Pronom possessif

Exercices sur l’ardoise Indiquez de quelle nature est le pronom souligné. Mes mains sont plus douces que les siennes. Je veux manger celui-ci. J'ai perdu mon crayon, donne-moi le tien. Son chat est devenu le mien. Ta voiture est bleue, alors que celle de Pierre est rouge. Il a mangé ses frites et les miennes. Mes notes sont moins bonnes que les tiennes. Ces maisons sont belles, mais celles-ci le sont encore plus. L'un prétend avoir vu une soucoupe volante et l'autre un avion.

tout le poète. Dès l’ouverture du texte, le « je » annonce que l’amour occupe son cœur (le siège), ses yeux (qui contemplent l’objet de l’amour) et sa bouche (qui clame le poème). Toutefois il est fait usage du pronom démonstratif et non du pronom possessif comme si le cœur, les yeux et la bouche étaient séparés du poète et donc autonomes. Le poète ne s’appartient plus. De plus, cette bouche qui clame le propos (l’expression du « je » lyrique) a d’abord clamé la fin de l’amour

d'aucune famille. Sa seule compagnie est une « servante »  « à demi sommeillant » (vers 5 et 6). Elle est donc seule avec sa vieillesse qui la pèse. L'écrivain, dans ce poème, est assez centré sur lui-même. Il utilise le pronom personnel « je » deux fois (vers 9 et 10) et le pronom possessif « mon » tout au long du poème. C'est donc une manière spéciale de déclarer sa flamme à une femme. L'auteur utilise l'adjectif « belle » pour décrire Hélène uniquement au passé. Il sous-entend avec cela que sa beauté

le nombre exact des visiteurs. Présence de l’auteur « je » Et pour finir, le double aspect du récit autobiographique : aspect historique de « mémoires » et implication personnelle ainsi que l’omniprésence de l’auteur par le pronom personnel « je » et le pronom possessif « mon » domine ce qui montre le réalisme du récit. Les interventions personnelles montrent l’implication de Montaigne dans le récit, ce qui donne de la spontanéité et créent la complicité avec le lecteur (sa mauvaise mémoire, ses

lui et les européens, il dissipe le rapprochement fait par le jeune homme. Il oppose clairement le colonisateur au colonisé par l’emploi du pronom personnel sujet « nous » et le pronom personnel sujet « vous ». L’esclave décrit plus l’esclavage comme un système que comme l’action néfaste de certaines personnes ; en parlant des châtiments il utilise le pronom indéfini « on » comme si il voulait désigner un ensemble, une partie de la société. Il justifie finalement l’esclavagisme par la gourmandise

nécessité du récit le commande, mais au contraire, plutôt par une obsession du regard qui n'arrive pas à s'accoutumer et à voir autre chose. De plus, nous observons que le groupe nominal "cette impure race noire", est très péjorativement détaillé. Le pronom démonstratif " cette" indique la race que l'on connaît déjà mais qui se trouve être encore plus accentué par l'adjectif "noir", puisqu'il permettrait alors d'insister d'avantage sur une de ses caractéristiques, la couleur de la peau. Une race, elle

humoristique, établit un lien entre l’auteur et le lecteur - « voilà » (v30) → commun - « notre défunt » (v5) et « notre curé » (v33) → l’auteur crée une complicité avec le lecteur grâce au pronom possessif « notre » - le narrateur intervient à nouveau dans la morale en utilisant encore une fois le pronom possessif « notre » : « notre vie » (v35) → il généralise la situation et s’identifie à la morale III Une chute efficace a) Une chute rapide et brutale - chute efficace : (v29) il emploie

idéalisme politique « Excellence, écoutez » (v.368), « Le Salut de l’Espagne est dans nos probités » (v.368). - Il souhaite lui montrer qu’il est digne de la position qu’il occupe et de lui prouver sa puissance : « oui, L’Espagne à nos pieds ». Le pronom possessif « Nous » s’oppose à la réplique de Don Salluste « Chacun pour soi » (v.355). - D’ailleurs, cet alexandrin brisé, (v.355) révèle la déchéance morale du noble. Pourtant, Ruy Blas a une véritable vision politique, il s’affirme comme un stratège :

Omniprésence de la 1er pers. sing. « J’attends » (V.2) Pronom Possessif et personnel. Possessif domine dont le titre «  Ma morte vivante ». « Mes yeux » (V.5) « Ma bouche » (V7, 8) « Ma vie » (V17) L’expression des sentiments -> Champ lexical de la douleur, de la mélancolie = mort. « chagrin » (V1), « perdent » (V6), « Ma vie finir » (V15), « Tombeau » (V19) 2. La disparition de l’autre Présence d’une autre personne -> position des possessifs, 2 pers. sing. Mise en valeur -> rythme binaire

votre histoire ?», « A votre naissance ? », « A la naissance de votre père ? ». Ce sont des questions existentielles, elles dirigent la pensée humaine durant la vie. A la fin de sa lettre aux jumeaux Nawal signe « votre mère ». Le pronom votre est un pronom possessif ici il met de l’affection envers les jumeaux, malgré son décès et son silence Nawal sera toujours là, avec ses enfants. Nous avons vu que Nawal parait présente lors de la lecture de la lettre mais elle n’est pas seulement présente…