Commentaire Pouvoir des Fables
I- D’après les textes A, C et D quel enseignement peut-on tirer des fables ?
Les textes A, C et D sont des exemples précis des idées que Jean de la Fontaine essaie de transmettre au XVIIe siècle à travers ses fables. En effet, pour le fabuliste, ces écrits populaires sont un moyen pédagogique et éducatif d’enseigner la sagesse et la vertu aux adultes, tout en les amusant. Son objectif, servi par des figures de style qu’il emploie est d’intéresser le lecteur ; de le faire adhérer à son propos et de l’amener au final à se poser les bonnes questions, pour forger son propre jugement. Ces trois textes sont très intéressants à traiter car ils démontrent les enjeux et ressorts de la fable, puis dans quel cas l’utiliser. Le texte A illustre la nécessité de bien examiner les conséquences de ses actes avant de se lancer dans une aventure. Jean de La Fontaine met en scène un personnage de l’antiquité, il nous explique que celui-ci ne s’est pas inquiétée de son sort en s’engageant contre les Parthès. Il le compare à deux animaux de la forêt : le Renard rentre dans un puits pour boire de l’eau, le Bouc le suit sans se demander comment il remonterait le suit. Le Renard, lui, utilise les cornes du Bouc pour s’en sortir. Il illustre donc d’une manière amusante l’intérêt de la fable : transmettre une leçon de morale sur la capacité de réflexion des hommes. Dans le texte C, Jean de La Fontaine illustre l’intérêt de la fable en décrivant la manière de l’argumentation d’un Orateur Grec qui ne se fait pas entendre, dans ses premiers mots, par l’Assemblée. Il change donc de ton et de méthode en citant une fable. C’est à ce moment précis que la foule s’intéresse à lui et entends son discours. Le fabuliste démontre que la fable n’est pas seulement une histoire amusante mais aussi un moyen de communication indirecte. Dans le dernier texte, Jean de La Fontaine fait apparaitre les animaux de la savane, réunis suite à la mort de la Lionne. Le Lion invite