Lunar Park

par

Intertextualité

Dans Lunar Park, l’intertextualité est omniprésente. S’il ne fait aucun doute que l’auteur établit des parallèles entre sa personne et son personnage, il créé en outre des ponts entre Lunar Park et le reste de son œuvre littéraire.  

D’une part, l’intertextualité permet à l’auteur de faire comprendre que Lunar Park traite de l’ensemble de son œuvre littéraire jusqu’à cet ouvrage. Non seulement le livre fait œuvre de bilan, mais il sert également de tribune publique. Ici l’œuvre de l’auteur est expliquée en même temps que l’auteur explore de nouveaux thèmes. Il se livre notamment à la citation des phrases introductives de ses ouvrages précédents, mais les références à d’autres œuvres ne se limitent pas à des explications sur les circonstances qui ont inspiré Bret Easton Ellis à les écrire.

« “Tu fais vraiment très bonne impression.”

C’est la première phrase de Lunar Park et dans sa brièveté et sa simplicité, elle était censée être un retour à la forme, un écho, de la première ligne du roman de mes débuts, Moins que zéro :

“Les gens ont peur de s’engager sur le

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