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Étude d'un texte de david g.myers sur la nature humaine

1374 mots 6 pages
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Nous étudions dans le livret 5 un texte de David G.MYERS qui est né à Seattle et qui professe en psychologie au Hope Collège dans le Michigan. Nous étudions ici une partie d’un texte ayant pour objectif de définir la « nature humaine ». Nous allons voir une définition multidimensionnelle mais d’autres auteurs ont une définition différente tel que les anthropologues qui pour eux le concept de « nature humaine » est une abstraction car il existe autant de natures humaines que de culture par le monde. Ici « naturel » consiste à le (D.G.H) confondre avec ce qui est inné. Quand au terme « être humain c’est être plus semblable que différent », selon David G.MYERS. Dans ce sens il désignera tout ce qui est contenu dans notre code génétique et transmis par la seule hérédité biologique (à l’exclusion de tout apport culturel).
La différence entre l’acquis et l’inné est difficile. Nous essayerons de séparer le texte en différents thèmes en s’appuyant sur des exemples. Pour chaque thème nous expliquerons plus précisément son contenu grâce à nos connaissances.
Dans la première partie du texte l’auteur nous permet de mettre en avant le domaine de la génétique qui est une partie fondamental de l’homme et qui est le point commun dominant de toute l’espèce. L’auteur nous le présente comme suit : « Quelles que soient nos différences, nous sommes les feuilles d’un même arbre. Nous les membres de la famille humaine, nous partageons non seulement un héritage biologique commun … ». La vue en est un bon exemple : « nous divisons le spectre lumineux en un même ensemble de couleur ». En effet, notre corps est organisé autour de contraintes physique : le squelette, les muscles, les viscères, les nerfs, les cellules, etc…
Dès la naissance notre corps met en place des réflexes innés qui sont identique chez tous les enfants dans toutes les populations et qui permet de constater son bon développement. Tel que le dit David G. MYERS « des tendances de comportement communes. Venant

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  • Te doy mis ojos
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    Il y eut une fois, dans un recoin éloigné de l'univers répandu en d'innombrables systèmes solaires scintillants, un astre sur lequel des animaux intelligents inventèrent la connaissance. Ce fut la plus orgueilleuse et la plus mensongère minute de l'" histoire universelle ". Une seule minute, en effet. La nature respira encore un peu et puis l'astre se figea dans la glace, les animaux intelligents durent mourir. - Une fable de ce genre, quelqu'un pourrait l'inventer, mais cette illustration resterait bien au-dessous du fantôme misérable, éphémère, insensé et fortuit que constitue l'intellectuel humain….

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  • Vision de la liberté - Descartes vs. Rousseau
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    d’abord abordée avant de les comparer à la vision de l’origines des hommes de Rousseau et sa conception sur les bénéfices de la science pour l’homme. Descartes est le fondateur de la philosophie moderne, d’abord à cause de sa conception de l’homme particulière et car il recherche la vérité à travers la rationalité. Ainsi, la première certitude indubitable qu’il ait trouvé est la suivante : «Je pense, donc je suis». Selon lui, dans la nature humaine, il y a deux substances dépendantes: l’étendue et la pensée.….

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  • Je ne sais pas de meyer le saget
    6934 mots | 28 pages

    toujours avoir une vision partagée de ceux que d'autres ont. Grandir avec les différentes approches philosophiques et sociétales d'humains transmettant par l'écrit. Mon but au travers de mon inscription est de m'ouvrir et un jour rédiger pour partager. Mon texte de référence est un billet de Meyer le Saget qui dit : Je ne sais pas »… petite phrase terrible à prononcer pour ceux qui pensent que l’importance se mesure au fait d’avoir réponse à tout. Ne pas tout savoir ne devrait pas être une honte, puisque c’est la réalité de chacun ; mais avouer qu’on ne sait pas reste pourtant un risque majeur dans bien des entreprises.….

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  • La nature humaine freud vs rousseau
    1168 mots | 5 pages

    La nature humaine selon Freud et Rousseau Nombreux sont ceux qui se sont attardés sur la question de la nature fondamentale de l’homme. Tous ceux qui y ont sincèrement réfléchi n’ont pu obtenir des résultats similaires. Certains croient que l’être humain est nécessairement égoïste et méchant alors que d’autres affirment qu’il est de nature bonne et altruiste. Freud, par exemple, croit à une nature humaine inévitablement mauvaise et admet que c’est l’homme que nous devons changer pour obtenir le bonheur.….

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  • Marx et freud
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    Tout d’abord, Jean-Jacques Rousseau définit l’être humain comme étant le « résultat de l’interaction de la nature et de l’environnement1 » ce qui veut dire qu’« à l’origine l’être humain est un animal présociable2 » qui vit en solitaire et qui se limite à ses besoins naturels de survie. Par la suite, l’humain évolue en acquérant un langage et il développe de nouvelles techniques avantageuses qui lui permettent d’évoluer, comme la coopération et de là naissent les familles. Ensuite, par l’observation de la nature et des autres il commence à se comparer et « la reconnaissance [des autres] devient 1 ST-ONGE, J.-Claude. La condition humaine, quelques conceptions de l’être humain , Gaëtan Morin éditeur, 2011, p. 84….

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    Léa Jeannin Novembre 2008 Conférence de philosophie publique La démocratie a-t-elle besoin d’une définition de la nature humaine? « Nous sommes, en tant qu’homo sapiens, d’une affligeante banalité biologique. Sur le plan génétique, notre proximité avec les grands singes est considérable ; elle atteint 98,7 % avec le chimpanzé, elle est encore de 80 % avec la souris et de 50 % avec la levure ». Ainsi débute L’Homme, ce roseau pensant, essai sur les racines de la nature….

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    Le naturalisme : s’appuyant sur les sciences de l’homme et de la nature, il entend explorer d’une manière systématique tous les milieux sociaux, en dévoilant la misère humaine. Le symbolisme : s’efforçant de dépasser les limites offertes par la réalité, il voit dans l’art un moyen d’exprimer la part spirituelle de l’être humain, à travers une réflexion sur les mystères de monde. L’Impressionnisme : (2ème moitié du XIXème siècle) sujet moderne et quotidiens,….

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  • Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine?
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    Il semble donc que le travail soit bénéfique à la nature humaine. Mais dans certaines conditions, le travail se déshumanise, et est le siége d’une atteinte à l’humanité de l’homme. Ainsi dans quelles conditions peut-on dire du travail qu’il ne respecte pas la nature humaine ? Dans un premier temps nous verrons que malgré le fait que l’opinion commune accorde une notion péjorative au travail, la pensée philosophique montre que ce dernier permet à l’homme de prendre conscience de lui et de ses facultés puis nous verrons que les bienfaits du travail ont leurs limites. Le travail est assimilé, par l’opinion commune, à l’idée….

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  • Les sciences humaines peuvent elles adopter les méthodes des sciences de la nature ?
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    Cette expression, que Michel Foucault préfère laisser entre guillemets tant la terminologie est problématique, désigne un ensemble de disciplines scientifiques qui étudient les aspects sociaux des réalités humaines. Ces sciences ont pour objet d’étude ce qui concerne les cultures humaines, leur histoire, leurs réalisations, leurs modes de vie et leurs comportements individuels et sociaux. Le principal problème qu’elles posent réside dans la méthode à suivre afin d’atteindre une objectivité relative à l’espèce humaine. De plus, les nombreuses disciplines qui composent les sciences humaines sont extrêmement diversifiées : on y trouve l’Histoire, la sociologie, la linguistique, la théologie, l’anthropologie, la philosophie, la géographie… Et la liste est encore longue.….

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