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Article#1
«Les politiques mis sous surveillance des réseaux sociaux».
Le Figaro, no. 20955, Vendredi 16 décembre 2011, p.19
Débats Opinion

Ce court article démontre l’importance des réseaux sociaux lorsqu’un changement de niveau politique ou social se fait au cœur d’un pays quelconque. (Dans ce cas-ci, la Tunisie) Ce débat d’opinions qu’engendre le printemps arabe se manifeste surtout sur les sites tels que Facebook, Twitter et Youtube, où plusieurs milliers de gens font leur visite quotidienne. Cela créé un phénomène de propagande qui insiste sur la dénonciation de la dictature dans certains pays corrompus et d’une forme de liberté conditionnelle que vivent, entre autre, les Tunisiens. De plus, les tunisiens montrent que cette dictature essaie de dissimuler les effets néfastes qu’elle créé, et revendiquent leur droit par le biais d’Internet, seul mode de propagation 100% efficace. En présentant au monde entier les conséquences d’un pays corrompu, d’autres nationalités pourront ainsi bénéficier d’un certain accord de divulgation d’information privée sur leur régime politique, parfois altéré par un gouvernement autoritaire.

Article#2
Gruda, Agnès. «Monde : La saison des révoltes». La Presse (Montréal), 27 juin 2011, p.A14

Depuis que Ben Ali, 2e président de la république tunisienne, a quitté son poste suite à une révolution tunisienne, le peuple arabe appréhende les organisations islamistes qui voudraient prendre le pouvoir. Eux, qui sont aussi commandé par une dictature, seraient les mieux accommodés pour une éventuelle élection. Voyant que la situation de leur pays ne se règlerait pas, les Tunisiens firent une révolte sociale qui en découlera d’un effet domino, c’est-à-dire que d’autres pays arabes viendront s’inscrire dans ce mouvement pour ainsi abolir la dictature. La démocratie progressera donc peu à peu. Par contre, comme c’est le cas de la Lybie, les guerres civiles les amène vers une répression sanglante. Avec cet