Le Déterminisme

philosophique. En effet, comme on le verra en détail, la théorie de Skinner s’inscrit dans le courant déterminisme. Du coup, elle remet en question les idées fondamentales de liberté et de dignité humaine qui ont été développé en philosophie, particulièrement depuis le début de la modernité. 2) LE DÉTERMINISME Le béhaviorisme, la théorie psychologique de Skinner, est une théorie de type déterministe. Le déterminisme est un courant dans l’histoire des idées qui soutient que tous les phénomènes (c’est-à-dire

concepts sociologiques qui sont encore valables bien qu'en pleine évolution. Bourdieu avait, entre autre, pour objectif le dévoilement des mécanisme de domination sociale. Sa sociologie n'était pas neutre et plutôt militante. On peut lui reprocher son déterminisme mais il était pourtant le contre-exemple des prédéterminations dans l'ascension sociale qu'il dénonçait. Pour Bourdieu dans Epreuve scolaire et consécration sociale, actes de la recherche en sciences sociale, 1981, l'épreuve, l'examen des hautes

possibilité d'assouvissement des désirs mais plutot dans son terme philosophique comme l'autonomie du choix..La liberté est alors non pas tant un fait qu'une exigence dont l'homme a à se montrer digne. Le terme liberté se revele ambigu. LE DETERMINISME: quant au determinisme son principe affirme que tous les phénomènes sont liés par des relations de causalité; que tout phénomène peut être considéré comme l'effet d'une ou plusieurs causes externes. Cette conception rejette l'idée de hasard et est donc au

libre quand on est sûr de conserver sa vie. On distingue plusieurs définitions de la liberté, il y a celle d’Épictète et le stoïcisme, la théorie du libre arbitre selon Descartes avec les différents degrés de liberté et celle de Spinoza et du déterminisme, sans oublier la conception naïve de cette dernière. Selon ces différentes définitions, les obstacles ne seront pas appréhendés de la même manière. Si l’on se place dans la vision d’Épictète, qui est une vision stoïque, les obstacles arrivent

un effet qui peut être déterminé. Peut-on dire que c’est notre volonté ? Si c’est le cas, cela signifie que la plupart de nos actes dépendent plus de notre inconscient que de notre volonté consciente. Freud défend cette affirmation : pour lui ce déterminisme inconscient « exclut toute forme de hasard et de non-sens ». Il en donne d’ailleurs de multiples illustrations dans toute son œuvre, et particulièrement dans Psychopathologie de la vie quotidienne où il affirme que tous les mots et les nombres

choisi. -Nous constaterons que la fatalité ne laisse aucune place à un changement d’orientation. En posant que " c’est écrit ", elle implique la réalisation de l’événement et ce, quels que soient les moyens qu’on met en œuvre pour l’éviter. Le déterminisme pose la nécessité inéluctable de l’enchaînement causal, mais seulement si la situation donnée est telle que ce qui est déterminé à se réaliser puisse s’exprimer. Il faut apprendre à aimer son destin et se laisser guider dans vie pour pouvoir vivre

une moindre liberté dans nos actes pourrait venir de notre manque d’investissement ou d’une division intérieure. Il rejette toute idée que nous pourrions subir une quelconque influence de quelque chose qui nous est extérieur comme l’affirme le déterminisme. Au contraire en prenant l’exemple de l’artiste et de son oeuvre il montre qu’un acte authentiquement libre apporte une dimension nouvelle et individuelle à la réalité : la liberté est une création qui vient de l’intérieur de notre personne et

imprévisible, pour enfin dans un dernier temps, nous pencher sur la portée morale du déterminisme, en nous posant la question de savoir si nous avons vraiment le choix de croire ou ne pas croire en l'imprévisibilité. Nous allons donc essayer dans cette partie de cherchez en quoi un être libre est un être imprévisible. L'imprévisibilité est ce qui n'est pas régi par le principe du déterminisme, le déterminisme étant une philosophie selon laquelle tout est nécessairement déterminé par des causes

lien avec la nature. D'autre part la seconde nuance que rappelle Dubois c'est que même si on s'intéresse aux positions de l'esprit pour comprendre ce que fait agir les acteurs, on va aussi cherché à savoir si ces acteurs sont soumis à un certain déterminisme social. On va voir comment ces contraintes sociales vont peser sur les individus et comment ces contraintes vont peser sur les choix individuels. Rappel : Raymond Boudon différent de Pierre Bourdieu. Ds ce cas Bourdieu nous dit que l'origine

et qu’il a une liberté absolue. Descarte et sa philosophie cartésienne, affirme que Dieu est l’auteur des vérités que l’on découvre donc, de notre destin. . L’être humain vie dans un millieu qui a déjà été définie dans le passé ce qu’on appel le déterminisme. Sartre de type athée, affirme que ce n’est pas Dieu qui est l’auteur et donc qu’il n’a pas de nature humaine préexistante. Or, La vie n’a aucun sens et aucune valeure et c’est l’être humain qui définit lui-même par ces choix le sens qu’il veut