Philosophie : Analyses de textes sur la conscience et l’inconscient

I/. La conscience (pages 16 à 35, textes : 1, 2, 3, 7,8)
Texte 1 :
Descartes est né le 31 mars 1596 et mort le 11 février 1650. René Descartes est l’un des fondateurs de la philosophie moderne et il formula le célèbre cogito. Son travail philosophie se portant souvent sur les sciences comme la physique, les mathématiques…
Nous avons ici une de ses œuvres qui se nomme : « Méditations métaphysiques ». Ce texte repose sur l célèbre cogito de Descartes qui est : « Si je pense, je suis » et même si la réalité est troublée par des images qui la cachent, même si on s’interroge sur comment le monde existe et si il a une existence. On pourra tout de même revenir à une affirmation certaine qui est comme une formule qui prendrait ce sens : « Si je pense, je suis, alors si je suis, j’existe » d’après la fin du texte. Donc on peut conclure que « si je suis, j’existe » est vrai chaque fois qu’on le prononce ou qu’on le conçoit dans notre esprit. De plus, on l’a démontré avec la formule que l’on peut simplifier : « Si je pense, je suis, donc si je suis, j’existe » est égale à la citation de Descartes : « Si je suis, j’existe ».
Texte 2 : Logique
Kant est né le 22 avril 1724 et mort le 12 février 1804. Ce fut l’un des plus grands philosophes allemand et fondateur de l’idéalisme transcendantal. Il a exercé son influence considérable sur l’idéalisme allemand, le néokantisme, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie post moderne. Dans une de ses œuvres : « Logique » on apprend que chaque conscience devant un objet inconnue ou non est différente. D’abord l’individu voit à quoi l’objet ressemble puis il conclut soit par intuition, soit pas connaissance de l’objet. De plus, si l’on comprend l’objet, la représentation en nous est claire, on a alors conscience de l’objet. A l’inverse, on n’aurait pas conscience.
Texte 3 : La conscience et la vie
Henri Bergson est un grand philosophe