Résumé La Religieuse Diderot

Résumé : Claude Gueux, de Victor Hugo  (1834)   C'est, sous une forme narrative, un réquisitoire contre la peine de mort et un plaidoyer en faveur des déshérités que la misère a conduits au crime et que la société ne sait pas secourir.   Claude Gueux est un pauvre ouvrier, sans instruction, mais d'un caractère élevé. Il vit avec une femme dont il a un enfant. Réduit au dénuement par le chômage et la maladie, il vole pour manger et pour nourrir sa famille. Arrêté, il a dans la prison une conduite

stricte et rigoureuse qui le considérait comme un mensonge (problème posé par l’illusion théâtrale) soit encensé et célébré par ceux qui considéraient qu’il avait un fort pouvoir d’édification par l’exemple. I – LES ORIGINES 1- L’origine religieuse Le théâtre grec (ainsi que le théâtre médiéval bien plus tard) est né de la liturgie et en particulier des fêtes données en l’honneur de Dionysos, dieu de l’ivresse et du théâtre, nommées les Dionysies et qui avaient exclusivement lieu à Athènes

Genève en deux parties, en 1782 et en 1789, après la mort de Rousseau : "Si j'étais le maître de ma destinée et de celle de cet écrit il ne verrait le jour que longtemps après ma mort" . Cette citation a le mérite de souligner qu'il est impossible de résumer l'ouvrage sans rappeler tous les épisodes de la vie du citoyen de Genève. De fait, les Confessions fondent la littérature autobiographique, en renouvelant profondément le genre des récits spirituels si fréquents dans la tradition protestante. Rousseau

: On désigne par humanisme le puissant mouvement intellectuel et littéraire qui se répand au XVI siècle .Il tire ses méthodes et sa philosophie des études des auteurs de l’antiquité ; remettant en cause les conceptions morales, politiques et religieuses du Moyen âge .L’humanisme affirme sa confiance dans les possibilités de l’être humain. Ces deux définitions représentent l’homme comme une race supérieure capable de raison et d’analyse. 2) Les différences entre Renaissance et Humanisme :

auteurs et artistes « classiques » ne se nomment pas ainsi. Le terme n’apparait qu’a posteriori, au XIXe siècle. Cependant, leur doctrine est bien réelle, contenue dans un certain nombre de textes fondateurs et d’œuvres emblématiques. On peut les résumer ainsi : -le culte des Anciens : Les auteurs antiques sont considérés comme des modèles. Ainsi, c’est dans l’imitation des anciens que les classiques mesurent le talent d’un auteur. La Fontaine (1621-1695) le revendique : « mon imitation n’est point

apparaît comme le point de départ d’une pensée tout entière tournée vers l’utilité dont est garante la littérature. Grâce à l’esprit de confrérie qui lient entre eux les humanistes, tout le monde peut désormais accéder à la connaissance, qu’elle soit religieuse, la Bible est traduite en 1522 par Luther pour la première fois, ou scientifique, puisque l’on assiste à la multiplication d’ouvrage médicinaux. De cette idée que l’art écrit est une source de connaissance est née la défense de la langue française

caractérise par un forte remise en question ainsi que par l'établissement d'une plus grande tolérance, . époque des philosophes dit "philosophes des lumieres "qui sont engagées contre les oppressions religieuse, politique et morales. ils veulent faire avancer le monde, ( voltaire, montesquieu, diderot, rousseau, d'alembert..) l'optimisme : fait de considérer que tout va pour le mieux .. LE 19EME SIECLE: ( bonaparte président de la seconde république en 1848 , abolition de l'esclavage, 1852= coup

bien que le héros veut conquérir le monde. Grâce au discours indirect libre nous connaissons les pensées les plus secrètes du personnage. La comparaison avec la destinée de Napoléon : « C’était la destinée de Napoléon, serait-ce un jour la sienne ? » résume bien l’ambition du héros. Il se crée une communauté de destin avec Napoléon. Il désire avoir un destin exceptionnel à l’instar de son modèle. Enfin l’apparition de « l’épervier », oiseau de proie - et porteur de présage - parachève l’identification

avait commencé dès la fin du XVIIe siècle par la Querelle des Anciens et des Modernes. Perrault, La Motte, Fontenelle, avaient porté de rudes coups à la tragédie classique. Mais le véritable démolisseur des règles sur lesquelles elle reposait est Diderot. Il s'insurge contre les prescriptions d'Aristote et d'Horace et contre les modèles classiques. Nos tragédies sont, à ses yeux, artificielles et fausses, contraires à la nature et à la vérité. Les sujets empruntés à la vie des grands, au lieu de l'être

Hommes qui ne sont pas sortis de la bestialité en quelque sorte. 101 101 La monstruosité est volontiers assimilée à la notion d’immoralité dans les domaines de l’honnêteté et de la sexualité tout 102 102 particulièrement. Au XVIIe, l’influence religieuse et théologique est toujours considérable (inquisition). La maladie est toujours considérée comme un mal envoyé par Dieu pour punir les hommes de leurs péchés. L’Eglise s’oppose à tout progrès concernant le mal : il est l’expression de la volonté