L'art de l'entreprise globale
Les voies de la mondialisation
Après L'Art du Management, L'Art d'Entreprendre et L'Art de la Finance, « Les Echos » publient aujourd'hui le premier numéro de L'Art de l'Entreprise globale. Ce nouveau supplément hebdomadaire a pour vocation de fournir, tous les vendredis pendant douze semaines, un guide aux managers et aux entrepreneurs confrontés quotidiennement à la difficulté d'opérer sur un marché mondial. Alliant théorie universitaire et expériences pratiques, il a, comme ses prédécesseurs, été rédigé par des experts issus de grandes écoles de gestion de renommée internationale et a bénéficié du soutien éditorial des spécialistes de PricewaterhouseCoopers. Précisons que l'édition française de cette série qu'avait initiée le « Financial Times » avec la collaboration de HEC, de l'IMD de Lausanne, de l'Amos Tuck School aux Etats-Unis et du Templeton College de l'université d'Oxford, en Grande-Bretagne, s'est enrichie de contributions de plusieurs autres grandes écoles françaises : l'ESCP, l'Essec, l'EM Lyon (ex-ESC Lyon) et l'Ecole des mines.
L'Art de l'Entreprise globale, qui s'adresse également aux cadres d'entreprises petites et grandes, aux étudiants et à tous ceux qui ont le souci de mieux comprendre l'environnement économique mondial, met en évidence les choix à affronter, propose des solutions concrètes et analyse les réponses organisationnelles, commerciales, techniques, sociales et financières apportées par les entreprises déjà lancées dans l'aventure de l'internationalisation. Une aventure qui, pour être couronnée de succès, exige d'être performant sur tous les tableaux - stratégie, ressources humaines, organisation, marketing, innovation... - en se plaçant dans une perspective véritablement mondiale, mais qui sait s'articuler avec les contextes locaux.
Dans cette course à la « globalisation » - selon le concept d'origine anglo-saxonne - inéluctable du fait de la mondialisation de l'économie et de l'exacerbation