Syndicats

loi de grève avec une normalisation des rapports sociaux. 1884 : Reconnaissance de liberté syndicale. La constitution de syndicat est autorisée. 1936 : Accords Matignon (congés payés…). Grève avec occupations d’usines et institutions des Délégués du Personnel (DP) 1968 : Grèves avec occupations. Reconnaissance de la section syndicale d’entreprise (on autorise les syndicats à renter dans l’entreprise). 1982 : Lois Auroux portent sur la négociation d’entreprise. (entreprises obligées de discuter

individus pour expliquer la mobilisation. Ils choisissent une stratégie d’action en fonction de leur situation personnel et cela explique la baisse des conflits donc un crise du syndicalisme qui correspond aux activités exercées dans le cadre d'un syndicat de salariés. Aujourd’hui en France, on peut se demander comment les mutations du travail expliquent la crise du syndicalisme ? Dans une première partie nous verrons comment ces mutations expliquent en partie la crise du syndicalisme et dans une seconde

plus de 2, début du droit de grève. 1884: Loi Waldeck Rousseau, reconnaissance syndicale, possibilité de créer un syndicat dans le W. Le mouvement ouvrier prend son essor → conquérir des nouveaux droits sociaux. 1936: Accord Matignon. Congés payés. 40H Perception du salariat devient positive. Salariés s'organisent de + en + pr les droits sociaux. Négociation entre patron/syndicats. → lien avec le mode de régulation de la croissance fordiste. b) Du contrat individuel au contrat collectif

développement du syndicalisme qui va être réprimé on va interdire les coalitions à la suite de la révolution avec la loi. Le chapelier de 1791 et le décret d'Allard ça empêchait la naissance du syndicat jusqu'en 1884 avec la loi de Vigneau Rousseau qui va autoriser la création des syndicats. En 1895 les premiers syndicats français la CGT (confédération générale du travail) toute une série de lois 1906 restauration du repos dominical, 1919 instauration de la journée de 8h, 1898 la grande loi sur les accidents

recueil d’article. On va parler de convention quand il y a plusieurs thèmes et d’accord collectif quand il n’y a qu’un seul thème. La mise en place : Un accord collectif est négocié par les parties souvent des partenaires sociaux qui sont des syndicats salariés et employeurs. Lorsqu’ils vont se réunir ils vont établir une convention collective adaptées qui sera négociée. La Convention Collective définit : * Des dispositions sur la rupture du contrat, les congés, la durée du travail, le

membres du comité d'entreprise de la société Pugilat, toutes les organisations syndicales représentatives sauf une ont été invitées par l'employeur dans une brasserie le 15 janvier. En effet, M. Jean-Paul X, délégué du syndicat SNEP-UNSA qui était au sein de cette entreprise un syndicat représentatif lors des dernières élections l'entreprise n'a pas été invité, à la suite d’un oubli de votre prédécesseur. Les partenaires présents ont, après, négociation, signé le protocole dans les locaux du foyer.

il tend de plus en plus à se développer au niveau associatif (l’engagement dans des associations sportives n’est pas pris en compte). Le militant est défini par le « Petit Robert » comme « un membre actif d’une association, d’un parti ou d’un syndicat ». Par son activité au sein de l’organisation, le militant acquiert des savoirs et des savoir-faire que l’on peut désigner sous le terme de « capital militant » et celui-ci est essentiellement acquis dans le « champ politique ». Le terme de « capital

partie Au début des années 1960, M. Jean Lesage poursuit la lancée de M. Paul Sauvé en conservant un climat pacifique entre les organisations syndicales et le gouvernement du Québec. Cette relation se détériore vers la fin des années 1960 car les syndicats se radicalisent avec des idéologies marxistes. Au cours des années 1970, la syndicalisation du Québec s’accroît jusqu’à la récession au début des années 19801. Dans les années 1980, le gouvernement du Québec a entrepris diverses mesures, de

afin d’obtenir des droits ou les faire respecter.     II. Comment participer à une grève dans mon entreprise.    Dois­je avertir mon employeur avant de faire grève ?     ­ Présentation obligatoire de revendications     Les salariés, souvent par le biais de leurs syndicats, doivent présenter à leur  employeur des revendications avant ou au moment de débuter la grève. Ces  revendications peuvent être portées à la connaissance de l’employeur par  différents moyens : revendications écrites, délégation auprès du responsable des 

présomption simple traduit surtout la faiblesse du critère de l’audience tel qu’il a été retenu par la position commune. (1) V. C. trav. art. L. 2122-1 : « Tout syndicat professionnel affilié à une organisation représentative au niveau national est considéré comme représentatif dans l’entreprise. La représentativité des autres syndicats est appréciée conformément aux dispositions de l’Article L. 2121-1 ». 772 DROIT SOCIAL N° 7/8 Juillet-Août 2008 5. C’est la seconde innovation majeure