SCM
Le manager rend des comptes.
Le point d’entrée est le marché (besoins des clients, s’assurer qu’on a bien un client)
La commande est l’élément déclencheur du flux.
Le poste de supply chain manager : poste très important, il doit répondre questions opérationnelles et pour ajouter de la valeur ajoutée à l’entreprise.
Comment mesurer la création de valeur ? Tous les managers doivent créer de la valeur. Pb : on n’est pas seul sur le marché mais en soi ce n’est pas un vrai problème car ça nous permet de se bouger pour être le meilleur. RETURN ON CAPITAL > COST OF CAPITAL. Rien n’est jamais figé donc la création de valeur est un processus continu : permet à l’entreprise de gagner plus d’argent.
Mesure de la création de valeur : valeur ajoutée, excédent brut (EBE), marge, chiffre d’affaires (indicateurs).
Added value (VA) : marge que l’on décide en fonction du marché.
EBITDA : Earning before interest and tax depreciation and amortization :
BFR: besoin en fond de roulement = besoins – ressources d’exploitation. Temps qui s’écoule entre le moment où on dépense un euro et le moment où on récupère cet euro.
Supermarchés : délais de paiement à 120 jours à l’époque : on touchait l’argent final des consommateurs avant de payer le fournisseur. Si la supply chain interne est complexe,
But de la supply chain : Avoir un truc le plus fluide possible pour dépenser le moins possible pendant le cycle d’exploitation.
Si le produit n’est pas meilleur que le concurrent, on détruit la valeur.
Certains vendent super cher : concurrence en profite pour s’imposer sur le marché en proposant des prix plus attractifs.
L’excellence opérationnelle : Time is money (rapidité ++)
Customer intimacy : gestion de la relation client. Si bonnes relations avec le client, il pourra payer plus cher le produit.
Sur le marché donné, si on regarde qui est le leader, c’est quelqu’un qui est au moins meilleur sur l’un de ses trucs : product, operational excellence and customer intimacy.
Pourquoi