le pronom indéfini « on » qui apparaît régulièrement