1. Selon la société Encore Events, l’exposition « Our Body » expose des cadavres pour « éveiller le grand public au fonctionnement de l’anatomie humaine »- pourquoi cet argument n’est-il pas accepté ?

L’argument est dénoncé comme alibi puisque d’après Marie Holzmann « tous les moyens sont possibles pour le faire de manière virtuelle ». Si le but de ces expositions était donc vraiment pédagogique, les organisateurs auraient pu se servir de reproductions du corps humain- qui sont excellentes de nos jours.

2. Pourquoi Marie Holzmann pense-t-elle que l’exposition « Our Body » est une forme de barbarie ?

Selon elle, le fait de « transformer des corps en objets et les mettre dans des situations grotesques » fait penser à ces temps sauvages où les hommes n’étaient pas encore civilisés et où, par conséquent, ils manquaient encore de tout code moral en relation avec la dignité humain et le respect du corps humain.

3. En quoi les deux sentences prononcées par la Cour de cassation sont-elles différentes ?

La première sentence s’appuyait sur les codes de la morale tandis que la deuxième s’appuyait sur le code du droit civil. La première était donc basée sur une qualité plutôt abstraite, qui est le sentiment de pudeur que tout homme devrait avoir ;
La deuxième par contre, était basée sur quelque chose de très concret, à savoir sur le code législatif.

4. Pourquoi la Cour de cassation s’est-elle décidée de changer sa justification pour la condamnation de la société Encore Events ? (Appuyez votre argumentation sur le texte !).

Comme la première sentence s’appuyait sur quelque chose d’assez subjectif (voir réponse précédente), elle présentait le désavantage d’être discutable selon le gré de celui qui s’ occupait de la question.
À cause de cela, elle n’avait pas validité absolue.
Ainsi, le parti opposé lui avait reproché d’être « nourrie de « convictions personnelles » ».
Afin de couper court toute discussion, la Cour de