Spinoza Les Exigences

doit être de quelque conséquence. La connaissance de soi sollicite la rectitude de la pensée, l'esprit critique et une certaine considération pour le « regard » extérieur des autres. Par sa nature subjective, elle sollicite pour se consolider les exigences métacognitives et en retour, le gain de lucidité sur les caractéristiques personnelles rend possible un savoir plus consistant. À en croire de grands auteurs, la connaissance de soi a des avantages variables et peut même être repoussée comme nuisible

nécessaire de causes et d'effets. Spinoza, p 94 -> définition du désir (l'Ethique, III, 9, scolie ; 17ème) « le désir est l'appétit avec la conscience de l'appétit » (ici, appétit = envie) En affirmant cette définition du désir, Spinoza considère que la conscience de ce qui est désirable est un effet de la pulsion, du besoin. « Quand nous désirons une chose, ce n'est pas parce qu'elle est bonne, mais nous la jugeons bonne parce que nous la désirons. » Spinoza montre ainsi que la conscience est

expériences distinctes du manque. D'un côté, les besoins, pressants et susceptibles d'être assouvis. De l'autre, le désir, plus vague et éthéré, et dont la satisfaction pourrait être différée, voire sacrifiée. D'un côté, la vie et ses urgences, ses exigences incontournables. De l'autre, l'âme, sa délicatesse, ses sentiments élevés, et sa capacité à faire de la souffrance ou de la frustration l'aliment d'une rêverie indéfiniment approfondie: le désir. D'un côté, la finitude et ses rigueurs; de l'autre

satisfaire de ce que nous avons. Il est ce médiateur entre les hommes et les Dieux. Voilà pourquoi le désir renaît sans cesse, sa véritable quête est celle d’un objet inaccessible, le statut divin. IV. le désir comme essence de l’homme : Spinoza nous fait remarquer que nos désirs ne portent pas toujours sur un manque mais qu’ils peuvent révéler une quête de surplus d’être, une amélioration de nos conditions d’existence. L’homme est un être naturel et comme tel il est doté d’un appétit

contraintes essentielles. Par exemple, si je construis une théorie selon laquelle le monde est constitué d’atomes, je dois reconnaître que je suis moi-même constitué d’atomes : que la théorie me décrive à titre de partie du monde fait partie de ses exigences premières. Heidegger ne peut donc dire que la liberté du Dasein échappe à la causalité du monde qu’en concevant cette liberté non comme la liberté d’agir (ou de penser) d’un être concret mais comme une sorte de liberté transcendantale, abstraite

phylogénétique (Darwin) Conséquences existentielles (Schopenhauer) Le désir de conservation (Spinoza) La volonté de puissance (Nietzsche) Le désir d'éternité (Platon) Le désir de mort La structure kamikaze du désir L'agressivité introjectée (Nietzsche) La nature conservatrice des pulsions (Freud) Le plaisir de se perdre L'indétermination du désir Le désir de l'autre Le désir mimétique (Spinoza) La structure triangulaire du désir (René Girard) Le désir du désir de l'autre (Hegel) Le désir

volonté libre qui peut donner son consentement ou ne pas lui donner quand bon lui semble… » Article 39 des principes de la philosophie de Descartes.  - Il n’y a pas besoin de prouver la liberté car nous l’éprouvons. - C’est sur ce point que conteste Spinoza. Cette volonté s’impose dans l’expérience même du choix. - Socrate s’est montré particulièrement libre en se donnant la possibilité de choisir entre prison et évasion. « Est-il juste que je m’évade ? » Dans l’expression « avoir le choix » : les

est-elle source d’illusions ? La conscience est ce qui permet de différencier l’homme et l’animal, de tout temps elle est donc très souvent présentée comme un élément majeur de raison, de connaissance et de vérité. De nombreux philosophes, tel que Spinoza dans son essai sur « les illusions de la conscience » vont donc se poser cette question essentielle qui est de savoir si celle-ci est source d’illusion ? Si on analyse le sujet, la conscience peut-être considérée sous plusieurs niveaux, dont deux

rapport immédiat à la réalité : le langage ne peut pas réellement représenter la réalité. Premièrement, dans le chapitre « De l’Être réel, de l’Être Forgé et de l’Être de raison » dans les Penséesmétaphysiques , Spinoza critique la langage à cause de leur inadéquation à l’égard du réel qu’ils prétendent signifier. Ce dernier s’adonne alors à enfermer ce qui appartient au réel dans des limites, en excluant l’« être de raison » de cette sphère du réel . Un être de

(Darwin) 2.Conséquences existentielles (Schopenhauer) 3.Le désir de conservation (Spinoza) 4.La volonté de puissance (Nietzsche) 5.Le désir d'éternité (Platon) 3.Le désir de mort 1.La structure kamikaze du désir 2.L'agressivité introjectée (Nietzsche) 3.La nature conservatrice des pulsions (Freud) 4.Le plaisir de se perdre 4.L'indétermination du désir 2.Le désir de l'autre 1.Le désir mimétique (Spinoza) 2.La structure triangulaire du désir (René Girard) 3.Le désir du désir de