Raisonnement

les refuser si la solution parait douteuse ne pas hésiter a le dire et a montrer les incertitudes qui subsiste car toutes opinion excessive est dangereuse. Ne pas oublier que le schéma du raisonnement est celui du syllogisme et le syllogisme on doit être capable d’expliquer ce que c’est. ( un raisonnement de type déductif face a une règle de droit qui a des condition d’application et vérifier que les faits entre dans les conditions d’application) Cas n°1 : S’il existe une tradition local

aristotélicienne. Il reproche à cette science d’ « expliquer à autrui les choses qu’on sait ». En effet, la logique est la science du raisonnement vrai mais il ne s’agit que d’une science formelle. Elle s’intéresse uniquement à la forme du raisonnement et non à son contenu. L’outil de démonstration employé en logique est le syllogisme, inventé par Aristote. Il s’agit d’un raisonnement en trois temps : deux premières propositions sont affirmées (prémisses) et la troisième proposition est la conséquence nécessaire

division en paragraphes est très importante et dans ceux-ci, une introduction si possible, un raisonnement et une conclusion comme Montaigne dans son récit Les Cannibales. De même, un essai raconte des expériences et des faits passés afin de faire une argumentation réaliste directe. De plus les thématiques sont normalement un choix personnel des auteurs, il y a plusieurs points de vue dans leurs raisonnements étudié sur des différentes thématiques. Par exemple chez Montaigne on étudie la condition humaine

pensent pas comme lui, mais aussi qu’ils ont un processus de raisonnement différent du sien). La pensée opératoire concrète (7/8 ans à 11/12 ans), l’enfant évolue vers une pensée logique, ces premières opérations de l’enfant portent sur du matériel concret et ce sont les objets qui servent de base à sont raisonnement. C’est la notion de conservation qui permet l’existence d’une relation logique d’équivalence. Epreuve de raisonnement: passage du stade préopératoire au des opérations concrètes:

déploie un ensemble de procédés rationnels et oratoires que l'on doit mettre en oeuvre pour tenter de faire admettre par le lecteur une thèse probable, plausible, vraisemblable. On l'appelle indirecte car elle utilise d'autres moyens que le pur raisonnement logique, par exemple un dialogue, ou encore un récit. Dans le texte d'un auteur les deux aspects, convaincre et persuader, sont, le plus souvent étroitement imbriqués. Ils se distinguent en ce que celui qui cherche à convaincre se tourne vers

déclinée en 2 formes , intra et interpersonnelle. Il nous démontre que ces 2 auteurs ont contribués à de grandes synthèses théoriques sur l'intelligence, qui se limitait très souvent à un raisonnement déductif (rappelons le , il conduit à une erreur de raisonnement) . En dernière partie, il ajoute à son raisonnement des facteurs communs à la psychologie cognitive des êtres humains , tels que la résolution des problèmes logiques ou bien le phénomène d'analogie. Il conclut évidemment sur le fait qu'une

capacités à les utiliser en les confrontant à d’autres données, dans le cadre d’un raisonnement ou de la résolution d’un problème, en s’appuyant ou non sur des documents. Quelques conseils : Etre vigilant au mode de réponse attendu : une seule ou plusieurs réponse(s) attendue(s). Partie 2 : La pratique du raisonnement scientifique : 3 + 5 points Cette seconde partie de l’épreuve valide la pratique du raisonnement scientifique et porte sur une ou deux parties évaluables du programme, différente

sens plus restreint, à savoir : « La démonstration est un raisonnement permettant de déduire (ou inférer) une conclusion à partir d’hypothèses de départ. » (Manuel) ou encore « Raisonnement établissant la vérité d’une proposition à partir d’autres propositions déjà démontrées ou d’axiomes, en le rattachant à ceux-ci par les liens nécessaires résultant des principes logiques de la connaissance. » (Manuel de philosophie) ou enfin « Raisonnement qui consiste à passer de propositions admises à une proposition

sujet invite à definir certaines notion et a expliquer certains phénomènes, on choisit un plan qui permet de développer l'explication et d'elargir l'analyse: le plan analytique A) Le plan dialectique La reflexion prend dans ce cas la forme d'un raisonnement concessif: *développer dans une première partiela thèse proposée par le sujet (mouvement concessif: chercher des arguments pour etayer un point de vue avec le quel on est pas forcément d'accord); *montrer les limites de cette thèse dans une deuxième

de la responsabilité. Néanmoins, les décideurs et les véritables hommes d’action sont d'abord des hommes de réflexion : leurs actes sont toujours mûris. ("La meilleure improvisation est celle qui a été longuement préparée").     Le mode "de raisonnement qui s'exprime" constitue la méthode qu'il est nécessaire de posséder, comme une seconde nature, afin que, placé devant une question écrite ou orale, le responsable développe, rapidement et aisément, un processus intellectuel l'amenant à formuler