Ce qui fut sans lumière

par

Quatrième partie

« Psyché devant le château d’amour », décrit un peintre qui rêve, et qui peint son songe en se réveillant, avant de finalement représenter Psyché, assise devant le château d’amour.

            Le deuxième poème, « Le haut du monde », montre le poète contemplant un ciel étoilé et s’interrogeant sur la destinée humaine et le sens de ce qui l’entoure. La question est posée de savoir si les mots sont ou non sans espoir, si l’on peut en attendre autre chose qu’une brève fulgurance. Le poète semble regretter un temps primitif où les hommes auraient été plus audacieux face au défi du ciel, et capables de tenir à distance la mort, qui n’aurait été que leur servante. Cette époque est néanmoins révolue et le poète sort seul de sa demeure pour cueillir une amande à son amandier, regardant toujours le ciel où il discerne un « agneau sanglant dans la paille ».

            Le troisième poème, « Une pierre », évoque un miroir dans lequel des personnages se seraient contemplés avec plaisir, quoique sans jamais se regarder l’un l’autre en face, avant d’enterrer l’objet.

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