Pronom possessif

laxisme des députés. Les députés ne respectent pas leur devoir : ligne 6 « les valeurs humaines » « leur patrie » ligne 4. à argumentation indirecte Il utilise l’impératif ligne 33 et 31 Des incitations vives ligne 30 « je vous conjure… »Le pronom possessif « nos » montre que hugo s’associe à eux et qu’ils doivent s’investir (nos villes, nos campagnes) C. Hugo utilise un ton lyrique pour susciter l’action Ligne 8 « pénétré » met en avant ses sentiments : registre lyrique « je m’en sens

s’appartenir ni même se maîtriser. Il insiste ainsi sur le fait que « le front surtout me faisait mal », utilisant un article défini au lieu d’un déterminant possessif, se désolidarisant ainsi d’une certaine manière de son propre corps ; de même, les « veines » qui « battaient ensemble sous la peau » sont-elles déterminées, elles, par un pronom possessif qui les rend objets de ce front désolidarisé et non de la personne de Meursault. Les actions du personnage semblent commandées par une force extérieure

magasin appuie l’idée d’utilité et de vitalité pour les cliente. De plus, Mouret exprime une certaine domination des femmes, il se sent largement supérieur, il considère d’ailleurs les femmes comme un « peuple », « son » peuple, il utilise un pronom possessif pour les qualifier et les rabaisser. On trouve un champ lexical de la possession, « son », « lui qui les possédait », « qui les tenait à sa merci ». Le personnage de Mouret n’exprime apparemment pas de regret à se servir de ces femmes pour sa

personnels de l’auteur comme lorsque qu’il révèle le prénom de sa femme. Ligne 11 : « morte visible Nush invisible er plus dure », ou encore lorsque qu’il la tutoie tous au long du poème : « disais-tu », « tu l’as faite »,. De plus P.E insiste sur le pronom possessif « notre » avec le quelle il fait un anaphore. P.E fait également référence a une vie commune qu’ils ont eu ensemble, tout d’abords par le titre et également une information qu’il donne au vers 4 : « aurore, en moi, dix-sept années ». Et pour

adjectif possessif commun qui réunit les 2 personnes : c'est "nos" , sinon "je" et "tu" sont assez séparés. On a pas de cadre spatio-temporel précis. On a seulement quelques renseignements : il loge chez le roi donc on peut s'imaginer une époque. Mais nous sommes un peu hors temps ( ne vieillit pas ) dans la mesure où c'est le présent de l'indicatif qui domine ce qui donne à ce qui est rapporté un caractère immuable ( qui ne change pas ). Les deux premiers quatrains commencent par le pronom "je" alors

malheureux Arlequin. Elle a pitié. « pauvre enfant » a une connotation maternelle. Elle est inquiète quand elle en parle. Nombreuses exclamatives et interrogatives. Elle utilise un vocabulaire hypocoristique (de la tendresse). Elle utilise le pronom possessif de la première personne « mon ». La tendresse est très forte, il semble que l’amitié entre les deux est très fort. Mais est-ce réellement de l’amour ? Il est décrit dans une action, dans l’immédiat : « Arlequin chantait mieux ». Les sentiments

falaises » (assimile le corps humain à une machine de guerre). Xxxxxxxxxxxxx C'est un poème pour convaincre, en impliquant autant le locuteur que le destinataire. L'adjectif démonstratif « ce » implique fortement le locuteur. Au vers 8 le pronom possessif « le mien » renforce l'implication du poète. Quand au destinataire, il est interpellé par l'imparfait vers 7 « Écoutez ». Nous constatons une opposition de l'imparfait et du présent dans le premier vers « haïssait , bat ». Robert Desnos

relation intime avec une femme. Cette confidente est suggérée par le narrateur mais elle n’est pas pleinement exposée. Le lecteur sent la présence de cette femme, pour qui le narrateur se laisse envahir de ses sentiments. Elle est représentée par le pronom possessif « notre » vers 1 et vers 11 puis « ta » vers 2. Le narrateur utilise la première personne du pluriel « nous » vers 6, 12 et 17 et « toi » vers 14. Le lecteur sent bien que le couple est lié, la première personne du pluriel le prouve. C’est une

première personne du singulier ainsi que l'introduction de sa première rencontre avec les indigènes « pour ma part » prouvent de la subjectivité du point de vue de Jean de LERY. Dès la premièrephrase, il introduit les Toüoupinambaoults avec le pronom possessif « nos »: « nos Toüoupinambaoults » (l. 1). Jean de LERY mêle le récit de sa première rencontre avec les indigènes aux suivantes grâce àdes expressions telles que: « la première foi ». Le récit fut publié 20ans après sa rencontre avec les indigènes

majeurs de cette maison atypique étaient son architecture, son isolation et l'emploi de ses matériaux d'où notre plan de dossier. Et quelle meilleure problématique pouvions nous trouver pour encadrer ce plan, que le notre? De plus l'emploi du pronom possessif souligne la démarche très personnelle du chef de chantier. Il fallait également penser à notre oral pour cela nous nous sommes intéressées de prés à l'isolation qui fait l'une des particularité de la maison bioclimatique: son isolation en matériaux