Vertus cardinales

religieuse du pays garantit donc l’ordre ; maintenant tout « va sans ordre et sans loi ». Les vices triomphent, « le prudhomme est devenu méchant, l’école se débauche » (v.18) or c’est le propre d’une religion de conduire à la vertu et en particulier à la tempérance, vertu cardinale. C’est la défaite de la raison, « sans raison (x2), erreur insensé, monde renversé, v.24, furie, erreur folle » : le mal causé n’est pas seulement d’ordre humain et social (la guerre civile), il est aussi d’ordre spirituel

le corrompent tandis que l’enseignement de la justice est comme la médecine qui préserve la santé du corps. La justice exige l’éducation des citoyens et le bon gouvernement de la cité. La justice dépend tout autant d’une bonne disposition de l’âme (vertu) que de la bonne organisation politique. C’est pourquoi dans La République, Platon établit un parallèle entre la justice de l’âme et la justice politique. La justice est en nous comme elle est dans la cité ; elle est ce qui maintient chaque chose à

la vie humaine, la vertu est l’art que l’homme doit mettre en œuvre pour y parvenir. Le bonheur est une qualité supplémentaire de l’acte éthique. Contemplation = bonheur suprême. Ce bonheur provient et s’effectue dans le monde sublunaire, monde de l’imperfection : sens de justice commence dans l’expérience, dans la communauté.  « L’homme est un animal politique » Homme = « être avec » + doit prendre soin de lui à travers sa relation avec autrui • Vertus : 4 vertus cardinales - tempérance - courage

Personnages | Lieux | Résumé | ACTE 1, Scène 1 | Le Duc, Lorenzo, Giomo, Maffio. | Un jardin, devant la maison de Maffio en pleine nuit. | Ils attendent une jeune adolescente de quinze ans; dont Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre mère afin de l'amener dans le lit du duc. Emporté par son désir, le duc s'approche du pavillon où se trouve la jeune fille. Cependant Maffio, son frère, se doute de qlq chose, et s'interpose contre l'enlèvement, même si le duc l’envoie

face de leur incurie et renvoie chacun à ses responsabilités. Lorenzo et sa double personnalité. Son spectre apparaît en songe à sa mère qui a la nostalgie de la jeunesse vertueuse et livresque de son fils devenu débauché. Cette double opposition vertu/vice et passé/présent est certes formulée dans le discours global de Marie et de Catherine, mais le discours global de l'oeuvre la retourne : Lorenzo le débauché, Lorenzo aux mains sales, est aussi celui qui fait tomber les masques, qui soupçonne la

Scène 1 Florence est en plein carnaval. La Lune éclaire un jardin. Le duc Alexandre de Médicis en compagnie de Lorenzo de Médicis attend avec impatience l'arrivée d'une jeune adolescente de quinze ans; une jeune fille dont Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre mère afin de l'amener dans le lit du duc. Emporté par son désir, le duc s'approche du pavillon où se trouve la jeune fille. Scène 2 Dans la rue, au lever du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent d'une maison illuminée

le corrompent tandis que l’enseignement de la justice est comme la médecine qui préserve la santé du corps. La justice exige l’éducation des citoyens et le bon gouvernement de la cité. La justice dépend tout autant d’une bonne disposition de l’âme (vertu) que de la bonne organisation politique. C’est pourquoi dans La République, Platon établit un parallèle entre la justice de l’âme et la justice politique. La justice est en nous comme elle est dans la cité ; elle est ce qui maintient chaque chose à

intérieure ? Le tyran a-t-il espoir de conservation de son pouvoir éternellement ? La vertu n’est elle pas la seule a pouvoir répondre à long terme aux inclinations humaines qui empêche l’homme d’être heureux. Nous verrons d’ abord que le pouvoir peut superficiellement rendre heureux un tyran, mais cependant cet état n’est que provisoire et tient a la satisfaction et au plaisir. Le vrai bonheur eternel est le fruit d’une vertu irréprochable. Il y aurait des tyrans heureux 1) Seul l’injuste serait

une anguille, il se fourre partout et dit tout ». S’ensuit une image dégradante de celui-ci, le traitant de « poltron » et « femmelette ». Sire Maurice et le Cardinal Cibo façonnent une image de Lorenzaccio comme manipulateur et dangereux « On sait qu’il dirige vos plaisirs et cela suffit ». Le Duc ne se fie pas aux accusations du Cardinal et Sire Maurice concernant le mauvais fond de Lorenzo, et ce sentiment est d’autant plus accentué lorsque celui-ci s’évanoui à la vue d’une simple épée. Cela confirme

Pierre Strozzi annonce son intention de venger l’insulte faite à sa sœur, provoquant l’inquiétude du chef de famille : Philippe. Le bruit se répand que Pierre a tué Salviati, mais celui-ci, qui n’est que blessé, demande vengeance au duc (sc.1,5,7).Le Cardinal Cibo, beau-frère et confesseur de la marquise Cibo, encourage celle-ci à répondre favorablement aux avances du duc (sc.3). Pendant ce temps, Lorenzo rencontre sa mère, et persuade un jeune peintre, Tébaldéo, de faire un portrait du duc. Pendant que