3eme Civ 28 Novembre 2001

conséquence d’augmenter les engagements des associés ou des actionnaires. Dans ce cas, l’opération doit être adoptée à l’unanimité (art. 1836 al. 2 du Code civil). Pour illustration, la Cour d’appel de Paris en a jugé ainsi dans un arrêt rendu le 24 Novembre 1980 à propos d’une société anonyme coopérative ouvrière à capital variable ayant absorbé une société anonyme de droit commun. Une opposition doctrinale est née de l’hypothèse où une SAS absorbe une société d’une forme différente. Rappelons que

(Exemple : L’enfant né d’un couple marié avait plus de droits qu’un couple non marié, l’enfant issu d’un adultère avait encore moins de droit au niveau des successions. 1er : La notion de personne. 2ème : Acquérir et perdre la personnalité juridique. 3ème : L’humanité des personnes physiques. 4ème : Le corps humain 5ème : Les droits de la personnalité (Le droit au respect de la vie privée, le droit au respect de son image, la présentions d’innocence) 6ème : Les éléments de l’état des personnes.

prénoms à l'enfant, de désigner ses parents, de l'inscrire sur le livret de famille à titre de mention administrative. Cet enfant ne se verra pas reconnaître de lien de filiation et le nom de famille ne lui est pas transmis. Circulaire du 30 novembre 2001 relative à l'enregistrement à l'État civil et à la prise en charge des enfants décédés. Elle prescrivait aux officiers de l'État civil qu'il devait inscrire les fœtus après au moins 22 semaines de grossesse ou ayant un poids égal ou supérieur

3.1. Au niveau interministériel............................................................................................... 27 2.1.3.2. Au sein du ministère de l’éducation nationale................................................................ 28 2.1.3.3. Au ministère de la justice................................................................................................ 29 2.1.3.4. Au ministère de l’intérieur ............................................................................

créanciers privilégiés. ** 2nd facteur évolution jurisprudentiel et légale en matière de cautionnement qui se met a protéger excessivement les cautions. Protection en offrant à la caution des protection pour empêcher d’exécution son engagement. ** 3ème facteur : l’excès de sûretés tue l’intérêt des sûretés. Les sûretés pullulent car contexte économique peu rassurant. Si mon voisin a une sûreté je dois en avoir une pour être sur d’être payé. Aujourd'hui tout le monde a une sûreté, il faut la meilleure

du 11 juil. 1975; aujourd’hui, le caractère fautif est parfois discuté. Une dernière sanction, indirecte, résultait de la nullité des libéralités faites en vue d’obtenir ou de faire subsister une relation hors mariage; elle a été abandonnée : Cass. Civ. 1e, 3 fév. 1999. droit des obligations. Règle morale classique = tenir sa parole; en droit civil art. 1134 C.civ. al. 1 = « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites ». Une autre exigence morale est de ne

du Code de la Consommation ? La Cour de cassation a tranché la question et a affirmé que non. Dès lors qu’il contracte pour ses activités professionnelles, il ne peut pas bénéficier du régime du Code de la consommation. Arrêt de la CJUE du 22 novembre 2001 : la Cour indique que les personnes morales ne pouvaient jamais bénéficier des dispositions du code de la consommation. Il faut que ce soit une personne physique qui ne contracte pas pour les besoins de son activité. A travers le régime des clauses

pratiques qui visent à promouvoir la transparence tarifaire. Toutes deux sont interdites. En 1986, les distributeurs réalisaient des marges avants (=négociabilité des prix). 2. Après la loi du 1er juillet 1996 : La loi de 1996 (GALLA ND) et la loi de 2001 (NRE), vont essayer de rééquilibrer les rapports entre grande distribution et petits fournisseurs ( interdiction des marges avant. Ms les distributeurs vont créer les marges arrière. Ces marges sont constituées soit par des ristournes de fin d’année

espérait obtenir ? La Cour de Cassation refuse de compenser ce que le contractant a refusé de signer, par un arrêt du 26 novembre 2003, la chambre commerciale a refusé que les dommages et intérêts puisse couvrir les gains que le partenaire pouvait espérer du contrat qui finalement n’a pas été conclu. Est-il possible d’engager la responsabilité du tiers ? Non, ( arrêt du 26 novembre 2003 ) le simple fait de contracter, même en connaissance de cause, avec une personne ayant engagé des pourparlers, ne

Autre loi : 3 janvier 1975. Elle se préoccupe des licenciements pour motif économique. A l’époque, le licenciement pour motif économique était soumis à une autorisation administrative. Celle-ci sera supprimée par une loi du 3 juillet 1986. 3ème texte : Deux lois du 30 décembre 1986. Elles renforcent le rôle des IRP (Institutions Représentatives du Personnel), c'est-à-dire les délégués du personnel, les membres du comité d’entreprise, du CHSCT… Ces lois légalisent également les conventions