24 Septembre 2002 Arrêt De Rejet 1ère Ch Civile

Mémoire en vue de l’obtention du DEA de droit des contrats, option droit des affaires Directeur de recherche : Madame M.- C. MONSALLIER-SAINT MLEUX Année universitaire 2002/2003 1 SOMMAIRE INTRODUCTION.......................................................................................................................5 1ère partie : les sources du statut...............................................................................................18 chapitre 1 : les sources possibles....

d’organisation du groupement syndical (section II) Section I. Une liberté fondamentale pour chaque salarié Au plan individuel est reconnue pour chaque salarié, une liberté d’adhésion aux syndicats qui elle-même va présenter une double facette. La 1ère dimension de cette liberté d’adhésion : Tout salarié a la liberté dite positive (désigne une action) d’adhérer à un syndicat et à celui de son choix. Cette liberté s’exerce essentiellement face à l’employeur. Il est interdit à l’employeur de prendre

CHAPUS, Ed. 2001 George VEDEL Droit administratif, 2 vol. Ed. 1992. Jean Valine, 24ème éd. Précis DALLOZ George Dupuis, Marie-José Guédon, Patrice Chrétien. Droit administratif. SIREY. 12ème édition Septembre 2010. Gilles Lebreton, Droit administratif général. DALLOZ, 6ème édition septembre 2011. Jacqueline Morand-Deviller, Droit administratif. MONTCRESTIEN, 12ème édition octobre 2011. Martine Lombard, Gilles Dumont, (a voir) Droit administratif, DALLOZ, Hyper-cours. 11ème édition, octobre

créance : elle disparaît alors lorsque la créance s'éteint et ne peut être transmise qu'avec la créance. Le droit des sûretés fait partie du droit du crédit et plus généralement du droit civil. L'ordonnance du 23 mars 2006 relative aux sûretés a réorganisé le droit des sûretés en regroupant dans le livre IV du code civil les différentes dispositions relatives au droit des sûretés. Elle a également modifié en profondeur le droit des sûretés réelles : consécration du gage sans dépossession, légalisation

coercitif des règles juridiques § 4. le critère juridictionnel des règles juridiques 8 Chapitre 2 : la distinction des règles juridiques et des autres règles sociales Section 1ère : le droit et les règles morales Section 2 : le droit et la religion Section 3 : le droit et les progrès scientifiques Section 1ère : le droit et les règles morales § 1er. de nombreuses règles juridiques sont la transposition de règles morales § 2. les règles juridiques contribuent à faire évoluer la morale

moment de lucidité qui se doit de le prouver et par conséquent, c’est sur lui qu’incombe la charge de la preuve. Le mariage in extrémiste, est un mariage admis en France, on peut se marier pour des raisons patrimoniales successorales. Le Code Civil admet le mariage posthume lorsque l’un des époux décède et qu’il avait accomplit avant son décès toutes les procédures aboutissant au mariage. Cependant, ce mariage doit être autorisé par un décret du Président de la République. Ce décret est délivré

semaine du 14 mars. Pas cours le 14 février. Partiel : cas pratique ou commentaire d’arrêt. Rattrapage : cas pratique, commentaire d’arrêt, dissertation, commentaire de texte. Introduction I/ La famille La famille n’est pas définie dans le Code civil alors que le terme y est employé. Cela provient peut être du fait que cette notion a évolué au fil du temps. En droit romain, prédominait une conception patriarcale de la famille, où les pouvoirs du père, du mari, étaient exorbitants. C’était le pater

Dalloz ancien Code de commerce (1807) Annales Actualité des Procédures Collectives argument article Association pour l’emploi dans l’industrie et le commerce Assemblée Nationale Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (Ch. civ.) Code civil Code de commerce (ord. 18 sept. 2000) Code de la consommation Conseil d’Etat Cour européenne des Droits de l’Homme cependant Code monétaire et financier (ord. 14 déc. 2000) critiques Recueil Dalloz-Sirey ou

présentation par la définition des relations qui peuvent exister entre les personnes ou entre une personne et une chose : ce sont les droits (Titre II). Titre I Les catégories élémentaires Les Institutes de Justinien et encore aujourd’hui le Code civil donne une grande importance à une distinction fondamentale du droit qui prétend couvrir l’ensemble du droit (c’est une summa divisio) : la distinction des personnes (Chapitre I) et des choses (Chapitre II). Il y a, d’une part, les personnes et les

C’est une nullité de protection, une nullité relative. Elle peut être invoquée par les représentants sur mineur, ou par le mineur lui-même. La nullité doit être prononcée alors même que le tirage n’a infligé aucune lésion au mineur. ðCcass, ch. Com., 28 octobre 1969. La nullité de l’engagement du tireur mineur est opposable au porteur de l’effet, même si celui-ci est de bonne foi. En vertu du principe d’indépendance des signatures, cette nullité n’affecte pas l’engagement des signataires