Ce qui fut sans lumière

par

Deuxième partie

« Passant auprès du feu » montre le poète observant le feu brûler dans la cheminée. Il reconnaît la forme des branches qu’il a lui-même cueillies plus tôt, et les assimile aux membres entrelacés de deux amants, incapables d’être lucides concernant leurs sentiments durant l’étreinte.

            Le deuxième poème, « Le puits », file une métaphore entre l’eau d’un puits dans laquelle se reflètent les étoiles et dont la surface est troublée par le seau qui y plonge, et la vie humaine, tournée vers les étoiles mais sans cesse bouleversée.

            Le troisième poème, « Le puits, les ronces », poursuit le poème précédent. Cette fois le poète insiste sur le fait que les humains vivent comme l’eau au fond d’un puits, où ils jouissent de l’incertitude de savoir qui va venir puiser. Le poète semble ici célébrer les surprises de la vie.

            Dans le quatrième poème, « La rapidité des nuages », le poète contemple le mouvement des nuages dans le ciel, avant de faire allusion à un passé disparu, dont lui et son amie ont pourtant émergé ensemble, invulnérables au passage du temps.

         

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