Acte jurisprudentiel
Le 12 Juin 1996, le juge des tutelles a par ordonnance constaté la présomption d'absence de Mme X, et que Yves Y, sont mari, un marin retraité, est designé pour la représenter dans l'exercice de ses droits et l'administration de ses biens. Celui ci décèdant le 24 Septembre 1996, L'association départementale de tutelle a assigné l'Etablissement national des invalides de la Marine en paiement d'une pension de réversion.
L'arret du 29 octobre 2003 enonce que la pension de réversion ayant un caractere alimentaire, cet avantage doit etre suspendu tant que le conjoint survivant n'est pas en mesure d'en reclamer les arrérages et de justifier qu'il remplit toutes les conditions pour en bénéficier.
Le probleme de droit qui se pose est le suivant : Doit t'on considéré une personne porté disparu avec présomption d'absence comme mort ?
Le 20 Septembre 2005, la cour de cassation a cassé et annulé l'arret rendu par la cour d'Appel de Rennes du 29 octobre 2003.
Les juges on statué que la personne qui a disparu et qui a été presumé absente par le juge des tutelles doit etre tenue pour vivante en sorte que, jusqu'au jugement déclaratif d'absence, l'organisme désigné pour la représenter doit continuer a prercevoir les arrérages de sa pension de reversion, la cour d'appel a violé l'artcle 627 du nouveau Code