Pronom possessif

Labé fait donc parti de ces écrivains en publiant son livre qui met en avant sa personne, l’amour et ses sensations. En effet, tous les sonnets de Louise Labé sont centrés sur sa personne. L'anaphore du pronom personnel " Je" reviens constamment dans ses sonnets. Quelques exemples, dans le poème VII je cite " je vis, je meurs" dans ce vers, Louise Labé passe d'un extrême à l'autre (antithèse) Un peu plus loin dans

–fois et une confiance en la vertu naturelle de l’homme qd les conditions lui sont favorables + accumulation de conditions favorables- "Fais-ce que voudras" ➝ prouve la confiance en l'être humain. - Récurrence du "leur" (premier paragraphe): pronom possessif ➝ indique qu'ils sont le centre de tout dans cette abbaye. - "levaient", "buvaient", "mangeaient", "travaillaient", "dormaient", énumération de verbes d'action à la 3e personne du pluriel qui retracent dans l'ordre le cycle journalier humain

excellence. Il pense que tout ce qu’il peut cultiver aux abords du château lui appartient, ce qui en devient obsessionnel comme le démontre la présence de pronom possessif de la première personne : « mes giroflées ». Par ailleurs, cette monomanie autorise le jardinier à toute sorte d’insolence : « On jette toute sorte de choses…. ». Dans cet exemple le pronom personnel « On » concerne tout le monde, y compris le comte et la comtesse. Ilne fait pas du tout de différence entre lui et le comte et n’a aucunes

comme l’indique le verbe de mouvement « dansait ». « L’on admira » renvoie à la cour générale mais le pronom indéfini « on » montre une certaine mise en relief de la jeune femme. À ce moment, on est plongé dans une attente, le duc de Nemours se fait désirer. Le suspense est entretenu par la forme verbale  « il se fit un assez grand bruit ». On attend donc l’arrivée du jeune homme. En outre, le pronom indéfini « quelqu’un » insiste sur cette idée d’attente. L’arrivée du Duc marque une sorte de rupture

au féminin : 1. Un pharmacien => Une pharma………. 2. Un vendeur => Une vend………. 3. Un mexicain => Une mexic……….. 4. Heureux => heur……….. 5. Un infirmier => Une infirm…………… 6. Joli=> Jol…….. Mettre le bon pronom possessif : 1) C’est le téléphone de Julie. a) C’est à elle b) C’est à nous c) C’est à lui 2) C’est la voiture de nos voisins : a) C’est à elles b) C’est à ils c) C’est à eux 3) Quand je vais á la piscine, j’emmène

conscience d’une solitude / mort inéluctable. La parole théâtrale devient inutile (la parole « tout court »). « Il n’y a personne » « Ça ne sert à rien de crier ». Marie : Phrase nominale : « Mon pauvre Roi » ⇒ Adjuvant démuni et spectatrice / Pronom possessif d’appartenance –> Relation affective. Marie est la seule personnage sur scène a être capable d’éprouver de la pitié ou de l’empathie pour Bérenger Ier. Marie : « Tout le monde est le premier à mourir » ⇒ Généralisation : Chaque personnage est

directement à ce qui lui intéresse, il ne va pas décrire le Turc. • « Le fils du Grand Turc ? » : répétition par MJ. Scène de questions chez MJ → effet de répétition : comique de répétition • « Amoureux de votre fille » -> « votre gendre » : pronom possessif : se rapproche de MJ. • « Mon gendre, le fils du Grand Turc ? » : répétition : surprise, moment de choc. Covielle ramène tout le temps à une phrase simple, il est condescendant, il fait un effort pour se mettre à la hauteur de MJ qu’il considère

perde elle-même. Elle termine son propos par le présentatif « voilà » (l.5). Un « voilà » (l.5) conclusif et récapitulatif qui se veut faire acte. Mais dans sa conclusion, il y a une légère distorsion entre « mes dispositions » (l.5) qui par le pronom possessif « mes » (l.5) semble englober tout son être et « ma raison » (l.5) . L’emploi synecdochique de  « ma raison » (l.5) tend à montrer que c’est ce qui domine chez elle. Mais en même temps la coordination avec « mes dispositions » montre qu’elle

de petites choses conservées des rendez-vous. Claire Claire est une femme de 30 ans. Elle est un médecin généraliste et habite un appartement de deux pièces dont une lui sert du cabinet. Dans le premier paragraphe, on n’utilise que le pronom personnel en parlant de Claire, on ne parle que de « elle », « lui ». Même si on ne connaît pas le nom de ce personnage, on sait qu’il s’agit d’une femme. Même si elle est tout à fait inconnue pour nous, en même temps, on sent que c’est par son intermédiaire

Pronoms personnels | Possessifs | Pronom réfléchi | | Pronom sujet | Pronom complément | Adjectif possessif | Pronom possessif | | Singulier | I | me | my | mine | myself | you | you | your | yours | yourself | he | him | his | his | himself | she | her | her | hers | herself | it | it | its | * | itself | Pluriel | we | us | our