29 Mars 2012 Civ 2

frauduleuse justifiant l'annulation du contrat de travail (Cass. Soc. du 16.02.1999). En outre, le fait d'accomplir pendant 3 ans sa tâche sans problème alors que l'on a menti sur son diplôme d'origine écarte le risque de licenciement (Cass. Soc. du 30 mars 1999). Remarque : La CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté) dans son rapport d'activité pour 1999 souligne la mauvaise application de l'article L.1221-6 nouveau (L. 121- 6 ancien ) du Code du travail. La CNIL constate, en effet, qu'il

Droit Judiciaire | Semestre 5 | | | | Mme CLEMENT | Année 2011-2012 | | * ------------------------------------------------- TITRE 1 : LES NOTIONS FONDAMENTALES DU DROIT JUDICIAIRE Chapitre 1 : L’action en justice Section 1. Notion et caractères de l’action en justice I. Notion L’action en justice est une prérogative du défendeur comme du demandeur. En effet, le devoir de protection juridictionnelle qui incombe à l’Etat vaut tant en faveur du demandeur que

Grèce). C’est le tryptique du droit au procès équitable. Mais on reproche à la notion d’être floue, c’est une notion « venue d’ailleurs » qui ne correspond pas à la souveraineté française. Il y a un débat politique autour de cette notion. Section 2 : Le rayonnement du procès équitable I. Les facteurs du rayonnement A. Le renouvellement des sources du procès Il y a eu un développement des sources nationales, internationales… Développement d’un bloc de garanties, autour du bloc du procès équitable

MESSAGES IMPORTANTS .............................................................................................5 EXERCICES DE FORMATION .........................................................................................8 Exercice 1 Exercice 2 Exercice 3 Exercice 4 Exercice 5 Quelles questions poser ?............................................................................8 Identification d’énoncés de politique incorrects ......................................... 10 Classement de facteurs

1. Un étudiant désireux de s’acheter une voiture, mais qui n’a pas d’argent conclut un contrat de prêt avec son banquier. Le banquier va lui remettre de l’argent, et l’étudiant va s’engager à le rembourser. Il y a une obligation de restitution. 2. L’étudiant va acheter la voiture, il conclut un contrat de vente avec le concessionnaire. Chacun doit quelque chose à l’autre. Le vendeur s’oblige à transférer la propriété de la chose, et l’acheteur s’oblige à payer le prix. Chacun peut être débiteur

conditions spécifiques de constitution d’une société : 1 – L’apport 2 – L’intention de participer aux résultats de l’activité sociale 3 – L’affectio Societatis §1 – L’Apport A. La notion d’apport = moyens matériels et humains de la société (art 1832 CC) Double sens du mot apport :  Opération par laquelle l’associé met un bien ou une activité à disposition de la société  L’objet de la mise a disposition (bien ou activité) .2) L’apport : élément essentiel de la société : a. La notion d’apport 

constitutionnel, site internet, revue de droit constitutionnel appliqué. Tout passe par le JP du CC. Le système de contrôle de constitutionnalité a connu une accélération depuis 23 juillet 2008. Elle crée procédure de QPC, entrée en vigueur en mars 2010, elle modifie le paysage du contrôle de constitutionnalité en faisant apparaitre contrôle incident devant juge ordinaire français, mis en œuvre par des textes nombreux par le nombre d’intervention des juges, les procédés de contrôle de constitutionnalité

Faculté d’Economie Appliquée et Faculté de Droit Centre d’Etudes des Techniques Financières et d’Ingénierie (CETFI) Groupe Européen de Recherche sur la Délinquance Financière et la Criminalité Organisée. Mémoire présenté pour l’obtention du Master 2 Economie-Droit, spécialité : « Lutte contre la Criminalité Financière et Organisée » Origines de la contrefaçon de médicaments et ses conséquences sur l’industrie pharmaceutique Présenté et soutenu par : Lucie FONTAINE Sous la direction de Robert

enchères, le prix obtenu pourra être appréhendé en priorité par le créancier muni de la sûreté. Les sûretés réelles sont organisées pour être opposables à tous. Le droit des sûretés réelles a profondément été modifié à la suite d’une ordonnance du 23 mars 2006. Le législateur a modernisé des textes qui pour la plupart dataient encore du code civil. Les sûretés personnelles. L’ordonnance de 2006 n’a que très peu concerné les sûretés personnelles. Aujourd’hui, on a un système assez complexe applicable

Démocratie locale et participation des habitants Note synthétique Résultats du cycle d’ateliers - 2012 - Ce document est la synthèse d’ateliers organisés conjointement par le Conseil national des villes (CNV) et le Secrétariat général du Comité interministériel des villes (SG CIV). Coordination de la démarche Christian Soclet, pour le CNV (christian.soclet@ville.gouv.fr) Luc Faraldi pour le SG CIV (luc.faraldi@ville.gouv.fr ). Animation des ateliers Ahmed Bouzouaid et Sabrina Cortes, pour MUSE